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3 juillet 2013

Affaire Chastan: les enfants otages de la justice et des "services sociaux"

 chastan11Revenons sur l'affaire du pédophile de Castres, qui a commis des agressions sexuelles sur deux fillettes à huit ans d'intervalle mais qui, grâce à la Justice, a désormais les droits exclusifs sur ses deux enfants. De son côté, Sandrine, leur mère, a eu le droit à un séjour en prison pour avoir tenté -en vain- de protéger ses enfants, qu'elle voit aujourd'hui en point rencontre.

 

La pression monte de nouveau, car J., la fille aînée de Sandrine, est partie civile contre le pervers, et parce que le procès devrait arriver prochainement.

On fait tout pour que Sandrine se retrouve bloquée: l'administration connait des dysfonctionnements exceptionneles dans son cas. Elle n'a pas vu ses jumeaux, qui vivent chez leur "père" pendant un an, jusqu'à ce mois-ci.

Nous avons déjà parlé de cette affaire, hélas similaire à beaucoup d'autres. Jacques Thomet aussi en a parlé, de même que plusieurs médias. Pourtant, la justice refuse toujours de reconnaitre les droits de Sandrine et de ses enfants, et elle refuse d'abord de les entendre.

Sandrine a donc tenu à s'exprimer pour montrer de quelle manière on prive ses enfants de leur mère, sans aucune raison autre que l'acharnement judiciaire. Un acharnement qui est probablement destiné à protéger un pédophile. Car, si Sandrine revoit ses enfants hors de la présence d'éducateurs, ceux-ci risquent bien de lui parler.

C'est pour cette raison que depuis un an, une association censée organiser les visites médiatisées de Sandrine avec ses jumeaux trouve tous les arguments les plus fallacieux pour refuser de faire son boulot. Au final, les petits n'ont pas pu voir leur mère pendant un an!

 

Voici des extraits de son témoignage:

 

Je m'appelle Sandrine, je ne cache pas mon prénom, ni mon nom de famille d'ailleurs, car mon histoire est nationalement médiatisée. Je ne suis pas victime.
Je suis maman de trois enfants: une fille J., aujourd'hui âgée de 16 ans et d'un garçon R. et d'une fille A., jumeaux, bientôt âgés de 10 ans.

Fin 1996, j'ai 25 ans, lorsque je deviens maman d'une jolie petite fille, que je prénomme J.
Je n'ai pas terminé mes études, et dès l'obtention de mon diplôme, je vais devoir trouver un emploi, pour élever seule mon enfant.

En 2000, j'obtiens un poste en CDI dans un magasin de sport. Je suis recrutée par un homme, que je trouve peu avenant et plutôt apathique, il se prénomme J.P.
Par l'intermédiaire d'une connaissance commune, travaillant au sein de la même enseigne, nous allons être amenés à partager quelques sorties.
Très rapidement, nos relations se révèlent plus intimes, et nous nous installons immédiatement en couple dans son petit appartement.

Ma fille J. est âgée de 3 ans. Elle est une enfant très docile et en bonne santé. La fin d'année scolaire est imminente, par conséquent, J. reste terminer ses classes dans l'établissement du village où je résidai.
Ma mère demeure dans ce village, à qui je confie J. à la sortie de l'école et les jours où je travaille.


Lors d'un séjour chez sa grand-mère maternelle, le médecin de famille constate que ma fille présente un état de santé peu fréquent: elle se révèle plus fragile, très fatiguée, elle présente des symptômes très inhabituels: herpès facial-labial, rougeur de la région vulvaire, état de fatigue
anormal. J. est difficilement contrainte à des examens médicaux.

dessin jade 6_n°9Par la suite, J. explique à sa grand-mère qu’elle a peur de J.P., elle évoque spontanément des abus sexuels commis par mon compagnon.

Très inquiète de cette révélation, sa grand-mère la mène chez le médecin du village qui ne connaît pas l'enfant. Il ne lui ait pas possible d'examiner ma fille. Alors, il lui propose de dessiner ce qu'elle a raconté et d’expliquer son dessin. C’est sans aucune hésitation que J. va dessiner un lit avec deux personnages, dont le plus grand présente une excroissance, qu’elle dit être un « zizi » et précise que « ça fait mal au cucu ». Ce médecin établie un certificat médical et avertit le procureur de T. dans les BdR..

(...)  Ma fille et moi-même sommes soumises à des procès-verbaux, des examens psychologiques, …
J'ai au départ des soupçons sur J.P. relatifs aux révélations de ma fille et je m'étonne qu'aucun examen médico-légal ne soit pratiqué. Cet examen est l'unique possibilité de prouver la véracité des dires de J.. Lorsque j'en fais la remarque à la Brigade des moeurs, il m'est répondu que l'examen est traumatisant pour l'enfant et qu'il n'est pas nécessaire dans notre affaire.

(...) Je n'ai accès à aucun document, aucun élément, tel que le certificat établi par le médecin accompagné du dessin de J., dont j'ignore l'existence.
Ma naïveté est utilisée à bon escient par les enquêteurs, qui m'influencent à penser que ma mère voudrait garder J. auprès d'elle.
La plainte est classée sans suite, je fais confiance en la justice. Je suis manipulée, aveuglée par ceux que je considère être des professionnels garants de toute vraisemblance.
Par cet état de fait, je ne crois ni ma fille, ni ma mère.
A ce jour, je suis convaincue que chaque protagoniste judiciaire avait bien conscience de la réalité des violences sexuelles subies par ma fille.

En Aout 2000, le procureur d'A. dans le V. m'avait même contrainte à placer ma fille dans une famille d'accueil, car je n'avais pas la possibilité financière de vivre seule avec mon enfant dans un logement indépendant de J.P.

A l'époque, un responsable du Conseil Général confiait à ma mère qu'il croyait J., mais qu'il ne lui était pas possible d'intervenir, sous prétexte que J.P. bénéficiait d'une « haute protection ».
Cette même affirmation sera encore reprise par un gendarme, dix années après.

(...) Je ne supporte pas l'idée d'être éloignée d'elle plus longtemps. La prolongation du placement n'est pas motivée par les aveux de ma fille, mais par la remise en cause de mon rôle de mère!
Je prends donc la décision d'aller chercher ma fille chez la famille d'accueil, malgré la mise en garde de cette dernière qui m'explique que les services de police pourrait venir m'enlever mon enfant. Rien ne se passe en réalité, je préviens moi-même ces services de mon acte.
L'assistance éducative est déplacée dans l'H., puis rapidement levée.
L’intérêt de l’enfant n'est pas pris en compte. La magistrature conclut à un conflit familial, dont J. serait l'otage, ce qui rompt inévitablement tout lien avec ma famille et nous entraîne dans une véritable bataille judiciaire, inutile et destructrice. De cette manière, la justice protège un prédateur.

enfants-cachee295a0c3bcs-3-femmes-ae295a0c3a7-la-barreJe deviens progressivement isolée et sous emprise. Je ne vois rien, je ne comprends rien, je suis totalement aveuglée.

(...) Durant tout ce temps, J. est victime de violences de toute nature, à la merci de son agresseur.
Je suis épuisée et trop occupée par mes différents emplois, je rentre parfois très tard.
Je ne vois pas la tyrannie que J.P. impose à J. en mon absence (il lui crie dessus, il la laisse souvent seule, il ne lui sert aucun repas et l'envoie au lit le ventre vide).
J. est très souvent malade, même mon médecin reste impuissant. Elle paraît une enfant très réservée, toujours très retirée, mais elle reste cependant une excellente élève.
J. est condamnée au silence et à la souffrance!

Je deviens à mon tour victime de sa très sournoise dictature, par ses critiques sur mes tenues vestimentaires, le choix de mes ami(e)s, mes opinions, …
Cet homme a l’art et la manière du pervers narcissique, qu’il n’est pas possible de déceler.
Son insistance à vouloir un enfant devient pour moi une pression telle que je ne peux pas résister.
Assistée médicalement, ma grossesse se révèle être triple. Je suis prête à tous les sacrifices pour mener à terme cette grossesse dans les meilleures conditions, mais sa domination m’impose un véritable cauchemar de solitude et de détresse: une réduction embryonnaire, le lendemain du nouvel an. Je suis opposée à une telle amputation; alors, il m’accompagne lui-même en clinique afin de
s’assurer que l’opération ait bien lieu.

Je donne donc naissance à des jumeaux: garçon, R., et fille, A.: «le choix du roi!» m'avait annoncé le radiologue à l'échographie. Savait-il seulement de quel « roi » il faisait état?

(...) Le 07 Mai 2005, nous nous marions sans aucune famille selon son souhait. Ce mariage est furtif, une simple formalité administrative qui rompt définitivement tout contact avec sa famille. Celle-ci me tient responsable des conditions de notre union. Il avait préféré leur annoncer seul.
Depuis les évènements de 2000 relatifs aux révélations de J., je n’avais plus aucun contact avec les miens.

