Note de lecture : Hitler était un agent anglais, de Greg Hallett
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Ce livre publié en 2006, réédité en 2007 puis plus jamais, présente une théorie intéressante : celle d'un Hitler marionnette des anglais, dans le but d'entretenir la guerre si rentable pour les financiers. C'est une thèse assez osée mais qui repose sur des réalités que j'ai moi-même observées au fil de mes recherches : l'influence massive de la franc-maçonnerie anglaise, dirigée par la monarchie, et de ses dérivés sur les hiérarques nazis. Au-delà, ce livre qui s'appuie sur des témoignages de membres des renseignements, apporte un éclairage sur les coulisses de nombreux événements.
Le livre "Hitler was a british agent" est écrit par un journaliste néo-zélandais, Greg Hallett, qui a des sources dans le milieu du renseignement. Il explique les coulisses de la Deuxième Guerre, selon une lecture qui n'est pas conventionnelle. Pour l'Histoire de la Deuxième Guerre, Hitler n'était pas l'objet d'influence extérieure, sa folie et ses crimes lui étaient propres.
Hallett parle aussi des pratiques occultes et pédocriminelles qui sont la règle dans une certaine "élite", qu'elle soit aristocratique ou politique, et n'oublie pas le côté rituel et occulte de la géopolitique mondiale. Les services de renseignement qui sont à leur service, connaissent et entretiennent ces pratiques, et aujourd'hui selon Hallett -et je le rejoins là-dessus- un politicien sur lequel les services, en particulier anglais et US, n'ont pas de moyen de pression n'a aucune chance de faire une carrière internationale ou même nationale.
Hallett explique que l'objectif principal de ce système est la guerre, qui permet à la fois de contrôler les peuples et de récolter des milliards.
Tout cela a commencé bien avant que la CIA soit créée dans le seul objectif de défendre le business. Les sociétés secrètes élitistes comme les Skull & Bones créés à Yale en 1832, avaient déjà permis depuis longtemps une cooptation de ceux auraient les commandes du pays.
Hitler, pion des anglais ?
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Hallett revient sur les origines familiales d'Hitler, et postule que sa grand-mère paternelle Maria Anna Schicklgruber, qui a travaillé dans une résidence de la famille Rothschild, aurait eu Aloïs, le père d'Hitler, avec un membre de cette famille.
Son père s'est marié en secondes noces avec une de ses nièces, âgée de 23 ans de moins que lui, qui est la mère d'Hitler. Ce mariage a été autorisé par l'Eglise catholique. Hitler a tout fait pour effacer les traces de sa famille paternelle comme maternelle et aujourd'hui encore le flou demeure sur ses origines.
Dans son testament, Mayer Rothschild, le fondateur allemand de cette lignée ultra toxique, a précisé que le patrimoine familial n'appartiendrait qu'au cercle restreint de ses fils et de leurs enfants mâles, ce qui impliquait de se marier entre cousins germains, voire entre demi-frère et sœurs. C'est donc logiquement, et comme le faisaient beaucoup les familles aristocratiques en général, que les Rothschild ont multiplié les enfants illégitimes, souvent avec leurs domestiques. Hallett fait partie de ceux qui considèrent qu'Hitler est l'un d'eux.
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"Les enfants illégitimes des Rothschild avaient deux objectifs. L'un d'eux était de de se créer des alliés et l'autre de se créer des ennemis. Les "alliés" étaient utilisés par les Rothschild comme couverture pour leurs transactions financières et les "ennemis" étaient utilisés pour créer la guerre", explique Hallett. Le tout étant planifié lors de rituels, de la Golden Dawn ou autre groupuscule occulte aux pratiques souvent douteuses.
Le 31 août serait une date à laquelle ils aimaient organiser les viols des femmes dans la peur, par plusieurs membres de la famille. La grand-mère d'Hitler serait arrivée chez Nathan Mayer (mort cinq semaines plus tôt d'après la chronologie officielle) et Lionel Nathan Rothschild en août 1836, mais officiellement elle serait arrivée chez les Frankeberger, qui lui ont versé une pension jusqu'aux 14 ans d'Aloïs. Selon Hallett, cette pension était probablement versée pour le compte de quelqu'un d'autre.
L'auteur explique que ce système a pour objectif de créer des guerres et d'enrichir les puissants, qui sélectionnent pour la politique des individus sur lesquels ils ont des moyens de pression parmi lesquels la pédocriminalité figure en bonne place.
