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11 mai 2023

Le parcours de Mengele après la guerre : des expériences génétiques toujours ignorées

mengele

Nous avons parlé ces derniers temps de manipulations, d’expérimentations sur l’humain : des sujets qui sont revenus au premier plan depuis le scandale de la gestion du covid. Aujourd’hui, on va parler de Josef Mengele, ce "médecin" nazi qui selon la version officielle a vécu en Amérique latine sans rien faire de subversif, mais qui selon plusieurs témoins a participé aux expériences MK-Ultra aux Etats-Unis, au Canada, en Australie et en Europe.

 

Il n’est pas encore possible de déterminer exactement ce qu’a fait Joseph Mengele pendant et après la guerre, tant les informations diffusées sont contrôlées par les renseignements US. Les biographies de Mengele, depuis celle de Gérald Posner (« Mengele the complete story »), disent à peu près la même chose : le récit d’un homme d’abord confiant puis traqué qui n’a cessé de déménager et a fini seul et isolé au fin fond du Brésil où il serait mort d’une crise cardiaque en 1979.

L’historien Jorge Camarasa est le seul à évoquer des expérimentations génétiques dans un village d’allemands au Brésil, où depuis 1963 des tas de jumeaux naissent sans qu’on comprenne officiellement pourquoi. Aucune biographie n’évoque de passage de Mengele aux Etats-Unis ou au Canada, mais il est clair qu’il est venu plusieurs fois en Europe. Pourtant, plusieurs victimes du réseau pédocriminel international et/ou des expériences de la CIA disent l’avoir reconnu formellement lors de séances de "programmation" dans différents pays anglophones où il ne serait jamais allé.

edgewood arsenal

On connait le projet Paperclip qui a permis de recycler des milliers de nazis après la guerre. Pour illustrer ce processus, on peut prendre l’exemple d’Edgewood Arsenal, une base militaire du Maryland où œuvrait l’Army Chemical Corp et où au moins 8 scientifiques nazis ont mené des recherches sur des humains qui n’étaient pas informés des expériences menées sur eux entre 1947 et 1966, notamment dans le cadre de MK-Ultra. Les archives concernant ce centre sortent difficilement malgré les efforts de plusieurs chercheurs et journalistes.

Certaines des expériences qui y ont été menées sont décrites dans un document de 1975 : le Research Report Concerning the Use of Volunteers in Chemical Agent Research, rédigé par le Colonel James R. Taylor et le Major William Johnson, qui décrit des expériences interdites depuis Nuremberg, sur des victimes non consentantes. Du gaz moutarde, du sarin, des gaz de contrôle des foules, du LSD, de la mescaline et d’autres drogues ou poisons ont ainsi été testées dans le plus grand secret, déjà avant la Deuxième guerre.

Les cobayes étaient parfois volontaires pour des expériences, mais on ne leur disait pas du tout de quoi il s’agissait ni les risques qu’ils couraient. Un sergent de Fort Know volontaire pour tester des combinaisons de protection contre les agents chimiques s’est ainsi retrouvé sans le savoir dans une expérience de contrôle mental avec utilisation de LSD en 1958. D’autres produits dont il ignore la composition lui ont été injectés.

 

Transmission des savoir-faire nazis aux Etats-Unis

Linda Hunt

Selon Linda Hunt auteure du livre "Secret Agenda. The United States government, Nazi Scientists and project Paperclip", Edgewood Arsenal "était la première installation à tester des agents létaux sur les humains. Les expériences ont commencé en 1922, quand le Chemical Warfare Service [service de la guerre chimique] a créé une division de la recherche médicale chargée de fournir une défense contre des agents chimiques". Ensuite, les Américains aidés des nazis ont testé comment ces produits se disséminaient après avoir été répandus par avion ou diffusés par d’autres moyens innovants développés sur place. Le chimiste Otto Ambros, qu’Hitler considérait semble-t-il comme le meilleur pour l’effort de guerre, a échappé à la condamnation pour immédiatement travailler en tant que consultant pour de grandes entreprises chimiques US comme Dow Chemical et pour le US. Army chemical Corps. Tout cela depuis l’Allemagne, car Ambros était trop connu pour être rapatrié aux Etats-Unis, où il voyageait tout de même régulièrement.