(...) La présence de J.P. devient plus tyrannique que jamais; notre emménagement début 2006 dans notre maison est le début d’un long cauchemar, où le sombre se matérialise. Il devient violent physiquement, je reçois des coups, les enfants aussi. Il nous impose de n’entretenir aucun contact avec l’extérieur, il s’interpose à chaque relation amicale, même avec les enfants. Ils n’ont pas d’activités extra-scolaires. Je suis contrainte à faire tous les travaux intérieurs de la maison, rien n’avance. La télévision est son seul intérêt. De ce fait, mon affranchissement fut de courte durée.

flyers-2-castres-15-juin(...) En été 2007, J.P. obtient une promotion pour devenir directeur régional. Il suit une formation à Paris, ce qui l'éloigne de nouveau de la maison. Mais il est de retour chaque fin de semaine.
Puis il est envoyé à 180 kms de la maison, à C. dans le L., avec une obligation de résidence précisé dans son nouveau contrat, une obligation qu'il dissimule.
Sans jamais rien avouer, il tente de me convaincre qu'il serait plus simple pour sa nouvelle fonction, de posséder un pied à terre que nous n'avons pas les moyens de financer.
Il mène dès lors une double vie à mon insu: un appartement, un compte bancaire personnel,...
Un train de vie que je vais découvrir des mois plus tard, au fil des évènements à venir.

 

Deuxième révélation

Le 6 Septembre 2007 reste à jamais une date maléfique dans ma mémoire.

Je ne sais comment qualifier cette horreur, cette révélation, cette prise de conscience d’une réalité jusque-là insoupçonnée.
Après la douche, je mène A. sur son lit, enveloppée dans une serviette de bain. Le temps de prendre un pyjama dans une armoire, je surprends A. penchée sur son sexe, faisant le geste d’y introduire un doigt. A. a 4 ans et demi… Ses mots me hantent encore: « c’est Papa qui fait ça».
J. et R., qui jouaient ensemble dans le salon, arrivent à ce moment précis sur le seuil de la chambre. Ils entendent aussi ces quelques mots. R. me confirme aussitôt les faits, il dit en être témoin pour les avoir observés depuis une porte entrebâillée, et avoir entendu sa jumelle sangloter.

C’est le choc, le constat d’une préjudiciable méprise de mon rôle de mère. Je n’ai rien vu, rien entendu, je suis passée au côté de la souffrance de mes deux filles depuis tant d’années, sept années pour J., j’ignore combien pour A.!
J. s’est renfermée dans sa chambre, ses notes scolaires chutent considérablement.

Dire que « le monde s’écroule tout autour de soi » n’est pas assez explicite pour exprimer mon désarroi et mon impuissance. Que faire? Qui contacter? Nous sommes seuls!
Cet individu a très lentement tissé sa toile sur un terrain dont il est le seul maître. Je prends conscience que j'ai été trompée par cet individu, par les enquêteurs et les magistrats durant toutes ces années.

Nous sommes, mes enfants et moi, totalement Isolés. Personne ne nous croira, et pourtant, c’est à la Justice de ce pays que je m'en vais faire encore confiance, en bonne citoyenne comme il se doit! ERREUR!

dessin j 8 n°11 - CopieDepuis ce jour, en faisant appel à la Justice, j’ai éradiqué toute possibilité de défendre mes enfants et de les libérer de leur agresseur. Résolue promptement à les protéger, je manque de moyens nécessaires face à la machine judiciaire, dont je ne connais pas encore les méandres.

Dès lors, conformément à mes convictions relatives à mon devoir de mère, pour la protection de mes enfants, je réagis avec ténacité contre tous les obstacles imposés par ce prédateur, les forces de l’ordre et les différents services de justice. Il s’agit d’une lutte résignée contre toutes les agressions à l’égard de mes enfants. Je m’y suis investie corps et âme, mais je reste une ignorante face aux pratiques judiciaires. Et c'est cette obstination qui me vaut d'être souvent très mal défendue par les avocats dans toutes ces procédures incohérentes, où l’intérêt suprême de l’enfant n’est jamais pris en compte.

Je lance alors des appels de détresse, dans des courriers à la présidence, aux ministères, aux procureurs, au député, au sénateur, aux différentes associations rencontrées, au défenseur des droits des enfants… Toutes ces fonctions ne sont qu’un leurre à mes yeux. Aucune orientation n’est proposée pour m'aider à sauver mes enfants du plus grand des crimes : l'Inceste!
L'Inceste: une ramification de la pédocriminalité! Un mot tabou, car tant que l’on n’est pas confronté à cette monstruosité, on ignore combien elle reste impunie en France.
La conclusion est qu’un parent protecteur est et demeure toujours dans la plus grande solitude qu'il soit.

Pour éloigner cet individu qui terrorise et abuse de mes enfants, je me rends chez un avocat pour une requête en divorce. Il me conseille de signaler les abus à la gendarmerie.
Sur son conseil, je me présente à la gendarmerie de M. dans le T. pour signaler les faits. Une première fois, le 11 Septembre 2007, accompagnée de ma fille, où il m'est demandé de repasser.

Une seconde fois, le 18 Septembre 2007, accompagnée de mes jumeaux. Après avoir consulter son commandant de brigade, le gendarme qui nous reçoit procède à l'enregistrement d'un signalement sur matériel informatique. Il prétend la procédure de plainte traumatisante pour l'enfant. Aucun récépissé ne m'est remis, aucun papier à signer. Il ne demeure aucune trace. Je ne dispose d'aucun élément de preuve de ma démarche.

(...) Un Samedi, devenue plus confiante, A. s'adresse à son père en laissant échapper en plein déjeuner: « Toi, tu es méchant! ». J.P. tente d'imposer son autorité sur A. Puis, ce fut le silence dans cette cuisine ce samedi midi. Je n'ai pas bougé. J'ai attendu. Rien ne s'est passé.
Il vient de comprendre que sa petite victime a trouvé une alliée pour se confier. Cette fois, les choses sont différentes. J'ai ouvert les yeux.
Mais le lendemain, il redevient violent en m'agressant physiquement devant les enfants, sans aucun motif réel, en tout cas rien qui ne semble en corrélation avec les mots prononcés par A.
Il s'en ira sans mot dire le soir même, emportant toutes ses affaires, disparaissant pendant près d'un mois. C'est un abandon de famille, que j'ai la naïveté de ne pas faire constaté.

(...) Le 04 Novembre 2007, J.P. se présente à la maison, il prétexte ne pas avoir ses clés et il me menace de m'enlever les enfants si je refuse d'ouvrir la porte. J'ai très peur et le prie de repartir, sans quoi j'en réfèrerai à la gendarmerie.

dessin 3_n°6 - CopieJ'ignore que très sournoisement, il profite de cette mise en garde pour en user. Il se présente à la gendarmerie pour y faire enregistrer une main courante à mon encontre.
Lassée de ne pouvoir déposer ma plainte pour les abus dont A. est victime, je tente de me rapprocher de la police municipale de M. dans le T., où je rencontre par le plus grand des hasards, le commandant de gendarmerie en devoir de la recevoir. Lui exprimant mon désarroi de ne pas
parvenir à être reçue, il me rétorque: « Madame je n'ai pas que ça à faire! ».

A force de persévérance, cette plainte est enfin enregistrée le 06 Novembre 2007! Soit trois mois
après les déclarations de mon enfant. Quatre heures d'audition pour un procès verbal!

La constance de ce gendarme est de démontrer un prétendu conflit de couple, qui pencherai en faveur d'une protection de l'agresseur désigné par la présomption d'innocence, sans aucune équité avec les droits de la victime. D'emblée, la Charte du gendarme est transgressée par un manquement d'impartialité des plus incongrus.
Je découvrirai bien des années plus tard, que c'est ce même gendarme qui avait enregistré la main courante de J.P. deux jours plus tôt. Son pouvoir de manipulation avait fonctionné à merveille.
Le dimanche suivant, J.P. se présente de nouveau devant notre domicile, avec les mêmes menaces relatives à mes enfants. Puis il se rend de nouveau à la gendarmerie pour une nouvelle main courante à mon encontre, révélant cette fois sa nouvelle adresse. Élément porté à ma connaissance bien trop tard.

Suite à l'audience de non conciliation du 04 décembre 2007, la juge aux affaires familiales (B. C.) accorde à J.P. des visites médiatisées avec mes jumeaux.

Les enfants ne veulent pas s’y rendre et ne cessent de répéter :« Maman va nous protéger ».
Comment puis-je me résoudre à les contraindre à se mettre psychologiquement en danger en rencontrant leur bourreau, alors qu'ils s'assurent de ma protection?
Alors oui, je n’ai pas honoré ce jugement, ayant fait le choix, en toute connaissance de cause, de respecter la volonté de mes enfants dans leur intérêt, et uniquement le leur!
Une décision que je paie par une mise en garde du juge de la mise en état saisie par J.P. , « sous peine de devoir remettre en cause l'exercice conjoint de l'autorité parentale ». Un comble!

Dans le cadre de la plainte concernant A., ma fille est examinée par un médecin légiste.
A. est entendue une première fois en salle Mélanie. Or, trois semaines après, il sera étonnant d'apprendre que le lendemain de l'audition du présumé coupable qui nie les faits (audition faite toujours par le même gendarme), les cassettes d'audition de A. sont déclarées inaudibles.
Elle sera donc entendue une seconde fois en salle Mélanie.
Rappelons ici, que l’objectif principal de cette application est de limiter le caractère particulièrement éprouvant de ce moment de procédure et d’éviter au mineur de répéter, à plusieurs reprises, ce qu’il a vécu sachant que « redire c’est revivre ».
A. est seulement âgé de 4 ans et il lui est aussi demandé de décrire sur une poupée ce qu'elle a subi.
L'expert présent, discrédite la mère en évoquant un prétendu conflit de couple, pour décrédibiliser la parole de l'enfant.

La plainte est donc classée sans suite pour « infraction insuffisamment caractérisée ».

Avec mon nouvel avocat, je me constitue partie civile réclamant l'ouverture d'une instruction.

