
On en avait déjà parlé récemment: la crise n'est pas une calamité pour tout le monde. Loin de là, même. Aujourd'hui, on s'aperçoit qu'un mouvement de concentration des banques est en cours, au profit de certaines d'entre elles. Comme par hasard, les milliards des contribuables injectés danse certaines banques servent à ces rachats, de banques qui, elles, n'ont pas eu de milliards. En gros: on se moquerait du chaland, les choses ne se passeraient pas autrement.Le foutage de gueule (appelons un chat un chat, pour une fois dans cette...
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