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15 décembre 2012

Une sombre affaire de trafic d'organes étouffée dans un hôpital français

humain-billboardUne bien étrange affaire qui semble reliée à du trafic d'organes couvert par l'ensemble des institutions. On va aborder ici l'affaire Eliane KABILE, une femme décédée en 2001 à l'hôpital, dans des circonstances des plus obscures. Le pire est probablement la succession d'incohérences, hallucinante. Si bien qu'il est absolument impossible d'adhérer à la thèse officielle, c'est-à-dire que cette dame est morte de "mort naturelle", suivant le dernier certificat médical en cours.

 

Je vais reprendre largement un article de Copwatch qu'on trouve ici, et qui reprend l'affaire de manière synthétique: http://copwatch.fr.over-blog.com/article-premiere-affaire-le-mystere-eliane-kabile-continue-91370314.html

La famille d'Eliane Kabile est certaine que leur soeur, leur mère, a été victime d'un trafic d'organes au sein même de l'hôpital de Gonesse. Et depuis plus de dix ans, ils sont confrontés à une justice sourde, au point de classer sans suite toutes les plaintes, ou presque. Un médecin légiste mis en cause, Michel DURIGON, de l'Institut médico légal, traite la famille de "pathologique", de "malades mentaux" dans l'un des rares reportages consacrés à cette affaire, et la famille a toutes les peintes à porter plainte pour injures.

Les quelques procédures que la famille d'Eliane Kabile a pu lancer lui ont coûté 15.000€ d'amende le 3 janvier 2008, pour procédure abusive.

Mamdame Kabile est officiellement décédée le 13 février des suites d'une hospitalisation pour un problème à la cheville, ce qui n'a pas empêché les infirmières de parler de la "déboucher", c'est-à-dire de l'éviscérer, dès le 10 février. Et le médecin traitant d'Eliane Kabile a reçu un avis selon lequel sa patient est morte le 9 février. Ce médecin dira plus tard qu'elle "n'est pas morte de mort naturelle". Et le 9 février, quand sa soeur vient voir Eliane, elle constate que son encéphalogramme était plat, bien qu'Eliane avait l'air de respirer (ce qui était du au respirateur artificiel, le seul appareil en fonctionnement).

Pourtant, Jean-Pierre Burnier, le directeur de l'hôpital de Gonesse, estime qu’il n’y a eu aucun problèmelors de l’hospitalisation d’Eliane

99Kabile. "Tout ce que nous devions faire a été fait", a-t-il dit. Quant aux causes du décès, elles sont selon lui "parfaitement définies, la pathologie étant connue". Ah bon? Pourtant on a parlé d'anémie, de leucémire, de pneumopathie, puis de "causes naturelles".

Plusieurs autopsies n'ont apporté aucune réponse aux nombreuses questions de la famille d'Eliane Kabile.

Reprenons:

 

A) Eliane Kabilemère d’origine martiniquaise de Thierry avait 64 ans au moment où elle est décédée, en février 2001 à l’hôpital de Gonesse dans le Val d’Oise. Elle était entré à l’hôpital, une première fois, le 22 décembre 2000 pour une simple douleur au mollet droit. Huit jours plus tard, elle en ressortait en n’ayant reçu aucun soin ou traitement et toujours avec la même douleur au mollet.

Première série de questions que se pose la famille. Questions très intéressantes qui apportent de nouvelles précisions, notamment médicales :

- Où est le dossier médical ?

- Pourquoi une dizaine de prises de sang par jour lors de son hospitalisation pour un problème à la cheville ?

- Qu’ont-ils découvert pour arrêter le traitement en cours : l’adaltazine ?

- Pourquoi les examens sanguins par rapport à ce médicament n’ont-ils pas été respectés ?

- L’aldaltazine est-il sur la liste des médicaments suspects pour l’aplasie médullaire ?

- En découvrant une baisse de ses défenses (anémie réfractaire), pourquoi et dans quel but continuer les prises de sang ?

- Pourquoi n’ont-ils pas respecté les consignes du Professeur X disant de ne plus faire de prise de sang ?

- Pourquoi ne l’ont-ils pas transfusée, alors qu’elle avait 7,6 d’hémoglobine ?

- Mieux, elle sort de l’hôpital et on lui supprime l’adaltazine. Pourquoi ?