Je suis accusée d’être « procédurière » au comportement « délétère ». Mais jamais personne ne retient les agissements de J.P., ses menaces d’enlever mes enfants à la sortie des classes, l’assignation en divorce à mes torts exclusifs (mon avocat ne l'ayant pas assigné dans les trois mois impartis), la saisie du juge de la mise en état au détriment de la conservation de mon autorité parentale, la saisie du juge des enfants au détriment de mes enfants par une demande de placement, l'accusation à mon égard d'un prétendu syndrome d'aliénation parentale, d'incommensurables dépôts de plainte pour dénonciation calomnieuse ou non présentation d’enfants, la production en justice d'attestations mensongères et calomnieuses signées par les membres de sa famille et l’amie de sa soeur aînée, de manière à me dénigrer avant même la première audience en divorce...

Affaire Chastan - Un dossier qui fait le buzz - CopieJe suis menacée successivement par la juge de la mise en état (toujours B. C.) et par le juge des enfants (E. A.) de me voir retirer mon autorité parentale, si je ne respecte pas la dignité de J.P. en ne préparant pas mes enfants aux rencontres médiatisées.

Quelle que soit l’opinion des petits, il m’appartient donc de les contraindre à voir leur prédateur!
Chaque visite est une étape difficile.
Dans ces points de rencontre, ils sont menacés, manipulés, victimes même d’un chantage abusif par les intervenants, accusant leur mère devant eux. Mes jumeaux iront à ces rencontres obligées, peu importe les conséquences somatiques: cauchemars, pleurs, énurésies, nausées, vomissements, certificats médicaux à l’appui, difficultés scolaires, manifestations diverses en classe, attestation de la maîtresse inquiète et sensible à leur souffrance. Peu importe! Moi, la mère, je suis condamnée sans « présomption d'innocence », je suis coupable: « je ne les prépare pas » !

(...) Dans cette spirale de l’horreur, où je vais alors être aspirée, une seule et unique personne garde toute mon estime: Mme L. F., assistante sociale du Conseil Général de M. dans le T..
Elle est systématiquement écartée dans les procédures, car elle fait son travail avec ferveur et défend les enfants victimes avec conviction. Elle a eu le courage de faire face à une véritable conjuration entre la justice, la police judiciaire et certains éducateurs.
J. se confie à cette assistante sociale. J. n'est pas victime que de simples agressions sexuelles, elle est aussi victime d'actes de pénétration par sodomie. Des déclarations soutenues par une victimologue qui établie un certificat médical, toujours négligé par la justice, car la démarche de
suivi est effectuée sur l'initiative de la mère.

L'assistante sociale me demande de déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès de la gendarmerie de M. dans le T.. Elle m'y accompagne pour dénoncer les faits; elle demande à être auditionnée comme témoin, précisant qu'elle a entendu la mineure et qu'elle a procédé à un signalement auprès du Procureur et auprès du juge des enfants. Elle n'est pas reçu pour un procès verbal d'audition.

279014_528845587145835_1441391967_oDans le procès verbal de renseignements judiciaires, transgressant encore l'impartialité, le gendarme note: « nous remarquons que cette personne est prête à tout pour nuire à son mari et qu'elle dégage un climat délétère au sein de sa famille et de ses enfants dont elle a la garde ».

J. ne subit toujours aucun examen médico-légal.
A son tour, elle est entendue en salle Mélanie. Sa parole est discréditée par le même expert nommé pour sa soeur. Le gendarme présent est différent du précédent. Il va à l'encontre de l'avis de l'expert en précisant dans la clôture de son enquête:« De l'enquête effectuée, il ressort qu'il existe une ou plusieurs raisons plausibles de présumer que la ou les infractions suivantes ont été commises et peuvent être retenues ».

Le dossier est classée sans suite, sans même que l'agresseur présumé ne soit auditionné ou mis en garde à vue.

A cette annonce, J. réagit vaillamment. Elle est décidée à continuer de se battre. Je tente de l'en dissuader, car je crains les conséquences d'un nouvel échec. Le déni de justice est certain.

(...) J.P. ne paie pas les pensions alimentaires à plusieurs reprises, et ma situation financière devient critique. Je parviens tout de même à subvenir aux besoins de mes enfants.
(...) Le juge des enfants (E. A.) prononce une ordonnance aux fins d'investigation et d'orientation éducative (IOE) qui se révèle rapidement être un véritable échec.
L'éducateur et la psychologue de la PJJ ne cessent de m'attaquer par des procès d'intention et tourmentent les enfants de questions totalement ahurissantes et inadaptées.
De ce fait, J. est accusée d'influencer sa soeur A. Mon fils R. est questionné sur le quotidien et les fréquentations de sa mère. Ils sont totalement déstabilisés.

En Septembre 2008, je prends donc la décision de scolariser A. loin de ce capharnaüm. Plus sensible, il me semble qu'il est temps qu'elle s'éloigne de cette atmosphère parajudiciaire inquiétante. Les somatisations deviennent d'autant plus importantes. Et c'est un pari réussi, en la
scolarisant dans les BdR. chez ma soeur, elle redouble de confiance et son travail scolaire s'en ressent positivement.

R. rejoint sa jumelle le trimestre suivant, avec la ferme intention de partir m'installer près de mes parents dès le mois de juin. Ma solitude est à mon désavantage, nous avons tous besoin d'être entourés et soutenus. Cependant, je suis en train d'échapper à la PJJ et cela n'est pas à leur goût. Ils interviennent aussitôt auprès du juge, car un probable déménagement imminent est synonyme d'une incompétence territoriale du Tribunal de C. dans le T. et J.P. ne contrôlerai plus rien.

Le juge pour enfants (E. A.) me contraint alors de ramener mes jumeaux à mon domicile de toute urgence (sans tenir compte de leur scolarité), il m'accuse de me désinvestir de mon rôle de mère, il met en place une assistance éducative en milieu ouvert (AEMO) et ordonne des expertises
psychiatriques pour l'ensemble de la famille (père, mère et enfants).

Le compte rendu d'expertise psychiatrique est une bouffée d’oxygène : « La relation mère enfant apparaît de bonne qualité et investie au travers d'un attachement sécure »; « les relations maternelles ne sont pas à remettre en question »; « (la maman) est à même d’assumer à temps complet la garde de ses enfants, en l’état et dans l’avenir. » La colère de la partie adverse est à son sommet.

Contre toute attente, le signalement effectué par l'assistante sociale concernant les révélations de J. s'était retourné contre moi, remettant en question mes valeurs éducatives.

Dès lors, le juge pour enfants (E. A.) ouvrait un dossier en assistance éducative relatif à J.

 

sandrine-chastan-06-juin-2013La justice du côté du pervers

(...) Ne parvenant pas à voir les enfants hors visites médiatisées, J.P. fait intervenir ses parents auprès du juge aux affaires familiales (G. K.) à C. dans le T. pour obtenir des droits de visites et d'hébergement de mes jumeaux.

La juge (G. K.), en présence du vice-procureur (P. M.), accorde toute les demandes des grandsparents paternels, sans jamais tenir compte de l'alcoolisme de la grand-mère; un jugement rendu sous réserve de la décision du juge des enfants (C. F.).

La première audience avec cette nouvelle juge pour enfants (C. F.) est un véritable fiasco. (...) Personne ne retient l'aspect positif des dernières expertises rendues en ma faveur.
La juge m'accable et elle prend la décision de confier les enfants au père durant les week-end et vacances scolaires et ordonne une AEMO à son domicile. Elle ne s'oppose nullement au jugement rendu en faveur des grands-parents paternels, spécifiant qu'elle n'est pas « compétente pour trancher ». Toutefois, elle précise qu'il serait « opportun que ceux-ci, avant de faire appliquer les droits de visite, se rendent également dans un premier temps aux visites médiatisées, dans le plus strict intérêt des enfants ».

Le 28 Novembre 2009, les grands-parents paternels se présentent à mon domicile, accompagnés d'une prétendue assistante sociale. La recommandation de la juge pour enfants n'est pas respectée.

Le ton monte rapidement, des insultes me sont proférées, je suis frappée. J'aperçois la jeune femme donner un appel de son mobile, puis aussitôt une voiture à vive allure arrive dans le lotissement, avec à son bord J.P., qui a l'interdiction de ne pas approcher la maison, sa soeur aînée É. et un enfant sensiblement de l'âge de mes jumeaux. Je comprends que la prétendue assistante sociale est en réalité, la nouvelle compagne de J.P.

La virulence de cette famille s'accroit, injuriant ma fille J. qu'ils aperçoivent à la fenêtre., puis nous menaçant de mort devant témoins, la grand-mère criant « Tu va nous le payer toi et TES enfants! », et la soeur hurlant « je vais lui faire la peau. ».
Ils s'en prennent physiquement à une voisine sortie dans la rue. É. lui lève le poing au-dessus de la tête. Pétrifiée, je téléphone à la gendarmerie de M. qui intervient rapidement. Les officiers nous connaissent, ils ont eu en charge mes filles en salle Mélanie. Lecture faite des derniers  jugements rendus, l'un deux reconnaît que je suis « tombée dans un guet-apens ».

A aucun moment, A. et R. ne sont réclamés pour le droit de visite.

