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30 avril 2014

BREVE: Des notables impliqués dans l'industrie de la pédopornographie

imgLidia Cacho est une journaliste comme il en existe trop peu. Cette Mexicaine a choisi un sujet sensible : la pédopornographie et la traite des femmes et des filles. Elle a, en plus, désigné les coupables. Cela lui a valu de goûter à la torture dans une prison locale.

 

« Le monde assiste à une recrudescence des réseaux qui pratiquent l’enlèvement, la vente et l’exploitation des femmes et des petites filles : ces mêmes phénomènes qui, en théorie, devaient éradiquer l’esclavage l’ont en fait renforcé », écrit-elle dès l’introduction de son livre traduit en français « Trafic de femmes : enquête sur l’esclavage sexuel dans le monde ».

Et d’ajouter : « cette culture, qui encourage la chosification des êtres humains, se fait passer pour libérale et progressiste ». C’est bien là le piège : combien d’adolescentes pensent que le seul moyen d’être valorisées  est de ressembler à une actrice X. La culture machiste dans laquelle on baigne, même si c’est un peu moins fort en France qu’au Mexique ou au fin fond du Congo, normalise cette utilisation mercantile et sexuelle des plus faibles, les femmes et les enfants.

Et de rappeler qu’aucun gros contrat ne se négocie sans recours à la prostitution, qu’il s‘agisse des ventes d’armes ou de la vente de drogue.

Dans ce livre, Cacho montre comment le trafic de femmes, d’enfants, de drogue et d’armes est lié. On constate par exemple que le trafic de femmes n’a fait qu’augmenter en Irak et en Afghanistan après l’arrivée des mercenaires US et anglais.

On se souvient aussi des bordels géants et du marché aux esclaves à ciel ouvert, près du camp US Bondsteel, au Kosovo, pendant la guerre. De Pattaya, village côtier de Thaïlande transformé par les GI en énorme bordel, où on vend aussi bien des mineurs que des femmes aux touristes de passage. On pourrait continuer cette liste pour toutes les guerres, puisqu’en temps de guerre, il faut que les soldats aient le moral.

art06Cacho parle de fillettes enlevées dans des orphelinats en Roumanie, pour échouer dans des maisons closes en Turquie[1], où nombre de riches occidentaux viennent satisfaire leur libido (notamment des Norvégiens et des Suédois, où les clients de prostituées sont poursuivis). Des réseaux, des mafias, les font venir et leur fournissent de faux papiers.

Elle parle de la Palestine, largement occupée par les israéliens et totalement sous contrôle, où des ONG dénoncent l’augmentation des enlèvements de jeunes, à des fins d’exploitation sexuelle ou même de vente d’organes.

 

Le réseau de la jet set

Fin 2003, Lidia Cacho, qui dirigeait un refuge pour femmes victimes de violences à Cancun (le CIAM), accueillait deux gamines disant avoir été violées par un hôtelier appelé Jean Succar, depuis leurs 8 et 9 ans. C’est en remontant le fil de cette affaire de Lidia Cacho est tombée sur un réseau de pédophiles puissants et très bien organisés. Tellement qu’ils sont encore impunis aujourd’hui, et que c’est Cahco qui a du quitter le pays en 2012.

Il faut préciser que Cancun est une ville créer de toutes pièces il y a une trentaine d’années, pour devenir une station balnéaire géante à destination des touristes US[2]. Il y a énormément de gros hôtels, et beaucoup de gens venus des campagnes pour y travailler.

succar_exCacho a donc enquêté sur Succar, ce qui l’a amenée au Brésil, au Venezuela et même en Espagne, où son réseau de pédopornographie avait des ramifications. Succar se rendait aussi régulièrement en Californie, à Los Angeles, à Las Vegas, à Hong Kong… Une fois qu’il avait des gamines sous sa coupe, il les forçait à lui en ramener d’autres. Ou bien, il allait carrément les chercher, par exemple au Salvador, pour les amener dans un autre pays, comme les USA. A Cancun, où il est arrivée au milieu des années 80, il était ami avec un fonctionnaire responsable des douanes à l’aéroport de Cancun, puis a été ami avec un directeur de l’aéroport de Mexico. Parmi ses proches, il y avait aussi Alexandro Gongora, responsable de l’office des migrations à Cancun.

Son truc, c’était de filmer des relations sexuelles entre enfants et entre enfants et adultes, et de les diffuser contre monnaie sonnante et trébuchante. Il existe même une vidéo où on le voit pendant que des enfants ont des relations sexuelles. D’ailleurs, quand la femme de Succar a fait sortir cette vidéo, il a été lâché par ses avocats.