 

traficorganes08050901B) Eliane retourne à l’hôpital le 27 janvier 2001 et, premier fait étrange, elle est enregistrée sous deux numéros d’arrivant. Madame Kabile meurt le 9 février 2001. Nouveau fait étrange, l’hôpital annonce comme date de décès le 13 février alors que, pourtant, dans un courrier annonçant la mort de la patiente à son médecin traitant, c’est bien la date du 9 qui est prise en compte. Pourquoi ces étrangetés ? On l’ignore…

Selon l’hôpital, son décès serait consécutif à une anémie, donc à un manque de globules rouges, doublée d’une neutropénie, autrement dit également d’un manque de globules blancs. Mais devant un décès aussi inattendu que brutal, la famille se demande s’il n’y a pas eu une erreur médicale. Cependant, le communiqué de l’hôpital ne permet pas de dire si une telle erreur a été commise. Apparemment, la direction admet juste un « défaut de communication » avec la famille d’Eliane…

Bien entendu, ce genre de communiqué n’apporte aucune réponse sérieuse et la famille, en toute logique demande une autopsie pour en savoir un peu plus. L’autopsie sera pratiquée le 20 février. Mais, nouveau fait étrange, ce sont deux corps au nom d’Eliane Kabile qui partiront à l’ILM de Garches, le 19 février, l’un de Villetaneuse et l’autre de Gonesse…

Deuxième série de questions…

- Pourquoi son médecin traitant qui la voit le vendredi ne lui dit pas qu’elle doit rentrer en urgence le lendemain, samedi ?

- Pire, c’est sa sœur Lucienne qui le lui annonce, information qu’elle obtient en appelant le médecin le samedi matin.

- Pourquoi ce médecin rattaché à la famille depuis 32 ans ne l’a pas appelée ?

- Quand elle rentre à l’hôpital, pourquoi deux versions ?

- Pourquoi est-elle enregistrée sous deux numéros d’arrivant différents ?

- Pourquoi lui dire qu’elle sera mise sous EPO ?

- Pourquoi ne l’ont-ils jamais fait ?

- Pourquoi l’ont-ils transportée avec une simple chemise de nuit à st Denis faire un doppler et l’avoir exposée en plein courant d’air pendant plusieurs heures ? La question se pose, d’une part, car ils connaissaient son état de santé et, d’autre part, surtout lorsqu’on sait qu’ils n’avaient pas besoin de la déplacer car ils sont équipés de cet appareil.

- Elle rentre le soir avec une forte fièvre ; on la place sous oxygène est-ce normal ? Le soir même nous faisons les démarches pour la transférer à St louis et décidons de rencontrer le médecin le lendemain pour lui faire-part de notre décision et de l’accord du Professeur Y pour l’admission dans son service.

- Pourquoi le médecin a t’il refusé son transfert alors qu’il met en avant une anémie réfractaire sachant qu’il n’est pas équipé en comparaison de St louis ?

901258550- Pire, quand nous mettons en avant sa fragilité face aux bactéries et que son choix a été : de la placer dans une chambre de trois personnes avec une bouche d’aération très sale, située au dessus de son lit avec aux pieds de celui-ci un chauffage d’appoint ; avec des toilettes partagées entre les patients et les visiteurs ; avec des douches communes situées hors des chambres… sa réponse a été de donner l’ordre d’expulser un homme âgé de couleur (ils l’ont placé dans le couloir ) et de faire nettoyer la chambre individuelle et d’y placer notre mère.

- Pourquoi descend-elle le lendemain en service de réanimation avec pour explication un manque de personnel à l’étage ?

- Pourquoi est-elle remplacée dans sa chambre ?

- Pourquoi lorsque nous réclamons notre mère auprès de l’infirmière celle-ci nous informe après avoir consulté un cahier (service réanimation) qu’elle n’est pas dans le service ?

- Y a t’il un lien avec les deux numéros d’arrivant ?

- Pourquoi l’ont-ils placée sous respirateur artificiel sans avertir la famille sachant qu’elle est descendue pour une meilleure surveillance pour pallier le manque de personnels ?

- Pourquoi, alors qu’on lui fait remarquer que l’appareil du cœur ne fonctionne pas, le médecin répond « j’ai oublié de brancher l’appareil » ? Nous sommes le samedi, l’appareil n’a jamais été branché ! La lettre du 09/02/2001 est -elle l’explication ?

- Pourquoi les médecins n’ont pas son groupe sanguin alors qu’ils parlaient de transfuser ? (naturellement ils ne l’ont jamais fait).

- Pourquoi nous avoir rendu, le samedi 10/02/2001, sa montre et son dentier, dentier qui nous a permis lors de l’autopsie du 01/07/03, de voir que le cadavre n’était pas celui de notre maman ?

