
A l'heure où certains excités squattent les grues et les églises, il est temps de remettre les points sur les "i". Non, ces hommes ne sont pas de petites choses fragiles. Pour la plupart, ces pères ont perdu la garde de leurs enfants pour de bonnes raisons. La Justice, en effet, n'est pas très prompte à supprimer les "droits des pères" aujourd'hui.
Je reprends içi un article du CRIFIP, qui expose rapidement quelques cas de mères confrontées à des pervers qui ont gagné toutes leurs procédures, même quand cela va clairement à...
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