46022919 jpeg_preview_largeLeur intrusion musclée était parfaitement bien orchestrée. Destinée à me terrifier, elle visait à me faire fuir avec mes enfants. J.P. me connait mieux que personne. Il sait que je suis une maman avant tout et que mon instinct de protection me pousserai à partir. Son plan fonctionne à merveille.
Je prends le temps de déposer une plainte l'après-midi même, accompagnée de ma voisine qui se porte témoin de la scène. J'avertis les gendarmes que mes enfants étant menacés, je n'ai d'autre choix que de quitter le département pour les protéger.

(...) Très rapidement, les enfants s’épanouissent, retrouvent le sourire, et un sommeil réparateur.
Ce départ, le 29 novembre 2009, se révèle constructif, apaisant et libérateur. Nous sommes enfin tranquilles, c’est tout ce qui compte, et en parfaite santé.
Bien sûr, la présence de J. nous manque, mais j’ai acheté deux clés internet qui nous permettent de rester en contact via la webcam, et nous venons parfois lui rendre visite.
Nous ne sommes pas cachés, nous vivons normalement, à la vue de tous. Nous sommes d'ailleurs très facilement localisables. J'utilise mon véhicule, mon téléphone mobile, ma carte bleue. Rien n'est modifié à mes habitudes. Nous avons juste... la jouissance de la quiétude, et cela nous suffit.

Nous vivons sans peur, réalisant très bien quels sont les risques à chaque rencontre avec J..
J’ai préparé mes enfants à cette éventualité, sans pouvoir évaluer un seul instant l'amplitude de l’acharnement judiciaire qui s’abat sournoisement contre nous durant toute cette année 2010.

J'avais fait modifié mon numéro de portable suite à des appels incessants toujours raccrochés.
Le 04 et 05 mai 2010, je reçois de nouveau des appels téléphonique sans interlocuteur. C'est même A. qui décroche. Le 05 mai 2010, j'entends enfin quelqu'un: c'est J.P. qui affirme m'avoir localisé, il me demande d'ailleurs « Il fait beau à …? » et il ajoute « Tu as fini de courir! ».
Nous sommes de nouveau en danger. Je n'ai plus qu'à charger le véhicule et partir. Nous étions bien installés et avions pris des habitudes, fait des connaissances.

Comment peut-il avoir mon numéro?

children_s_rapesDécembre. L’anniversaire de J. approche, nous venons passer quelques jours pour fêter l’évènement et apporter les cadeaux de fin d’années.
Le lendemain de notre arrivée, 07 Décembre 2010, je conduis J. à son collège, il est 13h30.
Nous sommes accompagnée de ma mère, avec laquelle j'ai l'intention d'aller chercher le sapin de Noël après avoir déposé ma fille.
Devant son établissement scolaire, j’aperçois deux véhicules: l'un de la gendarmerie et l'autre de la police municipale. Étrangement, rien ne se passe, la circulation reste fluide. Ma mère comprend immédiatement ce qu'il va se passer. Je tente en vain de la rassurer, J. est toujours dans la voiture.

Je suis consciente de la suite des évènements, sans jamais me rendre à l'évidence d'une probable incarcération. Malgré cette avidité, je ne prends pas les minutes nécessaires pour embrasser ma fille et lui dire que je l'aime tendrement, qu'elle n'a pas à s'inquiéter.
A l’évidence, ils ont repéré mon véhicule le matin-même devant le domicile de ma soeur et prétextent un contrôle routier pour me stopper. Tout ceci est parfaitement expliqué dans leur rapport. Après le contrôle d’identité, je suis embarquée sous le regard des nombreux adolescents et parents d'élèves, mais plus particulièrement J., que je crois entrée dans le collège. Il n'en est rien, elle observe sa mère être arrêtée, à seulement quelques mètres devant elle.

J'ignore quel va être mon sort. Devant les gendarmes, je demande rapidement à ma mère de garder mes enfants, de téléphoner à mon médecin et l'avocat de J., qui est le seul que je connais à proximité.

Très excité par sa prise, l’un des deux gendarmes hurle dans ce véhicule qui me mène à leur brigade de G. dans les BdR: « Vous allez passer Noël derrière les barreaux d’une prison! ». Je suis surtout curieuse de connaître le montant de sa prime à l'approche des fêtes pour un poisson comme moi!

On me remet une ordonnance du juge des enfants en date du 08 juillet 2010: placement de mes jumeaux dans un foyer pour une durée de douze mois!

Les gendarmes tentent inlassablement de me faire avouer où se trouvent mes jumeaux. Ils feintent d'ignorer leur localisation,... ils savent! Jamais je ne livrerai délibérément mes enfants à leur institution. Je n'ai rien à déclarer.

ightisabtiflaa(...) On m'informe d’un jugement en correctionnel prononcé par défaut le 09 juin 2010. Je suis signifiée d'une condamnation à six mois de prison ferme pour non-représentation d’enfants.

L'arrivée de l'avocat nommé d'office succède à cette signification par le greffier. Il appartient au cabinet de mon tout premier avocat. Les présentations sont d'emblée très froide: Je refuse de lui dire où sont mes enfants, à lui, «mon avocat»! Il feuillète un énorme dossier me concernant. Je lui dit d'appeler l'avocat de J., il est le seul à maîtriser mon affaire. Il s'en abstient, du moins c'est ce qu'il prétend...

Nous entrons dans le bureau du juge d'instruction (É. B.). Elle est la juge qui a entendu A. dans son cabinet courant 2009, dans le cadre de la plainte avec constitution de partie civile. J'ignore encore qu'elle a prononcé un non-lieu au bénéfice de J.P., le 15 Février 2010.

Ma ténacité me coûte une menace d'incarcération. Peu m'importe.

Je suis donc incarcérée, menottes aux poignets, pour avoir tenu tête à la juge d’instruction (É. B.), à la juge des détentions et de la liberté (A. M.) et à la substitut du procureur (A. O.).

(...) En prison, le personnel de l'unité psychiatrique tente de vous faire croire que c’est difficile; que si c’est trop difficile, vous n’êtes pas seul, on peut vous aider…à vous droguer de médicaments, une drogue autorisée en somme! Au fait…si je ne me trompe, la prison, ce n’est pas une camisole de force! Ou chimique! Il y a des lieux pour cela non? Car il faut savoir qu’en prison cette unité médicale vous courtaprès! Vous êtes un patient fortement potentiel! Et si vous tombez dans leurs mains, vous n’êtes pas prêt d’être crédible à l’extérieur! Alors il faut combattre pour les éviter, car on ne vous lâche pas si facilement!

(...) En deux mois de détention, la presse écrite fait paraître quatorze articles sur mon cas. L'affaire est médiatique (radio, télévision,...). Mon avocat les informe de mon état de santé qui se dégrade lentement. Je n’ai alors pas de mal à imaginer que mes enfants souffrent de savoir leur maman en prison. Je ne veux pas que mon obstination ait des conséquences sur eux.

Lorsque le courrier parvient à un détenu, il est ouvert, lu et transmis aux magistrats. Il est remis au prévenu environ un mois après la date de son expédition.
Le premier courrier personnel que je réceptionne est celui de ma fille J. Le jour de ses 14 ans, trois jours après mon arrestation, elle m’écrit : «Maman, savoir que tu es en prison me fait beaucoup de peine. Quand j’ai vu les flics devant le bahut et que je les ai vus t’emmener comme une criminelle, alors que tu fais tout pour nous protéger contre un homme qui m’a violée, qui nous a battus et qui m’a traitée de menteuse
Comment ces magistrats peuvent-ils demeurer dans le déni! Ils sont dénués de toute humanité.

le-dysfonctionnement-judiciaire-tue-alienation-parentale-services-sociaux-ase-jaf-injustice26 janvier 2011, je suis convoquée par la SPIP (Services Pénitentiaires Insertion et Probation). Je sais d’avance que cela est mauvais signe. La justice m’a volé mes enfants. Je n’obtiens aucune précision sur leur rapt, les méthodes employées, les conséquences,... à un détail près relatif à mes enfants, privés cruellement de leur mère depuis trop longtemps: R. aurait demandé des nouvelles de sa maman pour qui il se fait du souci.
J’ai des envies de meurtre! Pourquoi n’ai-je pas tué ce monstre qui abuse de mes filles? Pourquoi ai-je fait confiance à une justice qui nous a déjà trahis dix ans plus tôt?

Je suis libérée sous contrôle judiciaire dès le lendemain, par un autre juge d’instruction (F. R.) qui a pris le relai. Celui-ci doit sa notoriété à l’affaire t. A.-B.. Son ordonnance me contraint à vivre au domicile que j’ai quitté sous la menace. Je n’en ai pas les clés et il n’y a ni eau, ni électricité.

(...) Pourquoi cette course puisque personne ne m’attend? Qui sait que je suis dehors? J’ai espéré cette libération pour serrer mes enfants dans mes bras, les embrasser, les rassurer, leur chuchoter que je les aime. Je suis bien loin de mon souhait. Je ressens le besoin d’apaiser les miens. Il me faut les joindre. Je ne parviens pas à me souvenir d’un quelconque numéro de téléphone. A force de concentration, de vagues coordonnées me reviennent alors. Je finis par trouver la bonne combinaison. C’est ma mère. Je me présente par mon prénom, je l’entends, elle est en pleurs: - « ma fille! Tu m’en veux? ». - «Non!». Je ne comprends pas.

Lors de mon interpellation, ma mère m’accompagnait en voiture. Je lui avais imposé cette lourde  responsabilité de garder mes enfants jusqu’à mon retour, ignorant ce qu’il adviendrait de moi. Je suis encore loin d’imaginer ce qu’il s’est passé ce 25 janvier 2011, où trois brigades de
gendarmeries ont alors pénétré avec force et violence au domicile de ma famille, menaçant mes enfants, brutalisant tante et grand-mère sous leurs yeux, brisant tout sur leur passage!