- Pourquoi « Z » (de l’hôpital) m’appelle le 12/02/01 pour me dire que ma mère a des chances de vivre ?

- Pourquoi le Dr X1 m’appelle le 13/02/01 pour me dire que ma mère va mourir et de venir vite à l’hôpital si je voulais lui parler. Ma mère se trouvait dans un coma soit disant provoqué. Le respirateur artificiel faisait gonfler et dégonfler son ventre et un moniteur affichait deux lignes droites, sans vie.

- Pourquoi « Z » se rend le 13/02/01 (15h00) à l’hôtel de police pour y déposer une main courante, concernant des menaces qu’il aurait reçu de la part de mon frère au cas où notre mère viendrait à décéder (il la déclare vivante…)

- Sachant que son décès nous a été annoncé le 13/02/01 à 15h15, y a-t’il un complot, caché ou évident ?

 

image-220689-panoV9free-wpnvC) 26/02/01 : Date de l’inhumation au cimetière de Sarcelles Village. La première personne arrivée au funérarium de Gonesse, son amie Francine, découvre, sur une table, notre mère recouverte d’un drap. D’un geste, elle la découvre, la regarde, lui parle et observe qu’elle n’a pas de cicatrice due à l’autopsie, mais une coupure à l’épaule gauche, ce qui rejoint la déclaration de la famille (témoignage que nous avons joint au dossier).

La famille arrive avec les vêtements (une robe et des chaussures) pour que les pompes funèbres puissent finir de la préparer après l’autopsie (ils ont pratiqué un soin funéraire, facturé au prix d’une personne qui n’a pas été autopsiée).

Six mois plus tard nous recevons le résultat de l’autopsie. (nous sommes au troisième procureur).

Nous découvrons que l’identité du cadavre autopsié n’est pas celui de notre maman (notre maman était noire alors que cette femme autopsiée est de race blanche, le poids et la taille ne correspondent pas).

Devant la gravité des faits, appuyés par des preuves solides, le juge n’a pas le choix . Il faut exhumer.

Questions autour de l’autopsie du 20/02/01 :

- Pourquoi avoir choisi un cadavre dont les caractéristiques ne correspondent pas à celui de notre mère ? Cette femme était blanche, notre mère était noire ; cette femme mesurait 1,65 m, notre mère mesurait 1,60 m ; cette femme pesait 82 kg ( morte de 7 jours minimums ), alors que notre mère pesait 70 kg 500 de son vivant à l’hôpital avec une notion d’amaigrissement importante entre le 22/12/00 et le 30/12/00…

- Pourquoi l’autopsie ne répond à aucune des questions posées par la famille ? Même les plus simples : Son groupe sanguin.

La date de sa mort.

La coupure de l’épaule vers la poitrine pourquoi ?

La lecture des tracés lors de son séjour en réanimation.

La prise de connaissance de son dossier médical.

156910_166506566721580_4405980_nLe verser à la procédure ?

Pourquoi il y a deux réquisitions à personne datées du 19/02/01 ? Un corps part de Gonesse, le cadavre s’appelle Md Kabile Éliane, à destination de ILM de Garches. Le deuxième cadavre porte la même identité et part le 19/02/01 de Villetaneuse à ILM de Garches.

Pourquoi le soin funéraire est pratiqué au tarif d’une personne non autopsié par le PFG ?

Pourquoi avoir vu notre maman nue au funérarium (26/02/01 jour de l’inhumation) sans trace de l’autopsie ( certifié par un témoignage que nous avons joint au dossier).

Questions suite à la lecture du rapport d’autopsie :

- Pourquoi le rapport n’est pas signé par le procureur de la république ?

Où sont les photos de l’autopsie ?

Pourquoi un poids de 82kg ?

Pourquoi une taille d’1, 65m ?

Pourquoi une seule oreille percée ?

Pourquoi le type racial n’est pas mentionné ?

Où se trouvent les papiers conformes à une exhumation ?

Pourquoi le médecin légiste ne parle pas de l’ouverture qu’elle portait à l’épaule ?

Pourquoi le médecin légiste, alors qu’il dit avoir prélevé du sang, ne peut donner son groupe sanguin ?

Enfin une réponse de la justice face à ces questions troublantes : il faut exhumer.