Plusieurs vidéos pédopornographiques réalisées par Succar ont été saisies lors de l'enquête, et montraient des jeunes de moins de 13 ans dans des "rapports sexuels" avec Succar. Certaines ont été tournées dans des villas de l'hôtel Solymar.

Selon Lidia Cacho et les anciens avocats de Succar, il serait au cœur d’un réseau international de pédopornographie et de trafic d’enfants, très bien implanté dans la plupart des états du Mexique, et aurait fait à lui seul plus d’une centaine de victimes. Selon le DIF, une institution publique chargée de la protection des familles, plus de 18.000 enfants seraient concernés par le réseau Succar à travers le monde. Mais attention : ce ne serait que le deuxième dans le pays, après un autre basé dans la région de Tijuana, à la frontière US. C’est dans cette ville de maquiladoras gigantesques qu’un véritable « féminicide », comme le disent les mexicains, est en cours depuis près de 20 ans. Et ce réseau aurait sous sa coupe autour de 250.000 mineurs. Ces réseau exploitent ces mineurs et diffusent de la pédopornographie, qui rapporte beaucoup d’argent. Parfois, les gamins sont payés, parfois non.

Dans l’affaire Succar aussi, certaines victimes se sont miraculeusement rétractées[3], puis ont reconfirmé les faits qu’elles avaient dénoncés. Quant à Lidia Cacho, elle a  été suivie par des types, a reçu immédiatement des menaces et a du prendre ses précautions.

TapaSuite à la publication en 2004 de « Los demonios del Eden », qui reprend cette enquête, Cacho a été poursuivie par le roi du textile Kamel Nacif[4], qu’elle avait dénoncé. Elle a été arrêtée illégalement par Mario Marin, le gouverneur de l’Etat ultra corrompu de Puebla[5], et envoyée illégalement en prison où elle a subi des simulacres de mise à mort. Peu après, la presse a diffusé une conversation téléphonique entre Marin et Nacif, au cours de laquelle ils s’organisaient justement pour la faire arrêter, et la faire violer pourquoi pas.

Et les enfants de Succar, aujourd'hui, parlent de complot contre les intérêts familiaux, qui a pour but de les spolier de toutes les richesses de leur père. Ils devraient peut-être se rappeler de la manière par laquelle Succar a constitué son empire, avant de jouer les vierges effarouchées.

 

Les connexions

Nacif, qui possède un agenda mondain des plus fournis et compte parmi les businessmen les plus en vue du pays, trainerait aussi dans le trafic de drogue et d’armes, et bien-sûr le blanchiment d’argent[6]. Il faut savoir qu’au Mexique, les entrepreneurs, les politiciens et la mafia sont souvent les mêmes personnes, notamment dans la région de Cancun où les scandales de corruption se succèdent au même rythme que les fusillades et les meurtres divers et variés.

Nacif possède un véritable empire du textile avec des succursales à Hong Kong et aux Etats-Unis. Il collaborait avec une famille française puissante, les Guez, propriétaire de la marque Sasson Jeans dans les années 80. Parmi ses proches, il y a les ex présidents Ernesto Zedillo (1994-2000) et Vicente Fox (de 2000 à 2006), élus grâce à des élections truquées, et dont il a financé les campagnes bien qu’ils soient de deux partis différents. Fox s’est par exemple bien gardé d’embêter Marin lors de l’arrestation illégale de Lidia Cacho.  En outre, Nacif a poursuivi Cacho pour diffamation, mais heureusement il a perdu.

Nacif est également proche de moult gouverneurs d’Etats, dont Marin à Puebla, où Nacif possède des maqiuiladoras, et aussi de Vicente Fox, le président en exercice au moment où le scandale a éclaté. En échange, ces politiques l’aident à construire ses usines et à obtenir des subventions et autres déductions fiscales, tout en fermant les yeux sur les malversations et autres délits.

esclavasKamel Nacif et Jean Succar faisaient partie du même réseau. L’une de leurs victimes a expliqué que Succar se mettait en relation avec des mineurs aux USA pour les procurer à ses amis, dont Nacif, qui serait donc un amateur d’enfants.