28 janvier 2011, j'arrive enfin à cette gare d'A. dans le V..
Lorsque je parviens au domicile de ma soeur, elle m’envoie une gifle magistrale, symbole de ce qu’elles viennent de subir, elle et ma mère: l'invivable rafle de A. et R., la douleur dans une maison retournée sans ménagement. La violence déployée ici se pressent encore.

J’apprends qu’elles ont été arrêtées trois jours plus tôt et conduites au tribunal de C. dans le T. devant le juge d’instruction (F. R.); elles sont elles aussi sous contrôle judiciaire.Un mandat d’amener était dirigé contre ma mère uniquement, ma soeur s’est trouvée au mauvais moment, au mauvais endroit, elle était en maladie, et les gendarmes l’ont embarquée dans la foulée!

Flyers 2 - CASTRES - 15 juinDès à présent, je dois mener une véritable bataille judiciaire au seul profit de mes enfants. Je dois déployer toute mon énergie à comprendre tous les tourments qui nous ont été infligés durant cette année de liberté éphémère. Ceci n'est qu'un début: saisir la situation juridique.
Les méandres de la justice sont bien plus compliqués qu'il n'y paraît. Dans ce monde judiciaire, il y a un parallèle, des initiés, des prédateurs, des alliés insoupçonnables de pervers et d'agresseurs,... un monde où les enfants sont instrumentalisés à un assouvissement de pouvoir, de destructions barbares à la soumission inhumaine,... 

Avec l'aide d'un cabinet d'avocats particulièrement agressifs, sans aucun respect des déontologies, et pour cause, J.P. est ainsi parvenu à obtenir le profil de la victime idéale, récompensée par la justice de C. dans le T.. La victoire d'un pervers narcissique sans scrupule, le trophée multiple:
- un non-lieu pour la plainte relative à A.;
- ma condamnation à six mois de prison ferme pour non-représentation d'enfants;
- un premier placement de mes jumeaux en famille d’accueil pour une durée six mois.
- un divorce à mes torts exclusifs, avec l'obtention au bénéfice de J.P.: l’autorité parentale exclusive, la résidence des jumeaux, des dommages et intérêts;
- un second placement de mes jumeaux en lieu de vie pour une durée de douze mois;
- mon incarcération, entraînant une situation de surendettement et la vente de notre maison avec sa seule signature, alors que j’ai toujours payé le crédit de cette maison et les impôts, depuis Novembre 2007 jusqu’en Février 2011 inclus (sortie de prison).

Je ne possède plus rien, et je suis totalement anéantie, sans emploi, ni toit.

Mes enfants sont en encore plus en danger, maltraités par les institutions et soumis à leur prédateur. Pour cette magistrature, il ne s'agit pas d'appliquer la loi dans le principe d'une précaution quelconque. Mes enfants ne sont qu'un prétexte pour m'atteindre: il s'agit d'une véritable guerre entre des magistrats et une mère protectrice qui n'a aucune crainte à leur résister.

Child-sexual-abuse(...) Le juge d'instruction (F. R.) me profère dédaigneusement: «Vous êtes vivante et bien vivante, je peux vous le dire!». Il me pose l'interdiction de rencontrer mes enfants ou d'entrer en contact avec eux de quelque manière que ce soit.

Enlevés dans les BdR. par les services sociaux de C. dans les BdR., mes enfants ont été placés en foyer une première fois, puis envoyés dans une famille d'accueil à S. dans les BdR..
Aussitôt les enfants rapprochés, J.P., accompagné de son conseil, poussent la porte du Tribunal pour enfants pour réclamer une audience.
Ce que la juge des enfants (C. F.) ne manque pas de leur accorder, une audience en présence d'A. et R., où mon fils manifeste son refus d'être approché par son père, par des coups de pieds dans les jambes (faits rapportés par l'avocat de J.P. lui-même).

 

Du conflit à la mère maltraitante

La nouvelle étape judiciaire consistera à me faire passer pour hystérique, aliénante et dangereuse, que ce soit par des allégations d'un expert (Pr. R. F.) minutieusement choisi par la juge des enfants (C. F.), par l'avocat adverse, les services sociaux de l'Aide Sociale l'Enfance du T. ou par l’avocate des enfants qui a tourné sa veste. (Suite à une audience en cour d'appel, où la présidente de la cour lui demande qui est à l'initiative de sa nomination auprès des enfants, l'avocate des jumeaux n'apparaitra jamais plus dans aucun procès verbal d'audition, ni audience à jugement).

(...) Je reverrai mes enfants qu'après sept mois de séparation imposée de décembre 2010, jour de mon arrestation, à juin 2011, première visite médiatisée de 90mn mensuelles.
Une première visite cauchemardesque: je dois attendre près de quinze minutes dans le hall du Conseil Général. Cette attente est ainsi infligée lors de chaque visite, tout comme le départ des enfants quinze minutes avant l'heure. Je perds près de trente minutes de mes 90mn mensuelles
accordées à chaque visite!

(...) Visite dantesque: sombre, effroyable, terrifiante: mes jumeaux sont sales, mal vêtus, ils me décrivent des conditions d'hygiène déplorables dans lesquelles ils vivent: A. a été piqué par une tique à l'oreille, R. est couvert de piqûres de puces sur tout le corps, les ongles noirs, les cheveux ternes, la peau mal lavée, A. précise que la douche est pleine de « faucheux au plafond »... et comble de tout, mon fils a été décalotté, sans aucune raison médicale!
Rappelons que décalotter un enfant est anti-naturel; il s'agit d'une pratique culturelle en France, qui ne l'ait pas dans d'autres pays, réalisée par des médecins français interventionnistes!
Au premier procès-verbal après son rapt, R. déclarait à la juge, avec beaucoup de courage: « Je voudrai revoir maman. Mais pas papa. J'ai pas envie. J'ai peur. J'ai peur de ce qu'il a fait à A. »
Et encore: « J'ai peur par rapport à ce qu'il a fait à A. À moi, il ne m'a rien fait. J'ai peur pour moi
car j'ai peur qu'il me fasse quelque chose.»

WordPlacement-668c3(...) Au Tribunal, la juge pour enfants (C. F.) est en congé maternité. Elle va, tour à tour, être remplacée :
- par la juge des détentions et de la liberté (A. M.), en juillet 2011, qui décidait de mon incarcération, quelques mois plus tôt. A mon entrée dans le bureau, elle me demande sournoisement: «Comment allez-vous depuis la dernière fois que l'on s'est vu?», on ne peut être plus ironique!;
- et par la juge aux affaires familiales (G. K.), en décembre 2011, qui accordait des droits aux grands-parents paternels, la rendant ainsi complice de ce 28 novembre 2009 où nous avons été menacés de mort.

Pour cette audience, comme l'autorise le Code Civil, j'ai déposé des récusations pour cause de suspicion légitime contre les magistrats ayant précédemment connu l'affaire comme juge.
De plus, ayant déposé une plainte avec constitution de partie civile pour le compte de J. contre son agresseur, sur le premier lieu des faits, cela ne plait absolument pas à cette juge (G. K.) qui en fait une affaire personnelle. Elle me promet de «s'occuper personnellement du cas de J.».

Je ne suis assistée d'aucun avocat, mais je tiens tête, spécifiant que J. n'appartient pas à sa juridiction, et par conséquent, ce tribunal est territorialement incompétent.
Mais que cela ne tienne, elle menace encore de procéder par dérogation! Et elle précise qu'«il existe bien des moyens pour faire taire un enfant».

À force de recherches, je vais découvrir que G. K. est l'auteur de La responsabilité des magistrats, qu'elle a enseigné à l'Université d'A. dans le V. (lieu de plainte pour J.).

2013-07-03_205527Ces deux juges vont, progressivement et très rapidement, confier mes jumeaux à J.P. sans aucune surveillance, week-end et vacances scolaires.

De cette manière, sa compagne intervient régulièrement auprès des éducatrices de l'ASE, de la responsable et des éducateurs du lieu de vie pour éradiquer tous mes droits. Elle se veut la mère de substitution par excellence.

Pourtant les rapports du lieu de vie sont consternants, depuis «l'annonce d'un retour chez le père»: des «manifestations somatiques» chez R.; «A. montre des comportements extrêmes, perd la maîtrise d'elle-même.»; «A. a témoigné un immense mal-être suite à la décision de décembre 2011. Les manifestations les plus courantes sont des crises plus nombreuses et plus importantes. Elle se met à crier, à taper sur tout pendant parfois deux heures. Nous sommes à la limite d'une contention physique»; «A. a pu s'écrier qu'«elle voulait partir» pour vivre «chez  Maman.»; « elle a explosé, s'est énervée; elle a dû être isolée dans sa chambre dans laquelle elle a crié un long moment »;...

Un appel à une mobilisation citoyenne est parue sur le net. Elle a abouti à un petit rassemblement luttant pour la cause des enfants victimes et des conséquences sur les parents protecteurs.
Des journalistes de la presse écrite, correspondants en région des journaux télévisés et de la radio, se sont déplacés. L'affaire devient nationale.


C'est dans un état très serein que je me rends à cette audience de correctionnelle.

Je conviens que je ne suis en réalité pas préparée à tout ce qui va se dérouler, je pense même que je n'en mesure pas l'intensité, il m'importe tellement peu de cette procédure. La probabilité d'une prochaine incarcération n'a que peu d'intérêt. Mon souhait unique est que ma famille s'en sorte indemne.