 

D) Le 30/06/03, jour de l’exhumation : Poussés par la méfiance, nous sommes arrivés devant les portes du cimetière à 5H30 du matin (heure prévue 8h30). A 6 heures du matin, une personne s’apprête à rentrer dans le cimetière. Nous l’interpellons. Nous nous présentons. Une réponse très ferme de sa part nous interdit d’entrer. Surpris, nous sommes restés à l’extérieur.

8h00 : La police criminelle arrive. Nous rentrons avec eux pour découvrir qu’il y a des personnes et que l’exhumation est déjà faite. Il y avait deux corbillards, un véhicule utilitaire et une petite pelleteuse. Il a fallu 12 personnes pour mettre le cercueil à l’intérieur du corbillard ; aucune présence de la police funéraire qui aurait dû contrôler l’identité du cadavre ainsi que l’OPJ pour la prise de photos.

Au moment de partir, juste aux portes du cimetière, se trouve un couple extrêmement fâché qui se présente à nous comme étant de la police judiciaire. Leur colère vient du fait qu’ils n’ont pas pu prendre les photos. (nous sommes partis sans escorte de police).

156597_166507116721525_1636774_nArrivés à l’ILM de Garches, pas de police funéraire pour contrôler l’identité du cadavre. La famille ne reconnait pas le cercueil d'Eliane.

Nous avions prévu avec des amis (ies) de faire une veillée funéraire jusqu’au lendemain (01/07/03 jour de l’autopsie) ; le personnel de l’ILM nous a refusé la veillée. Un criminel a plus de droit que nous, car même en prison, s’il perd un proche aucune loi ne peut l’empêcher d’assister à la veillée funéraire.

Nous avons donc pris des photos du cercueil à l’entrée de ILM. (le scellé du cercueil était rompu).

Devant cette situation irréaliste, un ami très proche m’a demandé de retourner à Sarcelles au cimetière pour prendre des photos afin de prouver qu’il y a bien eu une exhumation, car le déroulement des opérations n’était absolument pas normal.

Grace à ces photos nous avons pu prouver la disparition de notre frère dans la sépulture où reposait également notre mère.

A la suite de cette autopsie, un nouveau juge d'instruction est nommé, Emilie Burguière.

Questions suite à l’exhumation du 30/06/03 :

Nous sommes arrivées à 5h3O du matin aux portes du cimetière de Sarcelles.

- Pourquoi nous avoir empêché de rentrer au cimetière, en donnant l’ordre de ne laisser rentrer personne ? Il est 6h00 du matin quand un homme nous informe de cette décision.

- Qui a donné cet ordre ?

Quand la police criminelle arrive à 8h00, nous rentrons avec eux pour découvrir que l’exhumation est déjà faite et surtout il y a beaucoup de personnes.

- A quelle heure sont arrivées ces personnes, sachant que nous y étions depuis 5h30 et que nous n’avons vu qu’une seule personne rentrer à 6h00 ?

Pourquoi il a fallu plusieurs personnes (environ 8 ) pour porter le cercueil ?

Pourquoi la police funéraire n’était pas présente ?

Pourquoi la police judiciaire est arrivée en retard et par conséquent n’a pas pu prendre les photos ?

Pourquoi l’article 2213-40 n’a pas été respecté ?

Pourquoi nous ont-ils refusé la veillée funéraire ?

Pourquoi ont-ils laissé la sépulture d’une profondeur de 2m avec une bâche en plastique dur de couleur verte comme protection, alors que mon frère est censé être enterré là depuis 1989 ?

A quelle profondeur est-il enterré ?

Pourquoi un aller-retour avec le cadavre de Md Kabile en date du 25/06/03 de Sarcelles à ILM ?

E) 01/07/03 jour de l’autopsie : La soeur et le fils d'Eliane, pour ne pas sombrer dans le doute le restant de notre vie, décident de participer à l’autopsie.

Présent à l’autopsie : le juge, le greffier, notre avocat, le professeur … et trois assistants, deux policiers de la criminelle, deux policiers de la judiciaire (les mêmes qui se trouvaient aux portes du cimetière de Sarcelles ), ma tante et moi-même.

L’autopsie s’est déroulée dans le cercueil et non sur la table en inox prévue à cet effet car dans le cercueil se trouvait un cadavre recomposé ; il y avait une tête, une veste renfermant un buste avec un soutien-gorge sur lequel reposait une petite cage thoracique d’enfant et une jupe ne renfermant que des morceaux de chair fraîche avec du sang. Il n’y avait pas de bras, pas de jambes, pas de bassin. Au bas du cercueil, se trouvait une paire de chaussures.