Edgewood Arsenal avait aussi des contrats avec des géants de la chimie, et menait des recherches public-privé. 8 nazis ont été recrutés pour tester les poisons qu’ils avaient développé en Allemagne et les moyens de s’en protéger, notamment les gaz tabun et sarin qui agissent sur le système nerveux et étaient les plus mortels que les US avaient rencontrés. Parmi les Nazis recrutés sur la base :

  • Kurt Rahr, qui a été l’une des premières recrues via l’opération Paperclip, arrivé dès septembre 1947 en échappant à des poursuites pour des crimes de droit commun en Allemagne (notamment usage d’une fausse identité) et bien qu’il était considéré par la sécurité US comme une "menace de sécurité absolue". Il a été renvoyé en Allemagne l’année suivante après qu’un collègue allemand, Hans Trurnit membre du NSDAP arrivé à Edgewood Arsenal en 1947 alors qu’il n’avait pas travaillé sur la guerre chimique, l’ait traité de communiste. Et était spécialisé dans les traitements chimiques des maladies comme la lèpre, la tuberculose, le typhus.
  • Le neurologue et psychiatre Theodor Wagner-Jauregg, qui a rejoint le NSDAP en 1937. Il a travaillé à Edgewood Arsenal de 1949 à 1955, puis est rentré en Allemagne pour travailler dans l’industrie.
  • Friedrich Hoffmann qui n’était ni nazi ni SS mais synthétisait des poisons et toxines dans les laboratoires de guerre chimique de l’Université de Wuerzburg et pour la Luftwaffe.

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De nombreux documents scientifiques issus des recherches des nazis sur la guerre chimique ont été exploités à Edgewood. D’autres scientifiques et ingénieurs nazis collaboraient avec Edgewood et avec diverses agences américaines depuis la zone occupée par les Etats-Unis en Allemagne. Pendant ce temps, les documents officiels de l’armée rappelaient que le consentement des volontaires était indispensable, et ne pouvait être extorqué.

Des chercheurs d’IG Farben (qui a notamment testé le fluor mis dans l’eau des prisonniers des camps pour les rendre apathiques), comme Karl Tauboeck qui travaillait par exemple sur les méthodes de stérilisation et les sérums de vérité pour les interrogatoires ou Walter Reppe qui était le chimiste en chef d’IG Farben et travaillait sur l’acétylène, ont collaboré avec la CIA pour la guerre chimique. D’autres recrues de Paperclip sont venus apporter leurs lumières dans les universités, notamment au MIT, ou dans les laboratoires de grandes entreprises comme Mobil Oil ou Bell.

"Les liens entre Edgewood et la CIA étaient étroits. De nombreux scientifiques qui travaillaient à Edgewood ou sous contrat avec Edgewood étaient payés par la CIA. Le chimiste de Paperclip Friedrich Hoffmann était un consultant de la CIA sur les substances psychochimiques. Le Dr Ray Treichler était simultanément assistant du directeur des Laboratoires médicaux d'Edgewood, la division en charge de l'expérimentation humaine sur la base, et membre du Technical Services Staff (TSS) de la CIA, qui était impliqué dans l'utilisation secrète de produits chimiques et de germes contre des personnes spécifiques. Le psychiatre Harold Abramson était un consultant de la CIA impliqué dans l'affaire Olson qui a également travaillé pour Edgewood", écrit Linda Hunt.

2023-05-11 19_34_06-Timothy Leary's liberation, and the CIA's experiments! LSD's amazing, psychedeli

A partir de 1949 le LSD a été introduit à Edgewood dans les expérimentations par le Dr L. Wilson Greene qui développait le concept de "guerre psychochimique" en intoxiquant les populations. Hoffmann quant à lui parcourait le monde à la recherche des substances actives les plus efficaces et pour des conférences sur le potentiel des drogues naturelles comme synthétiques. Ses travaux ont été utilisés dans le cadre du projet de la CIA Bluebird sur le potentiel des drogues.

Du gaz sarin y a également été produit dès 1950 par l’Army Chemical Corp avant d’être remplacé en 1953 par des produits plus performants, de la série V comme le VX, découverts par les anglais lors de recherches sur les perticides. Ce LSD a ensuite été diffusé dans la société, en particulier auprès de la jeunesse rebelle, grâce à la vague de la contre-culture diffusée par des sbires de la CIA comme le chantre du LSD Timothy Leary ou Aldous Huxley.

Beaucoup des chercheurs rémunérés par la CIA et qui participaient aux travaux de l’armée ne disaient pas qu’ils travaillaient à Edgewood et autres sites militaires, et ne mentionnaient que leur rattachement à des universités, comme James Moore qui ne se revendiquait que l’université du Delaware (où travaillait aussi Hoffmann) alors qu’il travaillait sur des projets MK-Ultra et était rémunéré par l’Army Chemical Corp.

 

La poursuite par les Etats-Unis des expérimentations nazies

MK-Ultra

Le Dr L. Wilson Green, directeur technique au Chemical and Radiological Laboratories de l’Army Chemical Center a écrit en 1949 "Psychochemical Warfare, a New Concept of War" (la guerre psychochimique, un nouveau concept de guerre) qui recommandait de mener des recherches sur l’utilisation des drogues et produits chimiques pour faire la guerre, pour mieux manipuler l'ennemi. A cette époque, plusieurs programmes comme Bluebird puis MK-Ultra ont été mis en place par la CIA, et menés avec l’aide d’universités, d’hôpitaux, de l’armée, avec des expériences sur des cobayes non consentants on non informés de ce qu'on leur faisait prendre. Ils incluaient la prise de drogue dans le cadre de projets autour du contrôle mental et de la manipulation des comportements.