Hallett pense qu'Hitler comme son frère qui s'appelle aussi Aloïs, ont été suivis par les Rothschild et reconnus comme leurs enfants illégitimes dans certains cercles. C'est ainsi qu'Aloïs est parti vivre en Angleterre, où Hitler l'a rejoint vers 1912.
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Sa belle sœur Brigid a écrit dans ses mémoires qu'Hitler est venu les voir à Liverpool en 1912. Selon Hallett, Hitler a "passé neuf mois (de février à novembre 1912) à l'école militaire britannique "Psych-Ops War School" à Tavistock en Angleterre, et en Irlande. Les six mois suivants (novembre 1912 à mai 1913), Hitler les passe à Liverpool avec son demi-frère et sa belle-sœur, où il se rétablit et étudie ses brochures sur les psychotropes, avec des voyages "touristiques" à Londres et dans les ports britanniques."
Là-bas, "Hitler apprit ceci : "Une fois qu’un orateur a maîtrisé les principes psychologiques de la persuasion de masse, il peut convaincre les masses de tout ce qu’il veut." Rien n’est si absurde qu’on ne puisse y croire si c'est présenté avec suffisamment de conviction". Il s'agit de miser sur la crédulité de la population face aux mensonges les plus énormes, en raison de la tendance à croire qu'il y a toujours une part de vérité dans ces récits.
La Tavistock clinic n'a été créée qu'en 1920, et l'Institut lui a succédé en 1947, mais le contrôle social était une préoccupation de John D. Rockefeller depuis quelques années, afin d'augmenter la productivité [1]. Et dès 1914 l'armée anglaise cherchait à identifier les meilleurs profils à l'aide de tests psychologiques.
Selon Hallett, Hitler aurait appris à parler en public et à être nazi pendant ce passage en Angleterre au cours duquel il aurait été "déconstruit", drogué, mis sous hypnose par le MI-6. Les agents recrutés par le MI-6 étaient aussi tenus par leurs pratiques sexuelles dont les aspects pervers étaient développés au cours de leur formation. Une évaluation d'Hitler par le MI-6 en 1912 mentionnerait que "tout ce qu'il lui manque est l'expérience" : il a donc été renvoyé en Allemagne avant la Première Guerre pour se faire une expérience militaire, et a été engagé alors qu'il s'était dérobé au service militaire.
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Officiellement, en 1912 Hitler qui avait 23 ans était en train de vendre ses peintures dans les rues de Vienne et n'a pas été en Angleterre. Cette impasse faite systématiquement jusqu'à il y a quelques années est étonnante [2]. Il aurait visité différents sites importants dont des ports avec son frère pendant ce séjour qui aurait duré 18 mois, jusqu'en avril 1913, selon une confidence d'Aloïs à Brigid. C'était un séjour étrange lors duquel Hitler était souvent parti.
"Au cours de la déconstruction, il est d'usage que la personne soit abusée sexuellement de la manière la plus embarrassante pour elle. Dans le cas de Hitler, il a été sodomisé, ce qui a créé un respect distant et soumis pour les homosexuels comme ses gardes du corps et certains de ses dirigeants les plus haut placés. Son penchant naturel s'est transformé en coprophilie […] Avec chaque déconstruction, une dépendance embarrassante est développée et filmée. Chez Hitler, il s'agissait de sadomasochisme, de coprophilie et d'homosexualité. Cela le rendait vulnérable aux moqueries de ses partenaires, et le fait d'en parler était un accès codé à son subconscient, ce qui le rendait vulnérable à des utilisations croisées", explique Hallett.
Après la déconstruction, il y a eu la phase de "reconstruction du subconscient" d'Hitler, pour lui faire croire à son grand destin, à son caractère exceptionnel, et à se montrer impitoyable envers ceux qui pensent différemment. Il considérait que chacun devait adopter à sa vision du monde et succomber à sa volonté. Hallett écrit que les anglais perfectionnent ce type d'entraînement depuis plusieurs siècles. Selon lui, Hitler avait un mini récepteur radio dans un plombage, qui était relié à des récepteurs auditifs et pouvait influencer "ses pensées et actions".
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La psychologie d'Hitler était assez complexe, à la fois névrotique, psychotique (il disait entendre des voix qui le confortaient dans son impression d'être "l'élu"), paranoïaque, sa sexualité aussi. Il avait des changements d'humeur radicaux, et après 1942 il était complètement sous l'influence des drogues et de son médecin de Dr Morrel.