PREMIERE_PAGEOn se demande pourquoi vu qu’il n’y avait pas de jambe ; un des assistants en prend une en disant que le pied est resté dedans. Il le place sous le robinet d’eau qui coule abondamment. Tout le contenu de la chaussure est dissous, il ne reste même pas un morceau d’os ; le même assistant prend dans le cercueil un bracelet en plastic et dit qu’il n’est pas de l’ILM. Le professeur confirme sous la demande du juge qu’il n’est pas de l’ILM et rajoute qu’il n’est pas de Gonesse.

Nous avions en tête de trouver un cadavre et, pour l’identifier, nous avions ramené le dentier de notre maman qui reposait sur des dents alors que les mâchoires du cadavre sont totalement édentées. De toute évidence, un cadavre avec de la chair rouge-sang après plus de deux ans sous terre et dont les os ont disparu, n’est pas celui de notre maman.

"Il n’y avait ni bras, ni jambes, ni bassin, aucun os. Nous sommes restés 2h30 au dessus de ce maudit cercueil ", a dit la soeur d'Eliane. Dans ce cercueil, elle a vu des morceaux d'enfants, des morceaux de cadavre, mais pas de sa soeur.

Elle est persuadée d’avoir mis le nez dans plusieurs bouts de cadavres mélangés. Marie-Christine n’est pas médecin légiste, mais elle relève les détails de bon sens : le cercueil exhumé n’a pas de croix, contrairement à celui commandé pour l’enterrement, les attaches des poignées sont différentes. Les chaussures du cadavre n’ont pas la petite chaîne en or de celles de sa sœur. Une médaille de baptême ne mentionne pas les bonnes initiales. Le cadavre est habillé d’une veste à bouton, alors qu’Eliane avait été enterrée avec une robe à fleurs.

Le bracelet médical n’est pas celui de l’hôpital de Gonesse, ni même de l’Institut Médico-Légal (IML) de Garches de la famille, mes Gilbert Collard et Patrick Bes de perc "on peut en conclure qu’elle a assisté à une autre autopsie que celle de son parent". Pourtant , une expertise ADN est formelle : Le cadavre autopsié est bien celui d’un membre de la famille Kabile. Mais de quel corps parle-t-on ? Le jour d’exhumation, Marie-Christine et Laurent Kabile, le fils aîné d’Eliane, flairait un coup fourré-la première autopsie, peu après la mort, d’Eliane, mentionnait un corps mesurant 165 cm et pesant 82 kg" alors qu’elle mesure 160 cm et pèse 70 kg. l ’hôpital -, s’étaient présentés au cimetière de Sarcelles dès 6 heures du matin. Des hommes sont déjà affairés et leur barrent l’accès. L’exhumation se fait sans procès-verbal.

Etaient présents: Michel DURIGON, médecin légiste, et ses assistants, ainsi que la juge Anne Sylvie SOUDOPLATOFF et son greffier, Me Françoise KONOPNY REGENSBERG, des fonctionnaires de la police criminelle, ainsi que le fils d'Eliane et sa soeur.

 

HAUT_DE_LA_PREMIERE_PAGEQuestions suite à l’autopsie du 01/07/03 (ma tante et moi-même, Thierry Kabile, étions présents à l’autopsie)

- Comment se fait-il que les scellés du cercueil sont rompus ?

- Pourquoi le cercueil présenté n’est pas celui que nous avons acheté ?

- Pourquoi la forme n’est plus la même ?

- Pourquoi la croix n’est plus là ?

- Pourquoi les poignées ne sont plus les mêmes ?

- Pourquoi le cadavre présenté n’a pas de jambes, pas de bras et pas de bassin ?

- Pourquoi l’autopsie s’est pratiquée dans le cercueil ?

- Pourquoi autant de morceaux de chair découpés avec encore du sang, après deux ans et demi sous terre ?

- Pourquoi dit-il (le professeur X) qu’Eliane a deux chicos et qu’au moment où on sort le dentier et qu’il doit par conséquent extraire les mâchoires, il dit : ” Je ne comprends pas “. Elle est totalement édentée ?

- Le professeur X dit que le bracelet d’identification en plastique n’est pas de ILM de Garches et qu’il n’est pas de Gonesse non plus !

- Pourquoi à ce moment précis aucune des personnes présentes n’a eu le réflexe de demander à voir le bracelet d’identification posé par la police funéraire ?

- Alors qu’on nous présente un soutien-gorge placé sur le cadavre, comment peut-il y avoir une petite cage thoracique d’enfant découpée ?

