
Depuis plusieurs mois, l’Etat colombien a organisé une répression sanglante des manifestations qui se sont généralisées au cours des mois d’avril et mai dans tout le pays.
La police, notamment les Escadrons mobiles antiémeutes, les groupes paramilitaires proches des narcos, de l’armée et du pouvoir, des groupes de sécurité privée et l’armée sont accusés de nombreux meurtres d’opposants, de viols, de tortures, de détentions arbitraires qui tendant à devenir systématiques.
Suite à la politique ultralibérale cumulée à...
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