Affaire Sandrine Chastan sur M6 - 6 juin 2012 par JaneBurgermeister

J.P. n'est pas présent, ni son avocat qui a refusé toute interview à la presse. Une collaboratrice de cette SCP, que je reconnais, assiste très discrètement à cette audience.

Malgré la sollicitation de mon avocat, je ne me lève pas devant cette cour qui fait son entrée en salle, le président de ce tribunal (P. M.) et la procureur (M.G.).
« Je ne me soumettrai pas à cette Justice aussi longtemps que la parole de mes enfants ne sera pas prise en compte. »
Le procès va se tenir près de trois heures durant.

Les nombreuses attaques qui visent ma mère et ma soeur me font craindre pour elles, je connais trop l'inhumanité du tribunal de C. pour le côtoyer depuis près de cinq longues années.

flyerPar un interrogatoire brutal et une répartie sarcastique, le président du tribunal (P. M.) fait preuve d'une véritable cruauté jusqu'à mettre en péril le diagnostic vital de la grand-mère maternelle de mes enfants.

Face à la puissance de cette autorité qui semble vouloir régner en maître, cette grandmère lutte pour faire entendre qu'elle n'a agi que par conviction et amour pour ses petits-enfants.

Mon avocat me joint par téléphone pour m'annoncer le verdict. Cet homme sait que mes inquiétudes se portent sur la sentence envers ma mère et ma soeur, il est inutile de lui préciser de commencer par là. Elles écopent d'un sursis de principe, soit trois mois pour la grand-mère et deux mois pour la tante. Aucune amende, si ce n'est le montant de 90€ du droit fixe de procédure lorsqu'on est reconnu coupable.

En ce qui me concerne, je ne retournerai pas en prison. Mais à vrai dire, le seul soulagement ressenti à ce moment précis, ne concerne pas ma condamnation.


Castres: Prison avec sursis pour avoir protégé... par JaneBurgermeister

D'ailleurs, de retour au tribunal où je suis attendue par les journalistes, je suis contrainte de leur demander de me rappeler la nature de ma peine. Je suis condamnée à douze mois de prison dont un mois ferme, alors que j'ai déjà effectué deux mois de préventive! S'agit-il d'une condamnation qui doit servir d'exemple? J'en souris.

(...) Ce n'est que le surlendemain que je prends connaissance d'un document relatif à cet épisode, où j'ai pu obtenir que ma mère sorte de cette salle d'audience pour être ausculter par un médecin. Il s'agit de l'attestation de refus de soins et d'hospitalisation signée par la main tremblante et fatiguée de cette mère et grand-mère, qui n'avait qu'un désir rester auprès de ses filles.
La lecture de ce document est d'une violence extrême, sans mon intervention, ce tribunal tuait une femme sous les yeux de nombreux témoins: « risque vital, risque de décès ».

81590822_oUn nouvel appel à mobilisation citoyenne est encore paru sur le net relatif à l'audience devant le tribunal pour enfants de C. dans le T., le 15 juin 2012.

Cette audience est largement plus importante que cette correctionnelle d'il y a dix jours en arrière, il en dépend du devenir de mes jumeaux.
Je me rends à cette audience dans un état très soucieux et angoissée, accompagnée de trois personnes, qui m'ont déjà témoigner de leur soutien. Trois journalistes locaux sont aussi venus (télévision, radio, presse écrite).

Le même capitaine du Service Départemental d'Informations Générales présents le 06 juin est encore là. Il s'adresse à moi et j'obtiens le renseignement qu'il est envoyé par le Sous-Préfet de C. Des voitures de police circulent autour du tribunal régulièrement. Puis deux agents de police vont entrer dans le tribunal.

Lorsque je sors de cette audience, qui ne mérite aucun commentaire, les agents de police était présents dans le hall du tribunal pour enfants, spécialement missionnés à ma surveillance!
Au moment où l'un des agents m'explique le motif pour lequel ils sont là à m'attendre, cette juge pour enfants (C. F.), unique responsable de la condamnation de mes enfants à leur bourreau, traverse ce petit hall et précise: « Je tiens à avertir Mme C. que ce n'est pas moi qui les ait fait
venir ». À quand cette magistrate prendra-t-elle ses responsabilités? À quand aura-t-elle le courage d'assumer la revendication de son unique responsabilité au rapt avec violence de mes enfants, de leur souffrance, de la destruction sociale de leur mère, de la suppression de toute présence maternelle, et plus particulièrement sa haute protection à l'égard d'un père incestueux d'abuser à sa guise de ses petites victimes?

Le délibéré est donc prévisible: le 06 juillet 2012, mes enfants sont remis à J.P., alors que A. et R. ont pu exprimer leur souhait de retourner vivre avec leur mère, et qu'à défaut, leur préférence est de rester en lieu de vie.
C. F. m'accorde un droit de visites médiatisées de 2 heures mensuelles et elle se dessaisit de l'entier dossier au profit du juge pour enfants de C.-F. dans le P. de D., lieu de résidence de J.P. et sa compagne.

Je fais immédiatement appel.

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Un an sans voir ses enfants

Conformément au jugement rendu, je prends contact avec le Point Rencontre de C.-F. dans le P. de D. pour la mise en place de mes droits de visite. Près de dix appels en un mois! Le résultat est inouï.

Au premier appel, rien ne semble entraver la mise en place de ces rencontres. Le responsable du Point Rencontre me précise qu'il doit au préalable prendre contact avec J.P. et m'explique l'organisation de la première rencontre au vu de ma distance géographique, je me situe à des
centaines de kilomètres. Je vais donc rappeler chaque semaine, pour enfin m'entendre dire que suite à un entretien téléphonique avec J.P., et l'intervention de l'autre éducatrice de l'ASE de C. (D. L.B.), « ce ne serait pas notre dispositif qu'il convienne ».

Je prends donc contact avec une autre responsable, qui m'explique que l'association est prestataire de services et que pour les rencontres, il faut voir avec l'ASE de C.-F. dont elle dépend.
Je demande à obtenir les coordonnées de la personne à contacter, la non représentation volontaire n'est que plus évidente: « J'ai eu le papa, j'ai eu une collègue de l'autre département, mais oui, on ne peut pas répondre à cette demande? On n'est pas aussi bien équipé que l'autre département, mais là on peut pas. »; « On n'a pas la structure adéquate ».

Alors que faire si les services sociaux de C.-F. dans le P. de D. prennent un relais encore plus flagrant des services sociaux de C. dans le T.. Ils n'ont aucun scrupule à prendre des décisions à « ne pas répondre à le demande du juge ». À quelle « demande » fait-elle référence? Car à preuve du contraire, tout jugement est exécutoire!

À en croire le jugement de C. F., cette juge pour enfants de C. prévoyait pertinemment les conséquences en nommant les éducatrices de l'ASE de C. pour le suivi du dossier: « Disons qu'il conviendra d'en référé au Juge des Enfants de C.-F. en cas de difficultés ».

(...) Devant la Cour d'Appel de T. en H.G., j'apprends par lecture de l'assesseur, que J.P. se serait séparé de sa compagne. Je n'en crois pas un mot, j'appréhende déjà une potentielle stratégie. A. va très mal, ceci s'en ressent au travers de sa scolarité, mais ces faits ne remettent  absolument pas en cause le placement des enfants chez le père. Tu m'étonnes! D'autant qu'elle n'est pas en mesure d'apporter une quelconque preuve de ce qu'elle avance sur des faits à mon encontre, lorsque j'en fais demande.

enfance-voleeJe suis confrontée au responsable de l'ASE qui perdure dans un discours et des montages fallacieux, toujours à mon encontre. Il invente une convocation non honorée, un appel téléphonique impossible, une prétendue impossibilité de me joindre...
C'en est trop! Je dispose de toutes les preuves matérielles pour contrer ses mensonges, mais je n'en fait rien.

(...) Je fais uniquement requête de l'application de mes droits de visite accordés par jugement du 21 Juin 2012, rien de plus. Les magistrats en sont étonnés. La présidente de cette cour tente de me provoquer, me demande si je ne réclame pas le retour de mes enfants auprès de moi. En vain.
Je lui explique calmement que cette cour n'est pas compétente à trancher sur la question. Une procédure en appel relatif au divorce, donc relatif à la résidence des enfants est prévue la semaine suivante, ma requête éventuelle sera donc formulée.
Contre toute attente, j'ai déposé une plainte pour non représentation d'enfants contre J.P. auprès du Procureur de la République de C.-F. dans le P. de D.

L'absence de réponse du Parquet, dans le délai de trois mois tel que prévu à l'article 85 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale à la plainte déposée en lettre recommandée avec accusée de réception, rend recevable une Plainte avec Constitution de Partie Civile auprès du Doyen des juges d'Instruction.

J'ai donc déposé une plainte avec constitutions de partie civile auprès du Doyen des juges de C.-F. dans le P. de D.
Dans la même semaine, je suis convoquée en gendarmerie pour  la première plainte. Je pense très sincèrement avoir enfin affaire à un gendarme intègre. Cet officier a vérifier chacun de mes dires, mener son enquête et m'a régulièrement tenue informée de son avancé. Enfin soulagée de l'entendre me dire: « Mon rapport va en votre sens ». Il a obtenu l'information que l'éducatrice de C. (D. L.B.) me fait passer pour un véritable « petit brigand », ayant pour intention de « partir avec mes deux enfants sous le bras ».