- Pourquoi les mâchoires ne sont pas compatibles avec le dentier ?

- Pourquoi une médaille qui n’est pas à son chiffre est dans le cercueil ?

- Comment peut-on dire, après toutes ces questions restées sans réponse, que le cadavre autopsié est celui de notre maman ?

manif-kabile- Comment peut-on dire que l’ADN qui provient d’une autopsie datée du 30/06/03, jour qui correspond à l’exhumation, est celui de notre maman, sachant que l’autopsie visée est du 01/07/03 ?

Le jour de l’autopsie (01/07/03) les prélèvements sont placés dans onze petites boîtes. Comme par hasard, le PV qui accompagne le scellé n’est pas signé ; mieux, on se retrouve avec deux boîtes : une contient les onze prélèvements, l’autre en a largement moins de onze ! Pourquoi ?

Quand le professeur X dit que le premier cadavre autopsié mesurant 1,65 m, pesant 82kg, avec une seule oreille percée, la peau blanche, totalement édenté est le même que la deuxième autopsie et que son ADN est celui de notre maman, qui avait la peau noire, qui mesurait 1,60m, pesait 70kg500, avait les deux oreilles percées, ne sentez-vous pas comme un problème ?

Dans ces circonstances ne pensez-vous pas que les questions qui vont suivre soient naturelles ?

- Où est passé le cadavre de notre maman ?

- Où est passé le cadavre de notre frère ?

- Où ont-ils pris l’ADN ?

Cinq ans ont passé. Nous avons posé une centaine de questions et la justice ne veut pas répondre. Nous avons contacté, par courrier, différents partis politiques dont certains se sont manifestés auprès du président de la république et nous apportent leur soutien.

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En juin 2007, le corps d'Eliane KABILE a été exhumé une nouvelle fois. On recherchait aussi le cercueil de son fils Philippe, censé être décédé d'une balle qu'il se serait tirée dans la tête, en 1989. Un cercueil qui n'était plus là lors de précédentes exhumations.

La fille d'Eliane explique au sujet de cette exhumation: "Il y a une bâche et un oreiller pneumatique dans le cercueil qu'il n'y avait pas lors de la fermeture du cercueil devant la famille! Le commandant de police et le procureur sont morts de rire et nous traitent de paranos! Ce n'est pas notre cercueil et ils ont changé ce qu'il y avait dedans! Quand au cercueil de mon frère, il est réapparu mais il est 20 centimètres plus bas!"

De plus, la famille avait vu, en juin 2006, que la tombe d'Eliane avait été profanée. Elle a alors enfoui des briquets dans la terre, et ceux-ci avaient disapru lors de l'exhumation de 2007. Et même le juge aurait constaté la présence d'un terreau frais dans le caveau.

Un fils d'Eliane a même dit qu'il savait "de source sûre" qu'on avait prélevé le coeur de sa mère: "on a volé le coeur de maman et ça s'est passé à l'hôpital de Gonesse. Des infirmiers en larmes nous ont dit à l'époque de ne pas lâcher le morceau...C 'est un meurtre pour voler un coeur! Ils nous ont pris pour des musulmans. Ma mère s'appelle KABILE et elle est née au Maroc. Un agent du cimetière a témoigné qu'il voyait souvent aarriver de Gonesse des corps de musulmans auxquels il manquait un organe".

Quant au corps du fils mort d'une balle dans la tête en 1989, son crâne ne laissait apparaître aucune trace de balle. Et sa dentition ne correspondait pas. La famille aurait bien aimé vérifier si les corps étaient bien ceux de leurs proches, mais la justice a refusé qu'elle ne procède à des analyses indépendantes.

La famille est poursuivie pour diffamation par un des médecins, et la justice traine en longueur, probablement pour avoir la famille d'Eliane Kabile à l'usure.

Une pétition circule pour tenter de faire la lumière sur cette affaire: https://www.lapetition.be/en-ligne/Pour-la-reouverture-de-l-affaire-Eliane-Kabile-7280.html

 