Ces exériences sur l'homme sont directement dans la continuité de celles qu'avaient menées les nazis quelques années plus tôt, et étaient pourtant formellement interdites par le code de Nuremberg, destiné à éviter que de tels abus, tendance naturelle des régimes autoritaires, ne se reproduisent pas. Il ne s'impose pas légalement hélas, et on a vu qu'il est déjà aux oubliettes dans les "démocraties" occidentales.

Dans son livre "A Nation Betrayed: Secret Cold War Experiments Performed on our Children and Other Innocent People" Carol Rutz raconte son parcours et les actes subis dans le cadre des expériences de l’armée et du réseau pédocriminel depuis l’âge de 4 ans. En lisant son livre, on voit une fois de plus que les liens étaient très étroits entre les nazis et les expériences de trauma, y compris sur les enfants.

MK ultra controle mental

Elle explique d’emblée "Certains des mêmes médecins nazis qui travaillaient dans des institutions psychiatriques avant la Seconde Guerre mondiale, qui décidaient si les enfants déficients mentaux devaient être stérilisés ou tués en raison de leurs gènes défectueux, ont également mené d'horribles expériences dans les camps de la mort. Leur expertise médicale, ainsi que celle de centaines de scientifiques nazis était considérée comme si essentielle à l'effort de "guerre froide" qu'ils ont été amenés aux États-Unis et au Canada pour y travailler côte à côte avec certains des esprits les plus grands mais les plus pervers que le XXe siècle ait jamais connus". Elle a notamment subi un "entraînement" de plusieurs semaines dans le Maryland, dont elle pense qu’il pouvait s’agir d’Edgewood Arsenal.

Il est "scientifiquement" logique que les expériences si intéressantes menées par les Nazis puissent être poursuivies, à Edgewood où plus de 7000 soldats ont été utilisés pour des expériences illégales, à la Wright Patterson Airforce Base dans l’Ohio et ailleurs, rappelle Carol Rutz. Mais les expériences sur l’homme aux Etats-Unis avaient commencé, comme chez les Nazis, dès les années 30, avec des populations pauvres et Noires ou des orphelins en guide de cobayes.

Elle explique que la plupart des expériences sur les enfants étaient menées sans que les parents, le tuteur légal ou les enfants ne soient informés de ce qu’on leur faisait, mais Carol Rutz écrit que dans certains cas comme le sien, les parents étaient parfaitement au courant et fournissaient leurs enfants à l’armée. Dans son cas, elle pense que c’est le trafic de pédopornographie de son grand-père, dont elle était victime depuis toujours, qui a permis à la CIA de l’amener à la mettre entre leurs mains.

D’après les témoignages d’abus rituels, beaucoup de victimes étaient des enfants de militaires gradés, souvent dans des familles où on est militaire de génération en génération, ou issus de familles de nazis. Carol Rutz a demandé la déclassification de nombreux documents pour tenter de comprendre ce qu’il lui était arrivé, avec les plus grandes difficultés.

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C’est ainsi qu’elle a compris que c’est son grand-père qui l’a amenée à Carmel Offie de la CIA en 1952 quand elle avait 4 ans, et que ces expériences dont certaines ont été menées dans le cadre des projets Bluebird, Artichoke ou MK-Ultra, avaient duré jusqu’à ses 16 ans. On lui a fait subir des électrochocs, des prises de drogue, de l’hypnose, la privation sensorielle, les traumas pour fractionner sa personnalité. Parmi les projets MK-Ultra, certains sont décrits en des termes qui rappelaient beaucoup à Carol les abus qu’elle avait subis.

Certaines expériences cherchaient à dissocier la personnalité par les drogues et l’hypnose, pour aller plus loin avec les enfants les plus performants dans des projets plus complexes. Elle évoque le sous-projet 36 de MK-Ultra, dont la présentation mentionne "Des études d'apprentissage seront instituées dans lesquelles le sujet sera récompensé ou puni en fonction de ses performances globales et conforté de diverses manières en se faisant dire s'il avait raison, en se faisant dire quel était l'objectif à atteindre, par des chocs électriques, etc."

2021-11-13 20_12_59-Quand les Etats-Unis accueillaient 10’000 nazis - Le Temps - Opera

Son oncle et son grand-père ont commencé son "entraînement sexuel" en 1954, dans le cadre des expériences de la CIA. Ce jour-là son grand-père lui a implanté une nouvelle personnalité appelée Carlotta. Le père de Carol Rutz a servi dans la navy pendant la Deuxième Guerre mondiale, et c’était un sympathisant nazi.

La CIA "recherchait des enfants capables de se dissocier de la réalité pour un projet appelé Bluebird/Artichoke", écrit Carol Rutz. Et les tests ont été concluants puisqu’elle était déjà violée par son père depuis l’âge du biberon. Puis après le début des expériences, son grand-père s’est mis à faire la même chose, de manière plus violente : "J’ai commencé à créer des parties ou des personnalités distinctes pour conserver les souvenirs de ces traumatismes […] Dans un mémo datant de 6 mois avant que je ne sois utilisée pour la première fois dans ces expériences, le projet Bluebird mentionnait que des recherches pratiques –et non théoriques- doivent être menées" précise Carol Rutz.