Néanmoins, je reste dubitative sur la suite accordée à ma plainte.

parentsandchildrenAlors je me sers de cette arme pour conclure ma demande auprès de cette cour d'appel.
La présidente de la cour se retourne vers le responsable de l'ASE, en évoquant violemment un « dysfonctionnement »! Je demande à me retirer, sans attendre la réponse de cette homme, ni le réquisitoire éventuel de l'avocate générale. Peu m'importe ce qui se produit dès lors.
Je n'ai aucune attente positive de cette mafia t.. Je sais d'emblée que tout ceci n'est qu'une théâtrale mascarade, comme à l'ordinaire. Délibéré au 1er Mars 2013.

Ayant fait appel du jugement de divorce prononcé à mes torts, en mon absence, sans avocat, seul l'avocat de J.P. s'est déplacé en cour d'appel. Je suis accompagnée de la collaboratrice de mon avocat, qui m'apprend que le cabinet a été joint la veille pour annoncer la formation d'une chambre spéciale que pour nous! Le motif évoqué étant que la cour prévue était composée de magistrat ayant déjà instruit dans nos dossiers. Tout simplement incroyable! À croire que mes dépôts de récusation antérieurs ne sont pas anodins à ce changement insolite.

Rien concernant mes jumeaux. Seul l'intérêt de Monsieur, « mon client » comme se plaît à dire cet avocat. Quand va-t-on comprendre que J.P. est un pervers narcissique? Que mes enfants sont des victimes instrumentalisées par cet individu avide d'un « pouvoir amoral»? Que mes enfants sont des victimes innocentes livrés à son assouvissement de désirs pervers?

De toute façon, je n'ai aucun espoir à attendre de cette Cour d'Appel. Le contraire serait stupéfiant.
Délibéré le 12 Mars 2013.

Les prochaines périodes judiciaires auront lieu à C.-F. dans le P. de D.

Je n'ai aucune nouvelle de mes jumeaux depuis le 06 Juin 2012.
J'ignore dans quel état physique et moral, ils se trouvent.
Je souhaite seulement qu'ils aient garder foi en moi, leur Maman, qu'ils aient encore l'espoir.


Au plus profond de moi, je souhaite que mes enfants garde en eux combien je les aime de tout mon être, de toute mon âme, de tout mon coeur de mère.
Ils sont privés de leur mère par un système judiciaire et parajudiciaire, parce que je suis le symbole de la mère protectrice, prête à tous les sacrifices pour leur défense.

Mes Amours, Maman vous Aime et combattra pour vous jusqu'à son dernier souffle.
Mon témoignage n'est pas celui d'une victime, je ne suis pas victime et je le revendique.
Mes enfants, mes trois enfants sont victimes. Je n'occupe que mon rôle de mère.
Jamais je ne pourrai me mettre à leur place pour en connaître l'intensité de leurs blessures, la manière dont ils peuvent envisager un avenir, une reconstruction possible.
Ma douleur est maternelle, la leur est indescriptible au regard de l'acharnement judiciaire, parajudiciaire et le déni de toute responsabilité de notre gouvernement.
Les parents se doivent d'abord de protéger leurs enfants: ils en assurent leur sécurité, leur santé, leur moralité et leur éducation. Je n'ai jamais cessé de faire de ces devoirs, ma priorité. Je suis mère avant toute chose, que cela ne déplaise à la justice qui profite de cet état pour m'accuser d'avoir un problème avec les hommes. Quel problème? Celui de privilégier mes enfants à un père incestueux?
Est-ce cela mon crime? Aurai-je du sacrifier mes enfants à des actes d'abus sexuels et menaces de mort? Cela aurait fait de moi une complice d'actes abominables auxquels je n'adhère pas!

avpe22Je ne crois plus en personne. Néanmoins, je persiste à croire qu'il existe une faille dans tout ce système, infiniment petite, mais elle demeure. Et forcément, il demeure des personnes saines et honnêtes. Je dois m'en convaincre pour rester socialement humaine et conserver un espoir pour mes enfants.
Nous agissons avec nos institutions comme il nous l'a été inculqué.
Ce qui nous manque, c'est une analyse, le regard autre, la Vérité!
La Justice n'existe pas. Pas un jour sans un crime d'enfant, un viol, une disparition....
La participation active des tribunaux n'est que plus évidente, il suffit d'observer les sentences à l'égard des criminels, de constater la douleur des vraies victimes, quand elles ont la chance d'être encore en vie, la douleur des familles dévastées.

Le pouvoir judiciaire a, par définition, le rôle de contrôler l'application de la loi et sanctionne son non-respect. Un pouvoir confié aux juges, qui se fondent sur des textes de loi pour rendre des décisions. Mais Que Nenni!
Un magistrat doit trancher les litiges opposant les différentes parties, mais au bénéfice de qui au juste? Un magistrat doit agir en personnalité morale, mais il reste avant tout un être humain.
Pourtant...

Ces enfants victimes sont dépendants d'un monde corrompu, nombriliste, déchu de toute
compassion et d'impartialité. Ce monde se présente au travers de multiples acteurs:
- un service de gendarmerie, de police,...
- des services sociaux, un Conseil Général, son président...
- une commune, un maire, un préfet, un sous-préfet,...
- des avocats, des experts, ...
- des greffiers, des magistrats, des substituts, des procureurs, un président de tribunal,...

Un monde qui privilégie dans sa grande majorité, le pédocriminel, le parent incestueux.
L'enfant victime, lui, est condamné au Silence et à la Solitude de sa souffrance.

Dans notre affaire, le nombre de dysfonctionnements est établi sur cette liste que je tiens à jour, et qui ne cesse de s'intensifier à l'avancé du temps que je consacre à lutter pour mes enfants.
Un temps qui s'accroît au seul dépens de mes jumeaux.
Avant de saisir la justice, il faut apprendre à connaître l'intégrité de chacun de ses protagonistes, la réputation du tribunal.

71216header-love-jpgDans mon affaire:

> le commandant de gendarmerie connaissait J.P. antérieurement et la gendarmerie de M. n'a pas hésité à transgresser la Charte du gendarme.

> les avocats adverses (Me A. F. de B. dans l'H.; SCP Me M. B.-S./Me É. P./Me A. J. de C. dans le T.) et l'avocate des enfants (Me L. M. de C. dans le T) ont largement transgressé les principes essentiels de la profession: le principe d'indépendance, le principe de loyauté, le principe de
confidentialité, le respect du secret professionnel.
> Accusations diffamatoires (principalement sur mineure, J.), infraction par complicité et utilisation de falsification de documents (falsification produite par J.P. et sa compagne), infraction de faux et usage de faux (signature d'un document en mes lieu et place, utilisé à mon encontre), transgression du respect et de l'interprétation des règles.
> Me É. P. a pour compagne H. R., cette juge d'instruction qui a ouvert le dossier de la plainte en constitution de partie civile pour ma fille A. Cette même juge que je retrouve vice-présidente près la Cour d'Appel de T. de H.G. Le conflit d'intérêt est évident.
Le non respect des obligations déontologiques et professionnelles de cette SCP de C. est susceptible d'entraîner parallèle à la responsabilité pénale éventuellement engagée, des sanctions disciplinaires allant de l'avertissement à la radiation en passant par l'interdiction temporaire.
Une demande d'instruction de poursuites disciplinaires contre ces avocats paraît semblable à un contentieux relatif aux principes d'indépendance et d'impartialité.
Une telle demande s'effectue auprès du Bâtonnier de l'Ordre et du Procureur de la Cour d'Appel dont dépend le Conseil de l'Ordre.
Impossible à réaliser au regard du fait que Me É. P. est actuellement Bâtonnier de l'Ordre des avocats de C. et de la position de sa compagne à la Cour d'Appel de T.
Me L. M fait aussi partie du Conseil de l'Ordre.
Une demande qui nécessiterai la plus grande prudence... mais dans ces deux départements... nous sommes loin d'une telle vertu!

> les magistrats ayant connus précédemment l'affaire en d'autres rôles, se retrouvent tour à tour juge pour enfants, ou juge d'instruction d'une affaire à l'autre (saisie pour le compte de la petite victime, puis par son agresseur désigné).

> l'ancien procureur de C., P. B., est avocat général en Cour d'Appel de T. en chambre spéciale des mineurs. La requête en suspicion légitime que je dépose, entraîne une falsification du jugement par un changement d'identité de l'avocat général.

> le juge d'instruction F. R. et la substitut de C., A. O., qui ont mené ensemble le dossier en correctionnel seraint amants (rumeurs des couloirs au sein du tribunal). F. R. se partage entre le tribunal de C. dans le T. et de T. en H.G.; A.O. Est à ce jour premier magistrat auprès du président
de la Cour d'Appel de T. en H.G.

> le procureur de C. dans le T., M. G., est l'ancienne procureur de C. dans l'A. C'est la commune dans laquelle J.P. et sa compagne mènent une vie adultère, au moment où ils nous menacent de mort le 28 novembre 2009. Une A.E.M.O. venait d'être diligentée à leur domicile par délégation de compétence. Une des raisons pour laquelle ils nous font fuir.
M. G. ne peut ignorer un tel fait, c'est elle-même qui classe sans suite toutes les plaintes relatives aux évènements du 28 novembre 2009, malgré la présence et audition témoins.

> et je passe toute la partialité, les attaques, les manigances, les rapports diffamatoires émis par les services sociaux, certains experts, …

> et ce cercle très fermé de C. dans le T. et T. en H.G. où règne sans conteste un univers malsain condamnant les enfants victimes éloignés de leur seul parent protecteur.