Hitler était entouré d'agents britanniques, via les sociétés secrètes allemandes omniprésentes dans la hiérarchie nazie, les voyants et astrologues, les médecins, et son staff dans lequel beaucoup ont été retournés bien avant 1943 come Göring [3] ou Hess. Le Dr Morell qui l'a gavé de drogues de 1937 à 1945 (jusqu'à 28 pilules et injections par jour dont de la strychnine), était selon Hallett franc-maçon, membre de la société du Vril et au service des anglais. Il a d'ailleurs échappé à Nuremberg.
Les anglais, qui préparaient la guerre depuis 1919, auraient donc fait monter Hitler et facilité le réarmement de l'Allemagne, ce qui a permis de faire entrer les capitaux étrangers, pour parvenir à la guerre et à la destruction de plusieurs pays dont la France, éternelle épine dans le pied des anglais, tout en créant Israël. Ils ont de l'autre côté activé le camp russe pour créer cette confrontation.
Hallett cite le Commandant William Guy Carr, de la Marine royale canadienne [4] : "En vertu du Traité de Versailles de 1919, les banquiers internationaux ont pris le contrôle du réarmement militaire de l’Allemagne et de son redressement économique. Ce faisant, ils ont conclu les Abmachungen (accords) avec le Haut Commandement allemand. Ils acceptèrent que les Soviétiques fournissent secrètement aux généraux allemands toutes les armes et munitions nécessaires à une armée moderne de plusieurs millions d'hommes. Ils s'engagèrent également à ce que le dictateur soviétique mette à la disposition des Allemands des installations d'entraînement complètes pour leur permettre de former le nombre d'officiers et de sous-officiers nécessaires pour encadrer la nouvelle armée qu'ils prévoyaient de créer lorsqu'ils le jugeraient opportun".
Lancement politique d'Hitler
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En 1923, Hitler a organisé une tentative de putsch, qui aurait coûté des années de prison à n'importe qui mais ne lui a valu que 9 mois de prison dans des conditions VIP, avec son ami Rudolf Hess et Ernst Röhm.
Hallett revient aussi sur l'ambiance très "gay" chez les nazis de la première heure [5], dont beaucoup ont été massacrés au cours de la Nuit des longs Couteaux. C'est à cette époque que Mein Kampf a été écrit, dans lequel il désigne plusieurs pays dont la France comme ennemis, mais ne mentionne pas la Grande-Bretagne. Selon un historien des renseignements cité par Hallett, au milieu des années 20, "L'argent d'Hitler ne provenait pas de Mein Kampf, mais des services secrets britanniques. Mein Kampf était un livre terrible promu par les services secrets pour couvrir le financement britannique d'Hitler. À cet égard, il a parfaitement atteint son objectif".
Les nazis avaient de nombreux soutiens en Angleterre, la monarchie était pro-Allemagne, de même qu'une bonne partie des renseignements et de la classe politique. Il y a une grande proximité entre la monarchie anglaise et l'aristocratie allemande, car ils sont cousins. Selon Hallett, c'est la monarchie anglaise qui gère les monarchies européennes (ils sont aussi tous cousins).
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Et Hitler a su endormir les élites anglaises à commencer par le Premier ministre Neville Chamberlain, Premier ministre de mai 1937 à mai 1940, qui souhaitait la paix.
"Cela convenait parfaitement aux Saxe-Cobourg Gotha - le roi Édouard VIII et le roi George VI. Ils étaient à la tête de la franc-maçonnerie britannique qui, avec les francs-maçons allemands, se battaient contre les francs-maçons français avec un système de valeurs que la plupart ne comprendraient pas, et pour des raisons qui ont perduré au-delà des générations, mais principalement basées sur "le manque de connaissances" et "l'envie du style"", écrit Greg Hallett.
Par ailleurs, le duc d'Hamilton, qui versait dans l'occultisme, avait une relation avec Albrecht Haushofer, fils de Karl Haushofer qui était le mentor "spirituel" de Rudolf Hess dont il a été le prof à l'université, et était un membre influent de la société de Thulé. C'est Karl Haushofer qui a développé le concept de lebensraum, l'espace "vital" des allemands qui prenait toute l'Europe. Hamilton et Albrecht se sont rencontrés en 1936 aux Jeux Olympiques de Berlin, qui furent une vitrine du nazisme. Le duc d'Hamilton fournissait de si bons renseignement et était si actif qu'il était listé parmi les agents de renseignement de l'Abwehr, l'armée allemande.