Affaire Eliane Kabile

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Commentaires
L
http://www.liberation.fr/societe/2013/10/11/deux-medecins-soupconnes-d-euthanasie_938813
Répondre
F
Dérive ? Corporatisme ? Réseau ? Secte ? Relation ? En cas de recours, ces gens là ne pensent qu'à faire traîner les procédures pour que les victimes se lassent et abandonnent.<br /> <br /> Combien de SDF, pauvres gens isolés de leur entourage, ont pu servir de cobayes pour des médecins sans scrupules ?<br /> <br /> Il serait utile de savoir s'il y a plus de greffés parmi le statut social des fortunés que parmi les plus modestes !
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T
Belga - DUTROUX SYNTHESE: Sans eau, Julie et Mélissa ne ...<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> web.radicalparty.org/pressreview/print_250.php?func=detail&par...‎<br /> <br /> <br /> <br /> AFFAIRE DUTROUX<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ainsi, si trois médecins ont été formels pour dire que Julie et Mélissa avaient été victimes de faits de moeurs répétés, l'expert français Michel Durigon a répété que les ... DUTROUX SYNTHESE: Nouveau témoignage et l'"affaire de la clé" (<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> AFFAIRE Eliane KABILE.<br /> <br /> Pourquoi cet article pour vous faire comprendre que dans l'affaire DUTROUX le seul petit médecin français qui est venu pour casser un collège de trois médecins qui était formel de leur expertise qui disait que Julie et Mélissa avaient été victimes de faits de mœurs répétés était le Docteur Michel Durigon médecin légiste a l'Institut Médico-Légal de Garches dans les hauts de seine, ce même médecin qui le 1er juillet 2003 s'est occupé de l'affaire Eliane Kabile ma sœur.<br /> <br /> Je tiens a vous faire savoir que le 1 juillet 2003 jour de l'autopsie d'Eliane Kabile a l'institut médico-légal de Garches dans les hauts de seine, étaient présents : Michel DURIGON médecin légiste et ses assistants<br /> <br /> Le juge : Anne Sylvie SOUDOPLATOFF et son greffier<br /> <br /> Les officiers de police judiciaire : <br /> <br /> Notre conseil : Maître KONOPNIG-REGENSBERG<br /> <br /> Le fis de ma sœur Eliane Kabile : Thierry KABILE<br /> <br /> Et moi même : Marie-Christiane DAUGIMOND<br /> <br /> Nous sommes restés 2h30 au dessus du cercueil qui n'était pas le cercueil d'Eliane Kabile, l'avocat l'avait signalé au juge, mai le juge n'avait rien a faire elle avait un <br /> <br /> but : CLASSE L'AFFAIRE.<br /> <br /> Dans ce cercueil , il y avait une fausse tête, une grande cuvette dorsale sans les cotes, a l'intérieur de cette cuvette dorsale beaucoup de morceaux de corps, une petite cage thoracique d'enfant, deux petits foie, il y avait ni bras ni jambes ni bassin aucun os ,le tout était rouge sang. Au fond du cercueil il y avait une grande quantité de purée humaine qui était aussi rouge sang.<br /> <br /> A la fin de l'autopsie notre conseil nous a demandé de ne pas raconter cette affaire, elle nous a expliqué que c'était une grosse affaire .<br /> <br /> NOUS AVONS DECIDE DE TOUT DIRE CAR IL ETAIT DE NOTRE DEVOIR DE FAIRE CONNAÎTRE A TOUS ET TOUTES CETTE AFFAIRE MACABRE SUR LA MORT d'Eliane KABILE ET DE LA DISPARITION DE SON CORPS.<br /> <br /> DANS CETTE AFFAIRE, IL Y A EU BEAUCOUP D'EXHUMATIONS ET D'AUTOPSIES CLANDESTINES.<br /> <br /> DANS LE DOSSIER DE L'INSTRUCTION QUI SE TROUVE AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PONTOISE IL Y A BEAUCOUP DE PHOTOS D'AUTOPSIES, BEAUCOUP DE CORPS DONT DES CORPS D'ENFANTS TOUS REPERTORIES AU NOM D'Eliane KABILE.<br /> <br /> LES PHOTOS QUI ONT ETE PRISES LE 1 er juillet 2003 PAR LA POLICE JUDICIAIRE A L'INTITUT MEDICO-LEGAL DE GARCHES DANS LES HAUTS DE SEINE N'ONT JAMAIS ETE DONNEES A NOTRE CONSEIL Maître KONOPNIG-REGENSBERG QUI N'A JAMAIS CESSE DE LES RECLAMER.<br /> <br /> 2 EXHUMATIONS<br /> <br /> 3 AUTOPSIES<br /> <br /> OU EST PASSE LE CADAVRE D'Eliane KABILE????<br /> <br /> NOUS AVONS ETE CONDAMNEES A 15000 EUROS D'AMENDE POUR PROCEDURE ABUSIVE et UN NON LIEU.<br /> <br /> DEMANDONS L'OUVERTURE DU DOSSIER Eliane KABILE PAS DE CORPS PAS DE DEUIL.
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M
Violation de la Déclaration universelle des droits de l'homme par la France<br /> <br /> Crimes contre l humanité effectué sur la population francaise<br /> <br /> <br /> <br /> Articles<br /> <br /> 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30<br /> <br /> Préambule<br /> <br /> Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales.<br /> <br /> <br /> <br /> Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.<br /> <br /> <br /> <br /> L'Assemblée générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.<br /> <br /> <br /> <br /> Article premier<br /> <br /> Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 2<br /> <br /> 1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. <br /> <br /> 2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 3<br /> <br /> Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 4<br /> <br /> Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 5<br /> <br /> Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 6<br /> <br /> Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 7<br /> <br /> Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 8<br /> <br /> Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 9<br /> <br /> Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 10<br /> <br /> Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 11<br /> <br /> 1. