Le 9 janvier 2014, rétablissons la vérité dans l'affaire du Var (16 enfants assassinés et trois autres broyés)
Le 9 janvier, l'affaire du réseau pédophile du Var, que certains appellent l'affaire Amidlisa, sera jugée au tribunal de Draguignan. Venons en masse pour soutenir la famille des enfants et tenter de rétablir enfin la vérité sur cette affaire, dont ont été victimes trop d'enfants. 16 en sont même morts.
Ne rêvons pas: ce ne sont pas les viols d'enfants, ni les 16 meurtres, ni le réseau qui seront jugés. En effet, TOUTES les plaintes déposées par la mère des enfants en ce sens ont été classées sans suite, notamment par le célèbre procureur Girard, désormais installé à Meaux.
Non, ce qui sera jugé le 9 janvier, c'est la dénonciation calomnieuse de la mère des enfants. L'arme fatale des pédophiles: quand les plaintes pour viol ne sont pas suivies d'effets par la Justice, on constate, comme ce fut le cas à Saint Malo pour l'affaire de la petite Marine, que les pédophiles attaquent pour dénonciation calomnieuse.
Même quand la plainte n'est pas recevable, puisqu'elle n'entre pas dans le cadre de la loi. En effet, comment affirmer que les viols n'ont jamais existé et que la mère des enfants le savait parfaitement, puisque, comme les plaintes ont été classées sans suite, lesdits viols n'ont jamais été jugés? Il n'existe aucune vérité judiciaire à ce sujet, et on peut comprendre qu'une mère à qui ses enfants racontent de pareilles horreurs tente de réagir et de les protéger.
En outre, "La fausseté du fait dénoncé doit résulter nécessairement de la décision, devenue définitive, d'acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n'a pas été commis ou que celui-ci n'est pas imputable à la personne dénoncée", selon l’article 226-10 al.2.du Code pénal.
C'est donc face à cette procédure ubuesque que se trouve la mère des trois enfants du Var, une procéudre qui lui a valu d'être mise en examen début 2010.
L'espoir d'aborder enfin le fond des choses
Mais, ce procès sera l'occasion d'évoquer enfin ces viols dont, manifestement, la """justice""" ne veut surtout pas parler, qu'elle ne veut surtout pas voir.
Il faut dire que parmi les personnes citées nommément par les enfants, il y a des "professionnels de l'enfance", comme on dit: maîtresses d'école, psychologue d'un point rencontre, éducateur en chef du même point rencontre... Ca ferait vraiment désordre si on devait admettre que les propos circonstanciés des enfants étaient vrais.
Qu'ont dit les enfants? Le dossier complet est téléchargeable ici à la fin de l'article.
Les enfants ont décrit des viols en réunion commis par leur père et ses amis, dont un certain D.R. Ils ont aussi décrit des tortures et des meurtres d'enfants, dont certains ont été enterrés sur place. Au total, la famille a recensé 16 meurtres dont les enfants ont parlé. Des enfants qui parlaient parfois français, qui appelaient parfois leur mère, et qui ont été violés, torturés (pieds coupés, pendus à un arbre, tués par balles ou égorgés, puis vidés de leur organes parfois...)
Le premier de ces meurtres a eu lieu le 30 novembre 2008. En rentrant de chez leur père, les enfants étaient hagards, si bien que leur mère a chercher à comprendre. Ils ont alorts révélé que leur père avait participé, devant eux, au meurtre d'un petit garçon de 4 ou 5 ans. En janvier, c'est une petite fille du même qui a été tuée dans la grande propriété d'un type du réseau, en présence de six hommes et six femmes.
Les enfants ont raconté que pendant que petite fille pleurait, les adultes se moquaient d'elle. Une mamn qui assistait également à la scène pleurait, d'après l'un des enfants, et comme d'habitude, tout était filmé. Il existe donc des snuff movies de ces meurtres, et des viols qui les précédaient. A la fin, la petite fille a été découpée en morceaux et jetée dans un sac poubelle qui a été vidé dans un trou creusé dans la forêt par le père des enfants.
Le 14 février, trois enfants ont été tués en une soirée, puis une autre fillette quelques jours plus tard, dans la propriété du riche pervers. Cette fois là, le père des enfants les a obligés à porter des coups de couteau aux victimes, puis la petite fille été étranglée et égorgée. Le 27 mars, trois nouveaux meurtres ont eu lieu, puis un dixième meurtre le 2 avril 2009, deux le 13 avril, trois le 18 avril, et le 21 avril c'était le dernier meurtre dont les enfants ont parlé à leur mère.
