
On va aujourd'hui aborder l'affaire de Chantal Mino, une psychoéducatrice canadienne qui a perdu son droit d'exercer pour avoir dénoncé les abus graves commis par les services sociaux, et comment la justice et l'Etat en général protègent ce système mafieux. En filigrane, face à de tels abus, commis au XXI e siècle, on ne peut que se demander s'il ne s'agit pas tout simplement d'une maltraitance institutionnalisée.
Dès l'époque où elle faisait ses stages dans des centres de jeunesse, Chantal Mino a été aux prises avec sa...
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