Certains faits se sont donc produits dans l’hôtel Solymar, propriété Succar à Cancun, saisie par les autorités en 2012. Lui a été arrêté en Arizona en 2004 et devait être extradé au Mexique (pour, entre autres, du blanchiment d’argent). Kuri est aussi amateur d’adolescentes : il a rencontré sa femme quand elle avait 15 ans.

Il passait la moitié du mois à Cancun, l’autre moitié à Hong-Kong, Las Vegas, en Californie… Toutefois, comme au vatican, la majorité sexuelle (hétérosexuelle) est fixée à 12 ans.

Dans ce petit monde, tout le monde se connait, et tout le monde se file des coups de main. On constate, comme chez nous dans l’affaire Baudis, celle de Sucy-en-Brie ou celle des disparues de l’Yonne, que toute la classe politique et le monde du business ont défendu leur congénère. Kamel Nacif est encore défendu bec et ongles, même si ce n’est heureusement plus le cas pour Succar.

En 2008, une déléguée des droits de l'homme de l'ONU est venue faire le point au mexique au sujet des réseaux de pédopornographie. Elle a constaté que les victimes n'avaient pas accès à la justice, que les médias étaient tenus par des proches du pouvoir, que les assassinats de journalistes continuent sans entraves.

Dans un tel contexte, le même qu'en france où on se targue d'expliquer la "démocratie" aux autres, on comprend que l'impunité est de mise. Et que Succar sera certainement le seul à porter le chapeau, car il est le plus grillé. Cette déléguée a aussi compris de Kamel Nacif protégeait Succar

 

Aujourd’hui, Lidia Cacho a du quitter le Mexique. Elle a subi de nouvelles menaces, des tentatives de meurtre, un emprisonnement inique, et les autorités semblaient incapables de la protéger efficacement malgré une protection policière.

D’un autre côté, le Mexique semble avoir un peu sévi : en 2011, Jean Succar, a été condamné à 112 ans de prison pour abus sur mineurs et pédopornographie[7], ce qui était sans précédent. Succar a été condamné suite à la dénonciation de Lidia Cacho dans son livre, en 2005. Mais apparemment il a servi de fusible, car il est le seul à avoir été condamné parmi tous les politiciens et entrepreneurs cités. Et les choses n’ont pas été simples : Succar était protégé par Nacif, et il y a eu de fortes pressions pour que Succar ne soit pas extradé des Etats-Unis.

Quant aux victimes, la plupart ont bien compris qu’il valait mieux se taire. Celles qui ont parlé ont été fortement malmenées par la « « « justice » » », de manière assez visible pour que le message passe à toutes les autres.

 



[1] Au sujet de la Turquie, Lydia Cacho évoque une vieille maquerelle née en 1914 dans une famille aristocrate, appelée Matilde Manukyan. Devenue veuve, elle a mis en place de nombreux bordels légaux dans le pays, et a même eu les honneurs de l’Etat turc en 1995, pour avoir été la contribuable ayant payé le plus d’impôts. Puis, de nouvelles mafias sont arrivées, Matilde a échappé à un attentat à la bombe, et soudain en 1996 on s’aperçoit publiquement qu’elle faisait aussi travailler des mineurs issus du trafic international d’enfants. Là, les notables qui étaient ses amis et protecteurs l’ont lâchée, et Matilde s’est convertie à l’islam. Elle est morte en 2001 sans jamais avoir été poursuivie par la Justice. D’après une femme qui a été exploitée encore mineure chez Manukyan, « les policiers et les hommes politiques étaient les meilleurs clients. Ils aimaient tant la patronne qu’ils envoyaient leurs infirmières pour nous soigner. Nous étions réputées pour être les prostituées les plus obéissantes et les plus saines du pays ».

[2] La ville est passée de 70.000 habitants en 1982, à plus d’un million en 1988.

[3] Suite à diverses menaces et agressions par des hommes à la solde de Succar, comme ce fut le cas pour Edith Encalada et sa sœur Estefanía.

[4] En 1993, Nacif a été arrêté à Las Vegas, sur demande des autorités mexicaines, pour évasion fiscale.

[5] Marin a vite été blanchi pour cette affaire, la cour suprême estimant qu’il n’y avait pas eu de « violation grave des garanties individuelles » de la journaliste.

[6] C’est du moins la justice du Nevada qui le disait en 2000.

[7] Il est en ce moment en train de chercher à réduire sa peine voir d’être acquitté. Il vient de gagner, grâce à un vice de forme totalement bénin, le fait que sa peine incompressible de 70 ans ait été supprimée. L’étape suivante sera, on le suppose, l’acquittement.