Les objectifs de ces expériences étaient de pouvoir empêcher des soldats de donner des informations même sous la torture ou les drogues, pouvoir faire faire à quelqu’un des choses qui vont contre ses valeurs, est-ce que l’hypnose permet de contrôler quelqu’un, comment contrer la fatigue sur le terrain, comment assurer une amnésie totale en toutes conditions …

Le directeur du programme MK-Ultra Sidney Gottlieb était généralement présent lors des séances d’hypnose. Des personnalités lui étaient implantées suivant les étapes du trauma, chacune se nourrissant des abus et de l’impuissance de la victime. L’une d’elles, Guy, était celle qui avait les capacités d’agir pour des missions spécifiques données par la CIA : "On a appris à Guy à emmagasiner toute la colère et la haine accumulées pendant les abus et à les utiliser pour tuer psychiquement avec ce que Sidney Gottlieb appelait "le feu rouge"", écrit Carol Rutz.

A l’âge de 12 ans elle est passée entre les mains d’Ewen Cameron, éminent patron de l’American Psychiatrists Association qui menait des expériences relevant de la torture dans le cadre de MK-Ultra à l’université McGill : "On m'a d'abord administré une injection de curare et on m'a placé dans une boîte dans une écurie aménagée derrière l'hôpital qui abritait un laboratoire comportemental. Ensuite, des serpents ont été placés sur mon corps et le couvercle de la boîte a été refermé.

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J'étais totalement consciente mais incapable de bouger à cause du curare. Ce traumatisme visait à s'assurer que je ne parlerais jamais de ce qui s'était passé. Je ne saurai jamais combien de temps je suis restée enfermée dans cette boîte. J'ai créé un autre alter pour gérer cet événement traumatisant qui a failli précipiter ma mort". On lui a injecté un tas de produits, fait des séances de radiations, de lavage de cerveau.

Cameron travaillait aussi sur l’ARN, sa capacité à stocker la mémoire de long terme et sa destruction par les ribonucléases, identifiée chez les patients séniles et qui pourrait permettre d’effacer les souvenirs. Carol Rutz pense qu’ils identifiaient les zones du cerveau actives lors de l’apparition des différentes personnalités.

"À la fin de ma programmation par le Dr Cameron, une voix m'a donné des codes de déclenchement pour l'autodestruction. Cela a été fait pour m'empêcher de parler de la nature de cette expérience au cas où je m'en souviendrais un jour. En prélevant les échantillons de liquide de ma colonne vertébrale et en appliquant des chocs électriques, ils ont mis fin à l'expérience. Je me souviens que le Dr Cameron a dit, "Expérience 24 : Créer des mini-crises, un peu comme l'épilepsie du lobe temporal. But : créer une amnésie de la nouvelle Persona créée." Lorsque l'électricité a commencé à me traverser, j'ai quitté mon corps et j'ai regardé d'en haut pendant qu'il se mettait à trembler et à convulser. Je me souviens surtout que les muscles de mon bras droit semblaient s'animer et sautaient vraiment. Je voyais des éclairs de lumière blanche chaque fois qu'ils me donnaient une décharge d'électricité"

Wilder Penfield, qui menait des travaux sur le cerveau et la mémoire à l’université Mc Gill, a aussi utilisé Carol Rutz pour ses travaux. Celle-ci revient rapidement sur les filières d’exfiltration des nazis, notamment vers l’Argentine qui a été l’un des principaux pays d’accueil parce que c’était prévu comme cela dès 1943 au moins, que Nelson Rockefeller s’est démené pour faire intégrer dans les membres fondateurs de l’ONU. Elle raconte une tournée réalisée en Amérique latine en 1950 et 1951 par le frère de Nelson John D. Rockefeller 3 (celui qui pilotait le Bilderberg) et John Foster Dulles dans l’objectif de contenir l’expansion des populations non blanches.

L’année suivante le duo a créé le Population Council, évidemment financé par la famille Rockefeller, qui a intégré l’American Eugenics Society. Le Population Council, axé sur les "santé" et l’Agenda 2030 de l’ONU, existe toujours et s’inscrit pleinement dans l’idéologie "nouvelordremondialiste" : son slogan est "Un avenir équitable et durable pour tous, partout dans le monde. Nous transformons la réflexion mondiale sur les questions essentielles de santé et de développement grâce aux sciences sociales, à la santé publique et à la recherche biomédicale". Un programme qui fait froid dans le dos quand on commence à mesurer de quoi ils sont capables, à l’aune des expériences nazies, eugénistes, du covid etc. Il est notamment très actif pour implanter le Planning Familial partout dans le monde, et développer le délire d’ "éducation sexuelle" partout où c’est possible.

