
On a déjà parlé du réseau stay-behind, ou réseau Gladio en Italie, qu'on appelle parfois "l'armée secrète de l'OTAN". De fait, c'est aux groupuscules liés à ces réseaux qu'on doit pas mal de coups foireux des années 60 à aujourd'hui. Par contre, aujourd'hui encore ce système de corruption, d'opérations sous faux drapeaux et de cooptation de nos dirigeants reste un véritable tabou pour ceux qui nous dirigent, comme pour les historiens officiels et les journalistes alignés. Récit du dernier procès en date.
On m'a transmis...
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