Au milieu des années 30, Hitler avait le vent en poupe. Il a fait plusieurs fois la Une du Time magazine qui appartenait à Henry Luce, un autre fasciste, et a été nommé homme de l'année en 1938 par le magazine. Une grande partie du monde politique international vantait ses mérites pour le "redressement" de l'Allemagne.
Selon Hallett, "Walt Disney reversa la majeure partie des recettes du Magicien d'Oz aux nazis ; Henry Ford finança les véhicules de l'état-major d'Hitler et le grand-père du président Bush vendit des munitions à l'Allemagne, contrevenant ainsi au Traité de Versailles. Hitler voulait des Ford, mais Henry Ford, conscient des implications en termes de relations publiques, finança les Mercedes d'Hitler. Walt Disney et d'autres investisseurs financèrent le train de Goering. Goering le baptisa "America". Lorsque les Britanniques tentèrent de le mitrailler, l'armée de l'air américaine envoya des avions pour abattre les avions britanniques".
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Les allemands ont aussi facilement récupéré les plans des avions US, obtenu des brevets pour l'essence synthétique et le caoutchouc, bénéficié de prêts par les financiers internationaux... De son côté, l'Allemagne avait bien infiltré l'appareil sécuritaire américain, de nombreux ingénieurs étant allemands ou bi-nationaux, ainsi que les postes stratégiques à Washington. Les nazis avaient donc de nombreux relais, et le fait qu'Hitler a plusieurs fois fait la couverture du Time du fasciste Henry Luce dans les années 30 n'est que l'illustration de cette fascination pour cet individu hors cadre, perçu et vendu comme providentiel pour l'Allemagne et pour le monde.
Après l'invasion de la Tchékoslovaquie en 1938, la France était la suivante sur la liste. En 1938, Brigid et son fils Patrick son arrivés aux Etats-Unis, où Patrick a été matelot dans la marine en 1944-1946, dans le corps médical puis comme officier de renseignement. Il a vécu à New York après la guerre. Brigid a été volontaire à la British War Relief Society pendant la guerre. Son livre The Memoirs of Bridget Hitler, n'a été publié que dix ans après sa mort.
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En 1939, Hitler était surexcité par les drogues et par ses victoires. Tout son staff et son armée étaient drogués à coups d'amphétamines, notamment la Pervitine. Il a pu écraser la France en deux semaines, parce que la classe politique a laissé faire, et parce que les anglais avaient donné aux nazis les plans détaillés de la défense à l'est et au nord.
C'est le roi nazi Edward VIII [6] et sa compagne Wallis Simpson, qui avait aussi une relation avec l'ambassadeur d'Allemagne en Angleterre, Joaquim von Ribbentrop, et qui étaient des agents de renseignement du Reich, qui les leur ont donnés. Etrangement, c'est en France qu'ils sont restés vivre après la guerre, dans une grande villa a l'orée du bois de Boulogne, rachetée avec son contenu par Mohammed Al Fayed à la mort de Wallis Simpson en 1986.
La fin de la guerre
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La fin de la guerre a été mise en scène comme son commencement. Parmi les principaux enjeux pour les anglais, comme pour les Etats-Unis d'ailleurs, il y avait l'exfiltration de leurs agents, l'effacement des traces de la collaboration avec le Reich, et aussi de mettre la main sur l'énorme trésor de guerre des nazis, dont une grande partie se trouvait encore en Suisse en 1945, que ce soit dans des coffres ou dans des planques.
Pour récupérer les avoirs nazis, les anglais devaient récupérer celui qui avait les codes des comptes en Suisse, Martin Bormann. Hallett dit que Bormann a été envoyé en Angleterre, subi des opérations de chirurgie esthétique, et reçu une nouvelle vie à Londres puis dans la campagne.
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Les anglais auraient organisé plusieurs fausses morts de Bormann, qui serait mort en 1959 au Paraguay, après quoi les anglais ont fait circuler plusieurs doublures un peu partout et diffusé de nombreuses rumeurs à son sujet, d'où l'opacité particulière sur le cas Bormann, du même niveau que celle au sujet d'Hitler, avec des fausses pistes à la pelle.