J'ai découvert récemment un article de presse - Couples: « Se séparer autrement » - relatant un débat organisé par une association c. en présence de la JAF (B. C.), l'expert psychologue (Mr B. C.) et l'avocat de J.P. (Me É. P.), tous trois dans notre affaire...
Je mène à pleine couture ma lutte et je m'engage à entrer comme il se doit dans la cour des grands... en intégrant leurs écoles initiatiques! À bon entendeur!

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Commentaires
L
galliopée,sa serait pas poupard et cie ceri ? Sa sent le fake mensonge a plein nez
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G
j ai vecu la meme torture, privée, de mon fils 10 ans ss le voir ni l entendre : mon fils avait eté hospitalisé avec de graves fissures anales et 14 medecins avaient denoncé les viols je suis hystero et je seduisais les medecins je suis allee en prison pour outrage a magistrat,je suis ruinée,c était en 1995 ,et a ce jour je constate que rien n a changé,et aucune assos n aide si ce n est pour faire parler d elle ,je les ai TOUTEScontactées,le violeur est libre va bien ms notre fils a fuit des qu il a eu 18 ans et vit pres de moi
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H
La procédure criminelle, engagée par René Pagis sous l ere presidentielle Sarkozy le citeur d'Amis Journalistes Pedophiles A Bientot 2007 au sein de l elysee : http://www.youtube.com/watch?v=tW0nnPECIGA <br /> <br /> <br /> <br /> Procureur Corrompu au service des Pedophiles Criminels du Puy-en-Velay qui laissent volontairement les pedophiles dehors, a été désavouée par l’Avocate Général Jeanne Marie Vermeulin Cour d appel de Riom qui, constatant toutes les irrégularités commises dans ce dossier hautement bidon tant sur le plan juridique que tant sur le plan police gendarmerie : perquisition illegale vols d ordinateurs chez un particulier privé par la gendarmerie locale du puy en velay, a plaidé la cassation, donc la relaxe ! <br /> <br /> <br /> <br /> Peu importe, ordre avait été donné aux juges de confirmer la condamnation, légale ou pas légale, et c’est exactement ce qu’ils ont fait. <br /> <br /> <br /> <br /> Les magistrats corrompus, soutiens de la pédocriminalité et suppôts de la mafia qui gère et tire un immense profit de ces atrocités commises sur nos enfants sont : <br /> <br /> En première instance nous retrouvons la liste : <br /> <br /> Marguerite CHAPEL DE LAPACHEVIE, Président <br /> <br /> Christelle ROLQUIN, Juge Magistrat Assesseur ( vous pouvez pas nous dire mme de chapel de lapachevie le nom de votre magistrate en question qui prostitue ces enfants voire d'autres enfants avec un policier au crane rasé lol de la police de clermont ferrand 63 ? Allez encore un effort mme la soit disant magistrate ! )<br /> <br /> Anne-Marie MACE, Assesseur. <br /> <br /> En appel nous retrouvons : <br /> <br /> Monsieur POUGHON, Président <br /> <br /> Madame GENDRE, Conseiller <br /> <br /> Monsieur BRAULT, Conseiller <br /> <br /> En cassation nous retrouvons : <br /> <br /> Mr LOUVEL, Président <br /> <br /> Mr STRAEHLI, Conseiller rapporteur <br /> <br /> Mr BLONDET, Conseiller de la chambre. <br /> <br /> Tous ces faux magistrats sont aussi coupables que les kidnappeurs, violeurs, tortionnaires et assassins d’enfants français et étrangers victimes des réseaux de pédocriminalité ouvertement soutenus par ces crapules de juges – encore quand ils n’y participent pas personnellement. <br /> <br /> <br /> <br /> Leur collègue, Jean-Pierre ROSENCZWEIG, Président du Tribunal pour enfants de Bobigny, en est un bel exemple. <br /> <br /> http://justiceenfants77.blogspot.fr/2011/05/famille-beyer-le-complot-judiciaire-sur.html <br /> <br /> <br /> <br /> Mais aussi Martine Bouillon le Procureur du tribunal de grande instance de bobigny <br /> <br /> Martine Bouillon a hébergé 220 enfants en neuf ans - Le Parisien <br /> <br /> qui n'hesite pas a le dire publiquement <br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=xi1Tp-iVKiw <br /> <br /> La magistrate upercut n'y va pas de main morte elle clash et dénonce que d'autres magistrats pédophiles de la haute loire de rhone alpes ou d ailleurs souille la magistrature francaise comme le souligne le rapport de JUAN MIGUEL PETIT de l'ONU Organisation des Nations Unies d'ailleurs qui vient ainsi confirmer et infirmer ses dires officielles ainsi que les victimes de pedophilies agés de 2 ans à 18 ans ! <br /> <br /> <br /> <br /> comme vous pouvez le voir dans cet article : <br /> <br /> <br /> <br /> Il ne s’agit pas ici d’hommes d’âge mûr séduits par quelque jeune Lolita, mais de malades mentaux, d’hommes et femmes hautement pathologiques qui assassinent moralement et physiquement des êtres innocents et sans défense. Non, Mme CHAPEL DE LAPACHEVIE, nous n’avons rien inventé TOUT EST LA. Mais vous avez oublié de mettre vos lunettes d'ailleurs ou sinon vous le faites vraiment exprès ! La population francaise les citoyens les citoyennes francais et francaises n hesiteront pas à vous le rappelez dans la rue soit dans votre boulangerie votre pharmacie votre CSM ou devant votre bureau ! <br /> <br /> <br /> <br /> Au risque de provoquer des cauchemars chez des gens normaux du peuple de france et des citoyens et citoyennes de la république francaise – donc pas comme vous – voici quelques preuves photographiques du genre de saloperie que vous protégez. Il n’y aura jamais de pardon. <br /> <br /> <br /> <br /> Et vous ne nous ferez pas taire. C’est la guerre, et nous allons la gagner. Vos amis amateurs de chair fraîche et de sensations fortes, gourmands des cris d’épouvante et des torrents de larmes versées par nos enfants, sont des condamnés à mort. On vient vous chercher. Parole d’homme.<br /> <br /> <br /> <br /> John Hodgkinson
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L
Bonjour, juste pour vous dire que je n’ai jamais rencontré Mr RIBOULET Jean.Christophe cet ancien juge d'instruction que le journal La Montagne en parle tellement bien qui a dissimulé l'affaire du petit antoine de la fraissinette avec l'aval de la police et de la gendarmerie locale de clermont ferrand qui a été capturé par le reseau de pedophiles auvergnats, en plus cet ardent défenseur de pédophiles notoires et de pedophiles connus de toute l'Auvergne chez les commercants artisans notables et cie de l Auvergne et de toute la France, de même que la police et la gendarmerie très connue pour leurs complicités dans les traffics de drogues locaux notoires avec la complicité d'agriculteurs pedophiles locaux gros dealers de drogues locaux http://www.youtube.com/watch?v=QtKk11_Xm14 <br /> <br /> qui effectuent partouzes pedophiles sur les enfants de l auvergne la comission parlementaire de l'assemblée nationale Charles de Courson va en etre ravie de meme que le juge Van Ruymbeke ! <br /> <br /> <br /> <br /> À Clermont-Ferrand, fin des années 1970 début des années 1980, c’était le chef de la brigade des stups qui était le grand chef en Auvergne du deal de drogue. Les drogués dirent de lui que s’il avait été condamné pour le deal de cocaïne et PAS pour le deal de marijuana, c’était parce que, s’il avait organisé le traffic de marijuana, c’était au service de l’État ; tandis que la cocaïne, il la vendait pour lui-même et de son propre chef à ces collegues pjs gendarmes et policiers locaux <br /> <br /> À la même époque, il se disait aussi en milieu drogué que le deal d’héroïne en Auvergne était essentiellement organisé depuis l’intérieur-même de l’école de police de Montluçon. A notre époque cet article est toujours d'actualité d'ailleurs des camions chargés de drogues trônent en plein milieux de clermont ferrand couverts et protegés par la pj auvergne la police la gendarmerie normal les pedophiles de l Auvergne pour faire leurs rituels pedophiles sataniques ont besoin de ghb et de produits de stupefiants lol<br /> <br /> <br /> <br /> et que sur les ordonnances pénales où il se fait passer pour procureur général dans une affaire de viols agressions sexuelles sur un enfant, où les signatures de ce monsieur ne sont jamais les mêmes, où dans cette affaire la procédure n’a jamais été communiqué, où les procès verbaux ont été modifiés, mme la ministre de la justice apprèciera sans aucun doute mme TAUBIRA Christiane place vendome 75000 Paris a de quoi lire sur votre site web d ailleurs, Ceri je ne peux pas tout vous raconter car ce serait trop long, bref j’ai les preuves matérielles, que ce monsieur jean christophe RIBOULET et d’autres intervenants comme Marc ROBERT de la Cour d 'Appel de Riom un faux frere franc macon au service des pedophiles de l Auvergne et de la pedophilie, ont activement protégé un pédophile qui a commis un autre crime sur la région, la police en est informée, je dois faire attention à tout pour rester en vie et protéger mon enfant dans le puy de dome. Je compte sur vous tous francais et francaises vous puydomoises et puydomois et auvergnats et auvergnates pour faire le grand menage ) avec jacques thomet
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C
Aller la soutenir au tribunal quand il y aura une audience, cela permet de faire pression.<br /> <br /> Et faire tourner l'info pour mobiliser au maximum
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