 

Mengele et MK-Ultra

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Carol Rutz affirme qu’elle a reconnu en l’un de ses tortionnaires Josef Mengele, qui se faisait appeler Dr Black, et qu’elle dit avoir reconnu sur photo. C’était dans les années 50 et 60 à une époque où Mengele vivait en Argentine puis au Paraguay et où ses biographies ne mentionnent pas de collaboration avec la CIA après sa fuite d’Allemagne. Or diverses sources estiment que dans les années 50, Mengele s’est entendu avec Allen Dulles le chef et créateur de la CIA, pour mener au Liban des programmes secrets parmi lesquels MK-Ultra et Lebensborn.

Concernant Mengele, la version officielle est qu’il se serait noyé en 1979 au Brésil après avoir vécu reclus des années avec un couple de fermiers rémunérés par sa famille. Mais certains ont des doutes, notamment du côté du Mossad. En 1985 par exemple le sénateur de l’Etat de New-York Alfonse M. D’Amato a fait part d’informations selon lesquelles Mengele avait toujours un réseau de protection actif et était impliqué dans le trafic de cocaïne[1].

Il aurait même encore envoyé des cartes postales à des proches depuis le Portugal en 1980, dernier signe de vie qu’ils avaient en 1985, et de nombreuses personnes assurent l’avoir vu à différents endroits au début des années 80. De plus des questions demeurent sur sa noyade, notamment parce que le médecin qui l’a repêché dit que l’homme noyé avait une cinquantaine d’années, beaucoup moins que Mengele censé être fatigué et au bout de sa vie à ce moment-là.

De son vivant il a en tout cas été protégé des demandes d’extradition par les dictateurs latino-américains jusqu’au début des années 60, quand les équipes du Mossad ont commencé à lui tourner autour et après qu’ils aient attrapé Eichmann lui aussi planqué en Argentine. Et même après, puisque les autorités des pays dans lesquels il se réfugiant trainaient sérieusement des pieds pour apporter les renseignements demandés aux pays qui le recherchaient comme Israël ou l’Allemagne.

Ce qui n’empêchait pas Mengele, selon l’historien argentin Jorge Camarasa, de mener encore dans les années 60 au Paraguay et au Brésil des travaux destinés à améliorer la race à partir de l’étude de jumeaux, voire de la création par modification génétique de jumeaux en grande quantité.

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Ces travaux étaient menés à Cândido Godói, un village de colons allemands pas du tout intégrés situé au Brésil à 10 km de la frontière avec l’Argentine et 50 km du Paraguay, où aujourd’hui encore le taux de jumeaux est anormalement élevé, « dix fois plus qu’ailleurs », racontait Le Monde en 2016. Selon la RTBF, une femme sur deux a des jumeaux au village de Cândido Godói qui compte 70 familles, dont 36 ont des jumeaux. A force de consanguinité, ce groupe aurait développé un gène, P53, qui prédispose aux grossesses multiples. Et Mengele a vécu dans le coin lorsqu’il était au Paraguay et selon Camarasa c’est depuis Mengele qu’il y a tous ces jumeaux à Cândido Godói, même s’ils sont moins nombreux depuis les années 90, selon Jorge Camarasa.

Celui-ci ambitionnait de réaliser des "inséminations artificielles" pour multiplier les jumeaux. Alors qu’il vivait au Paraguay, il a selon Camarasa mené des expériences dans ce sens sur des animaux et probablement sur des humains à Cândido Godói, se faisant passer auprès des habitants pour un vétérinaire et médecin itinérant sous le nom de Rudolf Weiss, et y avait installé un laboratoire[2]. Les premiers jumeaux sont nés en 1963, année où cet étrange médecin a été repéré pour la première fois.

Un ancien maire du village a expliqué aux journalistes du Telegraph : "Dans les témoignages que nous avons recueillis, nous avons rencontré des femmes qui ont été soignées par lui, il semblait être une sorte de médecin de campagne qui allait de maison en maison. Il s'occupait des femmes qui avaient des varices et leur donnait une potion qu'il portait dans une bouteille, ou des comprimés qu'il apportait avec lui. Parfois, il faisait des soins dentaires et tout le monde se souvient qu'il faisait des prises de sang".

Mengele film candido godoy

Mengele a également séjourné, selon des témoins, à Colonia Dignidad, une autre colonie allemande non intégrée (il y en a des dizaines sur le continent), dirigée par un nazi et pédocriminel, qui se trouvait au Chili et a servi à l’interrogatoire, la torture (notamment avec des drogues et des électrochocs) et l’élimination d’opposants. Mengele serait venu depuis le Paraguay sous le nom de "Dr Smith". Martin Bormann, soi-disant mort en Allemagne mais en réalité émigré en Amérique latine avec une partie des avoirs des nazis, s’y serait également rendu. Colonia Dignidad était également un bordel pédocriminel où se rendaient des personnalités politiques locales et une usine de fabrication de poisons et d’armes pour Pinochet. 