Une partie de ces meurtres a eu lieu durant des week-ends où le père des enfants, qui avait la garde, a refusé de les confier à leur mère. Des week-ends au cours desquels elle n'a jamais pu entrer en contact avec eux.
Juste après le 16 e meurtre, le père a réclamé que les enfants ne voient plus leur mère qu'en point rencontre. Evidemment, la justice lui a fait droit, et les enfants n'ont plus jamais pu parler de ce qu'ils subissaient avec leur mère. Les enfants n'ont cessé de dire et d'écrire qu'il voulaient vivre avec leur mère, mais la justice, qui a toujours refusé de les entendre, a considéré qu'il fallait les en éloigner.
Une pétition circule en ce moment afin de demander le dépaysement du procès du 9 janvier. En effet, nous avons toutes les raisons de douter de l'impartialité du tribunal et de la sérnité des débats. Jusque là, aucune enquête n'a été menée, aucune instruction, ni même une analyse des plaintes, qui révèlent des faits particulièrement graves.
Les seules "enquêtes" jamais réalisées n'avaient pour but que de blanchir les pervers et de détruire la crédibilité de la mère, à qui on imposait de rencontrer des experts bidons, ayant ensuite rédigé des rapports totalement partiaux dans le but probable de la faire internenr d'office.
Depuis le début de cette affaire, un procédé stratégique visible a été mis en place contre les enfants, leur maman, leur famille maternelle et leurs amis témoins, se traduisant par un acharnement à utiliser des qualificatifs psychiatriques dans les rapports officiels (propos incohérents, appartenance à une secte, délire collectif) inventés de toutes pièces pour dénaturer et tuer dans l’œuf les dénonciations rapportées des enfants.
Pour exemple de la collusion entre le réseau pédophile et la Justice, un gendarme a expliqué à la mère des enfants que le procureur de Draguignan (qui a fait placer les enfants après les avoir pris de force à leur mère) leur avaity ordonné de raconter chaque détail de l'enquête et de la procédure au père des enfants. Qui, rappelons-le, était censé n'être qu'un simple maçon, à peine éduqué, isolé et victime d'une folle (la mère des enfants). Ledit pervers avait prévenu son ex, peu après la séparation: "Tu vas voir c’ que j’ te prépare ! J’ai des amis au bras long, je te prépare une vengeance, tu peux même pas imaginer ! Le jour où tu déposes plainte tout s’enclenche ! Tu perdras tout, tes enfants, la maison, etc..."
On peut aussi ajouter que les enfants ont parlé, lors de différentes auditions, ainsi que devant les psys. Mais bizarrement, il a toujours été impossible d'avoir les retranscriptions. En mars 2009, l'aînée de s trois enfants a ainsi dit à sa mère que "ça sert à rien de parler, personne nous croit".
La moindre des choses, dans cette affaire, aurait été de vérifier ce qui était vérifiable. Pourquoi ne pas mettre, par exemple, tout le monde sur écoute? Pourquoi ne pas avoir imposé une seule garde à vue au père des enfants et à son ami D.R, alors que leurs dépositions se contredisent? Juste pour vérifier certains points, certaines contradictions. Quand et comment se sont-ils rencontrés? Comment se fait-il que les deux pervers savaient déjà pourquoi ils étaient convoqués?
On peut espérer qu'à l'issue de ce procès inique, les enfants pourront enfin revoir leur mère et vivre avec elle, comme ils le désirent. Car, leur père s'est toujours opposé à ce qu'ils revoient leur mère, quitte à ne pas les scolariser pour qu'ils ne viennent pas les week-ends où elle en avait la garde, par exemple.
Toutes les plaintes du père, ses requêtes et autres procédures ont abouti en un temps record. Du côté de la mère, toutes les plaintes ont été classées sans suite, et aucun de ses recours n'a jamais été accepté, même quand les vices de procédure étaient flagrant. Aucune des confrontations demandées par la famille protectrice n'a jamais été organisée, aucune des vérifications demandées n'a été réalisée.
Rendez-vous le 9 janvier à 13h15 au tribunal de Draguignan pour tenter de faire rétablir la vérité et le droit dans cette affaire. Trois enfants sont encore confiés par la justice à un pervers sans nom, une famille a été détruite et ruinée financièrement par des années de déni de justice et de vices de procédures, et il est temps que cela cesse.