Les corps retrouvés dans le bunker où Hitler se serait suicidé avec sa garde rapprochée en avril 1945 [7] ne correspondaient pas à Hitler, explique Hallett, malgré les empreintes dentaires officiellement concluantes. Selon Hallett, une opération "Winnie l'ourson" aurait été mise en place par les anglais pour l'exfiltrer d'Allemagne, avec un petit sous-marin jaune naviguant sur la rivière Spree. Il aurait fini son parcours à Barcelone, où il était abrité dans un monastère et travaillait comme jardinier à la citadelle. C'est là qu'il aurait été repéré par des membres de l'IRA et liquidé en février 1950 par les anglais qui lui auraient mis un cancer de l'estomac. Les doublures d'Hitler, disséminées un peu partout, auraient ensuite été éliminées.
Les doublures
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Greg Hallett parle des doublures, physiques ou seulement vocales, de plusieurs personnages comme Churchill, Hitler, Hess, Martin Bormann qui était le secrétaire particulier d'Hitler et avait la main sur les finances nazies, porté disparu en 1945.
Hitler avait plusieurs doublures, dont cinq ou six ont été retrouvées dans le bunker où Hitler et sa clique sont censés s'être tous suicidés en avril 1945.
La Gestapo choisissait comme doublures d'Hitler des pères de famille de la classe moyenne pauvre qui aimaient leurs enfants pour avoir sur eux un moyen de pression. Certains ont eu de la chirurgie esthétique. Beaucoup de commandants de secteur avaient aussi des doubles. Le seul qui n'en avait pas selon Hallett était Goebbels, et lui et sa famille sont les seuls vrais corps récupérés dans le bunker par les Russes.
Ces doublures ont été très utiles à la "libération", pour simuler la mort de certains protagonistes ou en juger d'autres.
Après la guerre, l'histoire de la CIA, du MI6, de la guerre etc. a été totalement réécrite pour effacer la collusion avec les nazis. Le système a perduré d'autant plus facilement que les populations étaient plongées dans un déni organisé.
La pédocriminalité
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Hallett montre assez bien comment la pierre angulaire du chantage sur les dirigeants sont les affaires de pédocriminalité. Selon lui, "les pédophiles contrôlent les francs-maçons, car ces derniers les considèrent comme proches de la famille royale" qui utilise ses "enfants illégitimes pour approvisionner et contrôler les pédophiles". Derrière, la police, la politique sont au service des pédophiles et tout est fait pour étouffer ces dossiers. Cela ressemble au réseau pédocriminel et sataniste dont on parle souvent sur ce blog.
Par exemple, Interpol, dirigé de 68 à 72 par le nazi Paul Dickopf, était vulnérable aux chantages dans les années 70 en raison d'une affaire de pédocriminalité à Bruxelles : Hellett écrit qu'Interpol gérait un hôtel pour les victimes de pédocriminalité mais les utilisait pour des productions de films pédos.
Le livre parle également d'un fils illégitime de George VI, le père de la reine Elisabeth, né en 1927 en Nouvelle-Zélande, qui devenu adulte, a été chargé de défendre les britanniques sur place, donc les pédocriminels britanniques aussi : "Il couvrait ceux qui étaient arrêtés ou qui portaient plainte, s'assurant qu'ils n'avaient pas de casier judiciaire et que les "touristes britanniques" sortaient du pays sains et saufs. Son rôle consistait à couvrir les pédophiles britanniques, mais aussi à garantir l'existence d'un vivier de jeunes Maoris disponibles pour la pédophilie, encouragés à nager nus dans les piscines".
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Hallett raconte aussi comment Tony Blair a été contraint par les faiseurs de guerre de lancer son pays dans la guerre en Irak en raison d'une campagne de presse au sujet de l'achat d'un appartement à 3,5 millions de £ et aussi d'une affaire de réseau pédocriminel impliquant des puissants, dont le climax fut le massacre le 13 mars 1996 des enfants d'une classe de maternelle de Dunblane [8] en Ecosse par un pédocriminel protégé par les autorités politiques locales.
J'en avais parlé en 2012, parce qu'il était évident que cette affaire qui impliquait des gens puissants avait été étouffée. Le tueur, Thomas Hamilton, a pu se procurer l'arme utilisée pour tuer 16 enfants grâce à un député local, Lord Robertson [9], et Hallett souligne que cette information est sortie dans la presse le 11 mars 2003, neuf jours avant le début de la guerre en Irak. Et longtemps après le massacre, qui a permis d'étouffer l'affaire de réseau. Robertson a été nommé ministre de la Défense en 1997 puis secrétaire général de l'OTAN et président du Conseil de l'Atlantique Nord de 1999 à 2004. C'est seulement quand son aide décisive au tueur pédocriminel a été révélée que "Lord" Robertson a mis fin à sa carrière publique.