Cette colonie a fonctionné sans problème jusqu'en 1996 grâce à la protection de Pinochet, entre autres. L’un des premiers soutiens de la colonie était un certain Gerhard Mertens, marchand d’armes international qui gérait la boîte Merex Corp. basée à Bonn et fondée en 1966 avec l'ex SS Otto Skorzeny. Ledit Mertens était depuis des années rémunéré par la DIA (Defense Intelligence Agency) et la CIA, et collaborait avec le BND, les services secrets allemands.

Il y a en tout cas de nombreux "trous" dans la biographie de Mengele dont on nous a annoncé plusieurs fois la mort, et que toutes ses activités ne sont pas connues du public aujourd’hui.

jonestown massacre

Certains disent qu’il était l’idole de Jim Jones, le gourou d’une secte qui a fini avec un suicide collectif en Guyane, et qui était comme beaucoup de gourous US proche de la CIA. Sa secte avait mis la main sur l’hôpital d’Etat de santé mentale de Mendocino en Californie avant même d’acquérir la propriété de Jonestown, et des victimes de traitements expérimentaux dans cet hôpital ont dit y avoir vu Mengele. De plus, la secte de Jim Jones était manifestement aussi une façade pour des expérimentations, notamment de diverses drogues et médicaments.

Kim Noble atler Ken

Carol Rutz explique qu’elle a rencontré ce "Dr Black" pour la première fois quand elle avait 4 ans, en 1952 au tout début quand son grand-père paternel l’a confiée pour la première fois aux bons soins de la CIA pour quelques jours. Elle se rappelle de la discussion entre le grand-père et le type de la CIA qui lui a promis de l’argent, de la considération et l’absence de poursuites dans une affaire de pédopornographie, en échange de la permission pour la CIA de réaliser quelques expériences sur sa petite fille au nom de "la sécurité nationale".

Plusieurs autres victimes des expérimentations MK-Ultra, reconnues comme telles lors de la commission de Clinton en 1995, ont identifié Mengele parmi leurs tortionnaires, sous différents pseudonymes : Dr Black, Dr Schwarz, Père Joseph, Dr Green pour Cisco Wheeler, qui a témoigné devant la commission Clinton… Il a été reconnu par une victime au Maryland en 1952, en Floride en 1954, à Nashville dans le Tennessee en 1955, en Allemagne en décembre 1954 et en 1957, dans l’Ohio en 1956, au Canada en 1961, dans le Michigan en 1965, toujours dans des bases de l’armée ou des hôpitaux pour des programmations.

Dans le cas de Carol Rutz, il s’agissait selon elle de lui donner la capacité de tuer à distance en se concentrant sur l’énergie des méridiens d’une cible, de mémoriser des codes complexes. Ces programmations comprenaient des violences sexuelles, des chocs électriques, des drogues, des privations sensorielles, de l’hypnose, des radiations.

2023-05-11 21_13_22-Unshackled A Survivors Story of Mind Control Kathleen Sullivan

L’une des victimes de Black/ Mengele, Kathleen Sullivan née en 1959 qui a aussi témoigné devant le congrès, a expliqué "Ils ont brisé ma volonté et m'ont rendu docile d'une manière où je n'aurais jamais pu l’être autrement. Ils m'ont complètement brisé, jusqu'à zéro. Ils m'ont délibérément divisé en deux nouvelles parties principales, comme un arbre qui a une base (Kathy, 5 ans) et ensuite deux grosses branches épaisses qui partent de là, et dont toutes les autres parties se séparent ensuite. L'une des parties de la fourche est devenue « Bad Kathy » une sociopathe totale, se détestant elle-même, méprisant l'humanité, isolée, qu'ils utiliseraient plus tard pour commettre des crimes à leur place. L'autre partie de la fourche deviendrait finalement un "bon petit garçon nazi" (puisque après tout, cette partie de moi était basée sur leurs personnalités masculines). La mauvaise Kathy est restée brune, ce qui renforçait le sentiment d'imperfection et de ne pas être assez bonne pour être aimée et acceptée. Le bon petit garçon nazi est devenu intérieurement, blond et aux yeux bleus, le parfait petit garçon nazi".

La plupart des témoins disent ne plus l’avoir vu après 1968, mais d’autres disent l’avoir vu après, comme Kathleen Sullivan qui affirme que Mengele était encore vivant et présent à une cérémonie officielle aux Etats-Unis en 1987. 

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L’Australienne Fiona Barnett, qui a été victime d’abus rituels et d’expériences de type MK-Ultra dans les années 70 et 80, explique dans son livre "Eyes wide open" que c’est Mengele qui a géré son premier traumatisme afin de fractionner sa personnalité quand elle avait 3 ans, à Canberra. Par la suite, elle explique avoir été amenée régulièrement aux Etats-Unis pour d’autres programmations / entraînements, notamment sur des bases militaires ou encore à Disneyland en Californie. Elle décrit le même type de traitements que Carol Rutz et d’autres, avec les mêmes codes, dans le même contexte, avec les mêmes objectifs.

