pc3a9pophilie82Faisons le  point sur les dernières évolutions de l'affaire de Castres, dont on a déjà parlé: une mère a du fuir avec ses enfants afin qu'ils ne soient pas confiés à leur père qu'ils accusent de pédophilie. Hélas, la Justice a déchu Sandrine de ses droits parents et confié les enfants au père. Aujourd'hui, Sandrine ne peut els voir que deux heures par mois dans un point rencontre. Mais, il semble que les services sociaux en aient décidé autrement.  Voici donc le dernier article paru sur :le blog PEDOPHILIE CASTRES:

 

Sandrine a donc perdu la garde de ses plus jeunes enfants, qui sont retournés vivre chez leur père le 6 juillet alors qu'une plainte pour viol est en cours contre lui. Aujourd'hui, Sandrine a trouvé un travail et un domicile, mais bizarrement, les services sociaux lui refusent toujours de voir ses enfants. Depuis cette fumeuse audience le 6 juin à Castres, Sandrine n'a plus aucune nouvelle de ses jumeaux, cela, grâce aux 'services sociaux'.

 

Sandrine explique qu'elle ne pourra pas exercer son droit de visites médiatisées (2 heures par mois) à Clermont Ferrand. D'ailleurs, le jour de son procès pour avoir soustrait les enfants à ce pédophile, l'éducatrice de l'ASE L.T lui a cfait comprendre qu'elle ne reverrait plus ses jumeaux.


Depuis le 10 juillet, Sandrine tente de prendre rendez-vous avec l'association mandatée à Clermont Ferrand pour organiser les visites avec ses enfants (ADMF ARAMIS). C'est la juge des enfants C.F qui a mandaté cette association, dont les repsonsables ignorent tout du dossier de Sandrine. Un certains M. R, responsable de sevrice, a d'abord dit à Sandrine qu'ils n'avaient pas le dossier en main, et a ensuite expliqué qu'il fallait rencontrer le père avant de mettre en place les visites de Sandrine. On se demande à quel titre, puisque la Justice a décidé que ces visites auraient lieu.

Mais en effet, de plus en plus on constate, de même que la Cour des Comptes, que les associations chargées de ces médiations s'octroient des droits aberrants pour des gens non formés, qui agissent en dehors de tout cadre légal. A Saint malo, par exemple, une association de ce type a suspendu unilatéralement les droits de visite d'un père, qui n'a donc pas revu sa fille depuis des années.

 

M. R. déclare ensuite qu'une éducatrice de Castres l'aurait contacté (D.L), et qu'il avait conclu que son établissement n'est pas adapté au dossier de Sandrine. L'individu a conclu lors du dernier contact téléphonique: "nous ne sommes pas en mesure de traiter votre dossier, bonne chance et bonne rencontre avec vos enfants". L'incompétence érigée en méthode de fonctionnement.

 

Le 2 août, une autre responsable de l'association, E.B, demande à Sandrine de prendre contact avec une chef de l'Aide Sociale à l'Enfance de Clermont Ferrand, Mme P.. Elle l'a au téléphone le 3, et voilà que Mme P. revient carrément sur la décision de Justice concernant les visites médiatisées, et explique à Sandrine que les enfants doivent être "confiés à l'ASE pour que l'Oiseau Bleu puisse intervenir". Qu'est donc l'Oiseau bleu? Mystère. C'est enf ait une association 'filiale' d'Aramis. Et, au passage, les enfants ne sont pas confiés par la Justice à un foyer, mais à leur père.

 

Là encore, Mme P. réàète à Sandrine que l'association n'est pas adaptée au dossier de Sandrine, qu'elle est moins bien équipée que les associations de Castres etc.

 

Sandrine explique: "malgré cette insupportable situation, je reste optimiste; il m'a été demandé d'être "apaisée" (P. M, président du tribunal de Castres) face à une réalité bien concrète et présente; je suis bien contrainte de reconnaître que je suis seule coupable de non-représentation d'enfants ayant agit "par pur délire" (M. G, Procureur de Castres), sans me poser plus de questions et accepter les sentences rendues contre mes enfants victimes. Être privée de mes jumeaux, n'est-il pas mieux que la prison ferme, pour avoir OSER agir par protection contre des menaces de mort proférées à l'encontre de mes enfants devant témoins et pour avoir OSER respecter les lois des devoirs des parents à protéger ses enfants devant le danger? L'inceste n'est-il pas, au même titre que la pédocriminalité, un phénomène de société que je dois considérer comme une normalité, sous peine d'être punie et détruite par la Justice pour vouloir perdurer à la dénoncer? Quelle est la vraie valeur de l'équité judiciaire au juste? Quel est le symbole de la Convention Internationale des Droits des Enfants? Quelle est la véritable responsabilité de la France face à son engagement à l'égard des enfants?"

 


Sandrine se voit mal porter plainte contre ces 'services sociaux' pour non représentation d'enfant. Elle se dit qu'avant même de l'avoir fait, on l'aurait accusée de négligence, voir d'avoir elle même abandonné ses droits de visite.

Affaire à suivre, d'autant que la soeur aînée des jumeaux, Julie, mène encore son combat contre le pédophile, et s'est constituée partie civile afin d'être certains qu'enfin, une instruction sera menée à charge et à décharge contre 'Jean-Claude'.