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M
Esclave sexuelle de Manukyan je n'ai pas eu un centime de compensation<br /> <br /> <br /> <br /> http://www.hurriyet.com.tr/gundem/manukyanin-seks-kolesiydim-tek-kurus-tazminat-alamadim-204375<br /> <br /> <br /> <br /> CHOUX Kargali Tanriverdi Abdurrahman de l' avocat, Hurriyet, Istanbul Beyoglu ils veulent 500 mille dollars de compensation à déposer 2003/948 du tribunal du travail, avec 2003/345 procès du dit qu'ils ont demandé la fourniture de la détection et de retraite d' assurance. <br /> <br /> <br /> <br /> Crows, pas obtenu l' autorisation de travailler dans le procès intenté des heures supplémentaires annuel et hebdomadaire, le versement d' une indemnité à porter plus de travail et ont fait valoir que le paiement des cotisations de sécurité sociale. Kargal, dans son souhait, a donné les points de vue suivants:<br /> <br /> <br /> <br /> '' Je suis l'un des esclaves sexuels de Manukyan. Quand j'ai été retiré du bordel, je n'ai pas reçu une seule compensation de cent. Cependant, j'y travaille depuis 23 ans et il n'y a pas de garantie sociale ni de revenu. Je suis une mère de trois enfants. Je ne veux pas y retourner. Si vous travaillez dans un bordel à 13 ans, il n'y aura probablement pas de dossier officiel. Lors des raids de la police, ils nous ont maintenus en coalition ou nous ont emmenés sur le toit. Nous avons absolument ces dossiers dans le panneau de moralité d'Istanbul. Je fais mes soins chiot sürenerek ne pouvait pas vivre littéralement ma jeunesse, je suis diplômé de l'école primaire et commencé à travailler sur leur ummuhane, je ne pouvais pas vivre mon collège et de lycée âges scolaires. Ils battent des records d'impôts auxquels ils ne peuvent échapper et sont honorés de médailles. Pour cette raison, je demande la retraite en adoptant les paiements des années passées avec la détermination de mon assurance.<br /> <br /> <br /> <br /> Ils ont pas CTRL POUR MONTAGNES nos utérus<br /> <br /> <br /> <br /> femmes ont fait remarquer qu'ils ne sont pas gravés dans l'utérus corneilles gouverné, a déclaré: « » Il nous a fourni sur l'opération de la prostitution de nos 30 jours. Nous n'avons aucun droit social et nous n'avons pas de primes d'assurance obligatoires. Malgré des conditions très sévères, nous avons droit à la retraite. Nous ne recevons aucune compensation quand nous en sortons. Je souffrais à cause des dommages moraux et matériels Manukyan, qui est le seul héritier Serrurier Kerop je déposé une plainte contre son fils. « » <br /> <br /> <br /> <br /> Bons pour annuler la première application en Turquie<br /> <br /> <br /> <br /> Kargal, qui est toujours mariée et a trois enfants, a également déposé une plainte contre le ministère de l'Intérieur pour la suppression de son visa. Ankara 12. Le tribunal administratif rejeta l'affaire en termes d '«autorité» et décida que le dossier devait être envoyé au tribunal administratif d'Istanbul. Il a été déterminé que le dossier était devant le tribunal administratif d'Istanbul et qu'il allait être dans l'obscurité dans les prochains jours. Il a été noté que la décision d'annuler le chèque de Kargal constituerait un «exemple» pour les prostituées qui veulent se débarrasser de la prostitution. Corbeaux, avocats Tanriverdi Ertekin Mevlüde pour l'annulation des documents et a déclaré dans sa demande par Abdurrahman Tanriverdi: <br /> <br /> <br /> <br /> Notre client depuis l'âge de 13 ans , la Turquie par la limitation de la liberté de la maison de Manukyan de contribuables, a été utilisé comme esclaves sexuelles.<br /> <br /> <br /> <br /> Cette femme, qui a encore 40 ans, est mariée et a trois enfants. Il a déjà construit repentit d'un désir de travailler avec toute la puissance dans ce travail et trouver qui fonctionne, essaie de gagner l'entretien quotidien. <br /> <br /> <br /> <br /> Après la mort de Manukyan, son fils, qui a repris l'héritage du trillion, a fermé les maisons et environ 600 capitaux ont été déversés dans les rues des femmes, et il était entendu que 99% d'entre eux étaient employés sans assurance. <br /> <br /> <br /> <br /> Certaines de ces femmes ont intenté un procès pour la détection et la compensation d'assurances avec l'aide de certaines organisations non gouvernementales sensibles. Cependant, ceci est insuffisant.