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Fiona Barnett dit qu’elle a rencontré Mengele en 1961 à l’ambassade des Etats-Unis à Canberra, à une époque où il était soi-disant recherché par des pays d’Europe et par Israël, pour des expériences qui auraient eu lieu dans un laboratoire dans le sous-sol de l’ambassade.

Au sujet du Mengele qu’elle a vu cette fois-là, elle dit qu’il était gros, toujours les cheveux gominés, et écrit : "J'ai trouvé une photo d'un homme obèse assis à une table en Floride, que l'on dit être Mengele. Cette photo ressemble davantage à mon souvenir de Mengele que la personne dont la CIA a confirmé qu'elle avait vécu et était morte en Amérique du Sud. Je pense que ce sosie a été créé pour détourner l'attention du public du rôle international que Mengele a joué dans le cadre du projet MK-ULTRA et pour discréditer les témoignages".

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Fiona Barnett, qui a aussi été victime de Michael Aquino, John Gittinger le bras droit de Sidney Gottlieb ou Louis Jolyon West (psychiatre de Los Angeles impliqué dans le programme MK-Ultra) parmi d’autres, dit que Mengele est aussi venu à l’asile psychiatrique de Peat Island près de Sidney, où des maltraitances graves sur les patients, mineurs et handicapés, ont été reconnues par les autorités et qui n’a fermé qu’en 2001 après des dizaines voire selon Fiona Barnett des centaines de morts de patients, parfois des enfants.

En Allemagne, Mengele a mené des expériences à Auschwitz en 1944, notamment sur des centaines de jumeaux, et il sélectionnait lui-même à la sortie des trains les prisonniers qui allaient être gazés et ceux qu’il allait utiliser pour ses travaux. Des travaux menés pour l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie où il envoyait le fruit de ses recherches à l’adresse de son supérieur Otmar von Verschuer qui a poursuivi sa brillante carrière dans la génétique sans aucune difficulté après la guerre. Quant à l’Institut Kaiser Wilhelm, il a poursuivi ses travaux sous le nom d’Institut Max Planck.

mengele brésil

"Après un avortement pratiqué sur moi à Montréal, au Canada, à l'âge de douze ans, le Dr Black a prélevé des ovules. Je ne peux que supposer, d'après ce qu'il m'a montré quelques années plus tard, qu'il jouait à Dieu et manipulait les gènes pour créer une "Super Race". Il a sans aucun doute procédé à une fécondation en éprouvette avec ces ovules. Malheureusement, ses premières expériences ont donné naissance à des enfants dont la tête était grossièrement élargie. Il m'a montré deux de ces pauvres enfants quand j'avais 16 ans et m'a dit qu'ils étaient les miens. Je les pleure encore, et ce qu'ils sont devenus reste un mystère pour moi. Je crois cependant que ce qu'il m'a dit n'était peut-être rien d'autre que des mensonges car ces hommes étaient passés maîtres dans l'art de la tromperie. Il n'est pas difficile de tromper les enfants lorsqu'ils sont traumatisés", écrit Kathleen Sullivan. Des travaux qui ont eu lieu plus de 30 ans avant l’invention officielle du 1er clone, par des recherches civiles. En Argentine, on sait que Mengele a pratiqué des avortements clandestins pendant plusieurs mois, ce qui lui a valu d’être cité dans le cadre d’une enquête.

Difficile de trancher sur le parcours de Mengele après la guerre. Mais il est possible que son implication dans MK-Ultra et d’autres projets ait été dissimulée puisque beaucoup de zones d'ombre existent dans sa biographie. Y avait-il un sosie aux Etats-Unis ? Ou en Amérique latine, comme l’envisage Carol Rutz ?  

 

Les Nazis, hommes de main du réseau pédocriminel

mk ultra minde control

La chronologie montre que l’opération Paperclip de récupération des nazis est concomitante à la création de la CIA et au lancement du programme MK-Ultra, qui s’est appuyé sur des réseaux pédocriminels que la CIA elle-même a au moins en partie organisés. C’était en 1947, année du plan Marshall en Europe, début officiel de la guerre froide, année de la création du GATT, Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce qui deviendra l’OMC sans aucun débat public…

Parmi les victimes qui s’expriment sur les abus rituels et les expériences de la CIA, une bonne partie vient de familles de nazis ou sympathisants nazis, quel que soit le milieu social, et qui sont aussi dans les pratiques satanistes. C’est le cas de Fiona Barnett, dont les parents étaient des immigrés nazis d’Europe de l’est, ou de Kathleen Sullivan qui a écrit "Unshackled. A survivor’s story of mind control", qui a aussi eu à faire à un tortionnaire appelé indifféremment "Dr Schwartz, Dr Black, Joseph, Youssef" qui la traumatisait régulièrement.

artistes pédos

Elle écrit : "Ces nazis ont apporté à papa le respect et l'acceptation dont il avait tant besoin. Il semblait anormalement heureux et détendu en leur présence, alors que la plupart des autres groupes d'hommes le raidissaient. En anglais, le Dr Black a insisté sur l'importance pour moi d'apprendre leurs traditions et leurs croyances. Il a dit que moi et d'autres enfants étions élevés pour perpétuer leurs traditions et se battre pour leur cause. Avec un homme plus âgé aux cheveux gris-blancs et raides, il a récité des phrases en allemand que j'ai reçu l'ordre de répéter mot pour mot.