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Hallett parle de plusieurs sujets d'actualité sur lesquels il donne une version alternative. Le tsunami de du 26 décembre 2004, par exemple, a été selon lui provoqué par le système HAARP et par des bombes placées là pendant le Deuxième Guerre. J'avais aussi entendu cette version par une source des renseignements, avec la précision que les bombes étaient placées dans des failles et qu'on les avait fait exploser.
Selon Hallett, ces bombes se trouvaient autour de l'île où se trouve la base militaire US de Diego Garcia, ce qui expliquerait qu'elle a été épargnée . Mais l'épicentre du tsunami, d'après les données officielles, était au nord de l'Indonésie et pas au sud-ouest de l'Inde.
Hallett revient aussi sur le développement du trafic d'héroïne en Nouvelle-Zélande, à l'instigation des anglais et de l'OTAN, depuis 2005, et dépeint un narco Etat, dont des individus aux postes les plus importants sont aussi des trafiquants de drogue.
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Ce livre interroge et laisse quelques questions en suspens, mais la relation entre l'Angleterre et les nazis est trop négligée par l'histoire officielle. Il s'en est fallu de peu qu'on vive aujourd'hui dans leur Troisième Reich, qui s'il a été mis de côté longtemps, semble revenir en force avec une Europe autoritaire, guerrière et liberticide qui n'est tournée que vers le business, la réémergence massive des nazis jusque dans les rues, la société de contrôle, l'eugénisme, la domination des cartels industriels...
Sommes-nous si loin aujourd'hui du 3e Reich, quand on assite à un génocide en direct de la population palestinienne ? Quand le business a tous les droits et l'humain, aucun en pratique ? Quand ceux qui nous dirigent sont des dépravés amoraux qui ne savent que détruire ?
Est-ce la démocratie quand un dingue à l'Elysée organise des législatives pour mieux mettre les perdants au gouvernement, après avoir ruiné le pays aux prétexte du covid et de la guerre en Ukraine qu'il a gérés seul, tout effaçant les derniers restes de vernis démocratique de notre régime d'aristocratie républicaine ?
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[1] Tavistock institute. Social engineering the masses, 2015, Trine Day. Daniel Estulin.
[2] Cependant il ne serait resté que deux mois, selon Brigid.
[3] Göring a assisté au couronnement du roi George VI en décembre 1936, et a fait construire son immense villa de Carinhall avec l'argent des anglais auxquels il vendait des renseignements, qui' l'ont truffée de micros.
[4] Pawns in the game,1958, William Guy CARR.
[5] Selon Greg Hallett, "De nombreux dirigeants du parti nazi, dont Hitler, Roehm, Forster, von Schirach et presque tous ses gardes du corps étaient homosexuels. Hitler s'est entouré d'homosexuels et a même récupéré Roehm en Bolivie pour en faire son vice-führer. Cette connaissance a permis à des pays extérieurs comme la Grande-Bretagne et à des idéologies comme les francs-maçons de contrôler Hitler, son haut commandement et ses gardes du corps". Il existerait de nombreux documents au sujet de l'homosexualité d'Hitler depuis la Première Guerre, ce qui aurait bloqué son avancement dans l'armée, détenus notamment par le général Otto von Lossow, acteur du pustch de 1923 qui en faisait son assurance vie.
[6] Il n'a régné que 11 mois en 1938, et a abdiqué officiellement en raison de sa relation avec une femme divorcée.
[7] Il y est entré dès la mi janvier 1945, et en mars avril il a commencé à répéter à tout le monde qu'il allait se suicider.
[8] L'école en question était prosée par les élites locales et Robertson y avait déjà mis ses 3 enfants. C'est donc naturellement qu'il s'est placé en tant que porte-parole des familles des victimes tout en faisant sa propagande politique sur le thème de "la sécurité".
[9] Robertson, membre du Labour, était contre toute autonomie de l'Ecosse, et été très actif pour faire ratifier le traité de Maastricht qui instaurait l'euro sauf pour les anglais. Il a toujours défendu les intérêts américains.