<br /> <br /> <br /> <br /> Règlement sur la prostitution, est le superviseur aidera les femmes qui veulent se débarrasser de la prostitution ne dépend pas de conditions ne dépassant pas 2 ans ou après 75 ans de la mort d'une personne à la suppression de cet enregistrement, est incompatible avec les principes de l'Etat de droit, ce qui laisse l'impression d'application anachronique. <br /> <br /> <br /> <br /> Le détenteur du record de l' impôt sur la santé dans la position d' un que le fils de Matild Manukyan Kerop Serrurier, après la mort de sa mère était proche des maisons closes. Le serrurier fait face à une affaire d'indemnité déposée par une ex-épouse.
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A
Abus sexuels enfants: Marcel Vervloesem à nouveau hospitalisé<br /> <br /> <br /> <br /> "28 Avril 2014<br /> <br /> <br /> <br /> Marcel Vervloesem, le militant de l'association belge 'Werkgroep Morkhoven' qui a été persécuté et stigmatisé pendant une 15 zaine années par les authorités belges qui voulaient étouffer sur ce façon l'affaire pédopornographie de Zandvoort, est hospitalisé à nouveau.<br /> <br /> <br /> <br /> Vervloesem qui est très malade et qu'on a refusé ses médicaments en prison, a eu un cancer, a des problèmes très graves au cœur et aux reins. Il a aussi le diabète et nécessite beaucoup de médicaments.<br /> <br /> <br /> <br /> Il y a quelques jours qu'il ne se sentait pas bien à sa maison. patient se sent pas bien. Puis il est tombé au sol , il a attrapé une casserole d'eau bouillante qui était sur la cuisinière à gaz. Sa jambe gauche a été brûlé au troisième degré et les spécialistes pensent à une intervention chirurgicale.<br /> <br /> <br /> <br /> Il souffre beaucoup et l'accident est une grave problème pour son cœur (une intervention chirurgicale à son cœur n'est plus possible parce que les risques sont trop grands).<br /> <br /> <br /> <br /> Ce qui a sans doute joué un rôle dans la dégradation de l'état de santé de Vervloesem est le fait qu'il y a environ deux ans, que la justice belge a poursuivi Vervloesem à nouveau à cause «d'abus sexuel». La 'preuve' de cette nouvelle accusation était une histoire imaginaire de son neveu Dimitri qui, comme d'habitude, était publiée dans le journal 'Het Nieuwsblad'. <br /> <br /> Il est à noter que ce Dimitri a de bons contacts avec Victor V., le demi-frère de Vervloesem. Celui-ci et quelques des ses amis homosexuels, accusait Vervloesem «d'abus sexuels» il y a 15 ans. Les accusations étaient fondées sur des soi-disant faits qui auraient eu lieu au passé. Ces histoires étaient aussi publiées par certains journalistes du journal 'Het Nieuwsblad' qui ont de bonnes relations avec le pouvoir judiciaire. <br /> <br /> C'était juste au moment que la presse internationale, y compris les trois journaux principaux japonais, venait au village Morkhoven pour interviewer Vervloesem autour sa découverte de l'affaire Zandvoort qui, selon un rapport de la police fédérale belge, comptait 88.539 enfants maltraités et sexuellement abusés.<br /> <br /> <br /> <br /> Comme précédemment avait été le cas, les juges de Turnhout qui ont étouffés l'affaire pédopornographique de Zandvoort, ne considèrent pas les déclarations justificatives qui démontraient l'innocence de Vervloesem dans le cas de Dimitri.<br /> <br /> <br /> <br /> Les juges de Turnhout sont aussi restés observateur passifs, au moment que ce nommé Dimitri, avec l'aide de Victor V., a commencé à terroriser la fille et la petite-fille de 15 ans de Vervloesem. Grâce au silence des juges, la terreur, a duré plusieurs mois. <br /> <br /> Les blogs de l'association Werkgroep Morkhoven étaient également fermés pendant des plusieurs mois pour empêcher qu'on rapporterait de ce scandale judiciaire qui est connecté à l'étouffement de l'affaire Zandvoort. <br /> <br /> <br /> <br /> La fille et les amis de Vervloesem avaient dénoncé à plusieurs reprises à la police de la ville d'Herentals et de Turnhout. Les plaintes été accompagnés par les preuves nécessaires. <br /> <br /> <br /> <br /> Victor V. et le nommé Dimitri n'ont jamais été poursuivi pour ces actes terroristes. Le Comité P, un organe parlementaire doit vérifier le comportement de la police, écrivait récemment qu'elle effectuer at aucune enquête 'parce que le ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet (cdH, démocrates-chrétiens) avait déjà contacté le procureur de la justice de Turnhout'. De cette façon, l'affaire est à nouveau étouffée et nous nous retrouvons dans un cercle vicieux.