Je me sentais stressée d'être avec ces hommes tout en étant conditionnée à l'école pour être pro-Américaine, mon esprit s'est développé en deux entités distinctes : une fille américaine aux cheveux bruns qui ne parlait que l'anglais, et un garçon nazi aux cheveux blonds qui ne parlait que l'allemand".

Jusqu’à la fin des années 80, elle a assisté à des rituels sataniques en groupe (d’un occultisme teutonique, mêlé de paganisme germanique notamment une Golden Dawn Aryenne, précise Kathleen Sullivan) et à des réunions nazies secrètes en Pennsylvanie et en Géorgie. Son père avait été recruté par la CIA pour être traducteur auprès de nazis allemands et autrichiens fraichement émigrés aux Etats-Unis, probablement par l’entremise de son père, le grand-père de l’auteure. Ces Nazis ne s’affichent pas publiquement comme tels : tout comme les satanistes ils affichent souvent les valeurs exactement inverses dans leur vie publique.

rituel sataniste

"Tout au long de ma vie, j'ai rencontré de nombreuses personnes, dont certaines étaient des politiciens ou des ministres, qui déclaraient publiquement soutenir les droits des Noirs tout en étant fortement impliqués dans des organisations et des activités aryennes secrètes. Il en a été de même pour des individus, y compris des ministres, qui prétendaient être de fervents chrétiens tout en pratiquant secrètement des religions occultes. Ma règle de base est la suivante : plus une personne s'efforce de "prouver" à quel point elle est impartiale ou chrétienne, plus je pense qu'il y a de plus je pense qu'il y a de chances que cette personne soit le contraire", écrit Kathleen Sullivan.

Elle explique aussi que son père et ses amis satanistes se croyaient immortels parce qu’ils absorbaient la force humaine contenue dans le sang et le sperme humains. Et ils pensaient que grâce à leurs rituels ils deviendraient des sortes de dieux. Kathleen Sullivan souligne le lien entre les immigrants nazis après la guerre, le développement de l’occultisme aux Etats-Unis et les expérimentations de la CIA.

Kerth Barker, lui aussi victime du réseau pédocriminel sataniste et de contrôle mental aux Etats-Unis, a écrit que sa grand-mère était issue du contingent de nazis arrivés après la guerre, et que son grand-père l’avait rencontrée dans une loge satanique.

Michaël Aquino, colonel de l’armée américaine et fondateur du Temple de Set, un groupuscule sataniste, était impliqué dans le réseau pédocriminel qu’il approvisionnait, et était fan des nazis. Il est même allé faire des rituels dans un haut lieu de la SS, le château de Wewelsburg.

En France aussi j'ai des témoignages au sujet des décorums nazis de certains rituels, dans certains groupes satanistesn auxquels peuvent être présents des gens réputés "à gauche", en tout cas "républicains" capables de faire le salut nazi avant de violer des enfants voire d'en tuer.

 

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Fiona Barnet considère que le darwinisme combiné au malthusianisme, c’est-à-dire finalement l’eugénisme, a « produit trois branches de la même dialectique :

  • Le national-socialisme dans l’Allemagne nazie
  • Le socialisme international dans la Russie marxiste
  • Le capitalisme d’entreprise piloté par les Etats-Unis »

Il serait alors logique de retrouver les mêmes pratiques de corruption, d’abord des élites puis une fois que celles-ci sont corrompues, de l’ensemble de la population, par les pratiques sexuelles pédocriminelles (entre autres), dans les trois systèmes.



[1] D’Amato et un autre sénateur Arlen Specter ont demandé des comptes à la CIA et au gouvernement, suite à la déclassification de documents de la CIA selon lesquels Mengele possédait une grande ferme au Paraguay avec le trafiquant notoire, arrêté et évadé en 1979 à New-York, qui servait de base pour un trafic de drogue international. Mengele a longtemps vécu au Paraguay chez le nazi et gros propriétaire terrien Alban Krugg, ce que savaient les Américains. Cela pourrait sembler énorme, mais Klaus Barbie a aussi contribué au trafic de drogue en Bolivie, en accord avec les US. Il est en tout cas certain que Mengele, qui a vécu au Paraguay de 1955 environ à 1965, était protégé par le dictateur Stroessner, qui lui-même protégeait les trafiquants.

[2] Article « Nazi angel of death Josef Mengele 'created twin town in Brazil' » The Telegraph, 21 janvier 2009.

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