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25 août 2022

Face aux attaques totalitaires, le droit d'informer et d'être informé ne se négocie pas

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Nous savons que la micronie ne recule devant rien, surtout pas un mensonge, surtout pas la répression, pour imposer une vision du monde qui n'est rien d'autre qu'une construction délirante. Dans une folie occidentale, nous avons subi des régressions sans précédent de nos droits, symptôme d'un glissement par à-coups conçus comme autant de points de non retour, vers un totalitarisme.

Pour appeler un chat, un chat, pour oser poser des questions, des citoyens militants et des lanceurs d'alerte sont aujourd'hui victimes de harcèlement et d'attaques de la part d'un Etat à la dérive.

 

Je reproduis un article collectif, à faire circuler le plus possible:

 

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

 

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, "suspensions" abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs "signalements", des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

 

Fake news 2

Car dans ce qu’on appelle une "démocratie", les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la  "liberté d’expression". Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo-Recchia, Emmanuelle Darles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo-Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde-à-vue avec saisie de matériel, ainsi que d’intimidations dans sa vie privée.

Olivier Soulier qui s’est vu qualifier de "gourou antivax" et ses coordonnées privées ont été diffusées dans un média de masse.

 

propagande 01

Pourquoi est-il aujourd'hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d'alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les Nazis, l’URSS, les Khmers Rouges, le Rwanda, la Syrie…

 

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Commentaires
P
Il y a aussi les professionnels de la pleurniche qui se lamentent ostensiblement en permanence et qui en vivent, puisque des zozos financent leurs trémolos. Les vrais opposants ne sont jamais médiatisés, par définition. Quelqu'un qui est médiatisé bénéficie d'une audience et, qu'on en parle en bien ou en mal, on lui offre une tribune, on lui fait donc de la pub. <br /> <br /> Certains commencent à se faire connaître avec des propos un peu sensés, qui tranchent parmi l'inversion systématique qui est pratiquée au quotidien dans les médias, et ils bénéficient alors du statut d'opposant, de résistant. Ils doivent être vus comme tels par le public. Mais, s'ils étaient opposants, ils ne seraient pas médiatisés. <br /> <br /> <br /> <br /> Dès lors qu'ils sont connus, leur discours va s'infléchir, se tiédir, parfois s'inverser (Raoult) et surtout ils vont faire dévier leur audience, ils vont la prendre en main pour s'assurer qu'elle n'aille jamais dans la bonne direction, vers la Vérité. Ces gens sont des dévieurs (et des déviants du reste) ou des « bifurqueurs », comme le dit Pierre Blanchette… Il faut le dire : ils sont en mission.<br /> <br /> <br /> <br /> Il n'y a qu'une Vérité, c'est celle du Christ. Ces gens, systématiquement, finissent par promouvoir des délires new ageux, qui TOUS sont des variations sur le thème du satanisme. Voilà à quoi servent ces gens, les Fouché (F-M), Henrion (F-M ?) et autres.<br /> <br /> <br /> <br /> Il est vrai que la persécution des résistants est inédite, mais les premières victimes en sont les anonymes, des parfaits anonymes, des chrétiens isolés, que la république torture ou assassine indirectement ou tente d'acculer au suicide. Pour résister à cette persécution qui n'est rien d'autre qu'une persécution des satanistes contre les disciples de la Vérité, il faut se référer aux premiers martyrs. Je pense qu'on peut trouver la force de tenir en lisant par exemple les Actes des martyrs, en lisant les écrits des saints et des mystiques de façon générale, en jeûnant aussi. Mais j'avoue que je prie chaque jour que cette agonie terrestre finisse rapidement… C'est le manque de foi, hélas.
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T
N'oublions pas Louis Fouché et sa femme qui ont vu leur compte bancaire fermé puis vidé après avoir étés virés de leur emploi comme soignants. <br /> <br /> Ou encore Pascal Sacré réanimateur en Belgique, démis de ses fonctions après avoir publié quelques articles... Alexandra Henrion-Caude, Luc Montagné, Robert Malone, etc etc ...
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C
bien dit....
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