<br /> <br /> <br /> <br /> Le Ministre de la Justice belge Annemie Turtelboom (Open VLD, Parti Libérale) laissait répondre par un employé de son cabinet 'qu'elle ne peut rien faire en raison du principe de la séparation des pouvoirs', tandis qu'elle a nommé le procureur Jan Poels de la Justice de Turnhout comme chef de son cabinet. L' étouffemment de l'affaire Zandvoort et les actes terroristes sont donc le résultat de la corruption politique et judiciaire.<br /> <br /> <br /> <br /> L'enquête dans l'affaire Zandvoort et les poursuites des petits criminels qui peuvent terroriser la des citoyens innocents et la famille de l'activiste Marcel Vervloesem, sont donc complètement bloqués par les autorités belges corrompus.<br /> <br /> Le tribunal de Turnhout va certainement continuer à utiliser toutes sortes de petits criminels qu'ils peuvent utiliser à détruire la santé de Vervloesem.<br /> <br /> <br /> <br /> Ce qui est très grave dans cette affaire est le fait qu'il y a 30 procès-verbaux de Victor V. concernant des infractions sexuelles sur des petits garçons. Ils ne sont jamais enquêtés tandis que chaque accusation de Vervloesem est suivi par une poursuite et une persécution dans les médias belges qui soutenont la corruption et ne parlent jamais de l'affaire Zandvoort.<br /> <br /> Victor V. qui peut à peine écrire est inconditionnellement soutenu par le maire de Herentals Jan Peeters, qui est comme lui, un membre de la direction du parti socialiste flamande.<br /> <br /> Jan Peeters, à son tour, est aussi un membre du Parlement du parti socialiste.<br /> <br /> Dans les années 90, il était le secrétaire d'État et le ministre de la Sécurité. Premier Di Rupo qui est un gay prononcée était Vice-Premier dans ce temps.<br /> <br /> Victor V. est devenu conseiller municipal. Il a été nommé comme: membre de la direction de 'Geelse Huisvesting' (logements sociaux), membre de la direction du centre public d'aide sociale, président du Comité pour la sécurité et la police d'Herentals et membre de la direction du Conseil de la police locale dont Peeters est le président. Il représente la ville d'Herentals dans 2 deux intercommunales.<br /> <br /> Durant les mois que la petite-fille et la fille (qui a 2 autres petits enfants) de Vervloesem étaient terrorisés, on utilisait un scanner de la police. Il y a des témoins qui ont vu ce scanner dans la voiture de Victor V. qui était stationné près de la maison de la famille Vervloesem. Dans la voiture se trouvait Victor V. et certains membres du gang..."
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I
‘X-Men’ Director Bryan Singer Accused of Abusing Teenage Boy:<br /> <br /> <br /> <br /> http://vigilantcitizen.com/latestnews/x-men-director-bryan-singer-accused-abusing-teenage-boy-part-sordid-hollywood-sex-ring/
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I
Jeremy nous révèle la vérité sur la manipulation de l'affaire maillaud mais qui reste malgré tout provoquée par les autorités qui refusent de protéger ces enfants victimes de réseaux organisés, contrairement aux "petits" prédateurs isolés qui sont condamnés à des lourdes peines pour avoir échangé des photos, mais il faut savoir que nombre de pédophiles qui ont abusés d'enfants dont la culpabilité ne fait aucun doute mais qui n'ont pas fait de photo ou vidéos s'en sortent sans peine de prison, puisqu'il semble qu'il soit condamné d'échanger des vidéos et photo pédophiles mais pas vraiment de les produire:<br /> <br /> <br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=KMw2HJenTa8
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S
pendant que les adultes baisse honteusement la tête , un petit garçon meurt en voulant sauver sa sœur d'un pédophile <br /> <br /> <br /> <br /> http://www.lepoint.fr/monde/etats-unis-un-garconnet-meurt-en-empechant-le-viol-de-sa-soeur-05-05-2014-1819164_24.php
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