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. <br /> <br /> 2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 12<br /> <br /> Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 13<br /> <br /> 1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un Etat. <br /> <br /> 2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 14<br /> <br /> 1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays. <br /> <br /> 2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 15<br /> <br /> 1. Tout individu a droit à une nationalité. <br /> <br /> 2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 16<br /> <br /> 1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. <br /> <br /> 2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux. <br /> <br /> 3. La famille est l'élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l'Etat.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 17<br /> <br /> 1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété.<br /> <br /> 2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 18<br /> <br /> Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 19<br /> <br /> Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 20<br /> <br /> 1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques. <br /> <br /> 2. Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 21<br /> <br /> 1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis. <br /> <br /> 2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays.<br /> <br /> 3. La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s'exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 22<br /> <br /> Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 23<br /> <br /> 1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. <br /> <br /> 2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. <br /> <br /> 3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. <br /> <br /> 4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 24<br /> <br /> Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 25<br /> <br /> 1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté. <br /> <br /> 2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 26<br /> <br /> 1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite. <br /> <br /> 2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. <br /> <br /> 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 27<br /> <br /> 1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. <br /> <br /> 2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 28<br /> <br /> Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 29<br /> <br /> 1. L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible. <br /> <br /> 2. Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique. <br /> <br /> 3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.<br /> <br /> <br /> <br /> Article 30<br /> <br /> Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.
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I
Marie-Christiane DAUGIMOND née Guérédrat soeur D' Eliane KABILE a aussi rejoint le collectif, TOUS ENSEMBLE UNE ASSOCIATION A ETE CREE, ELLE EST INTITULEE:<br /> <br /> <br /> <br /> Association des victimes des autopsies médico-légales irrespectueuses de la dignité humaine, adhésion 10 euros téléphone 01.41/41/07/05.<br /> <br /> <br /> <br /> 2 thanatopracteurs pour soulager leur conscience ont dénoncé ces faits macabres, ils dénoncent que 90% des autopsiés étaient de la région Pas de Calais, ils dénoncent que beaucoup d'enfants et de personnes âgées ont subi le même traitement.Il dénoncent que les les corps étaient dépecés comme des bêtes. <br /> <br /> MINISTERE DE LA JUSTICE 15 PLACE VENDOME 75001 PARIS FRANCE<br /> <br /> Mes amis (ies) je tiens a vous faire savoir que les familles n'ont pas fait le deuil de leur proche, ni avant l'autopsie, ni après l'autopsie, les familles ont vu leurs défunts, les cercueils étaient livrés sans scellés.<br /> <br /> <br /> <br /> Association des victimes des autopsies médico-légales irrespectueuses de la dignité humaine, Chez Madame Marie-Christiane DAUGIMOND, 73 Allée du forum, 92100 BOULOGNE-BILLANCOURT. Merci.<br /> <br /> <br /> <br /> CITOYENS CITOYENNES FRANCAIS FRANCAISES PEUPLE DE FRANCE JE VOUS AIME Marie-Christiane Guérédrat épouse DAUGIMOND. ANONYMOUS <br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=9_wBTApC6x8<br /> <br /> ANONYMOUS OPERATION BLITZKRIEG <br /> <br /> <br /> <br /> VIOLATION DES DROITS DE L HOMME PAR LA FRANCE CRIMES CONTRE L HUMANITEE EFFECTUE SUR LA POPULATION FRANCAISE PAR LA FRANCE ET SES FONCTIONNAIRES FRANCAIS SUR DES VICTIMES ENFANTS ADULTES PERSONNES AGEES DANS LES MORGUES DE FRANCE MME FATOU BENSOUDA COUR PENALE INTERNATIONALE DE LA HAYE
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